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 Pasteur Gérard Sadot
 Messages apportés à l'Eglise Chrétienne Evangélique de 84170 Monteux (Carpentras)
 

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CREUSEZ DES FOSSES ! (2ème partie)

2Rois 3 : 15/20

Résumé d’un culte avec pasteur Gérard Sadot, suite et fin

VOUS DEVEZ CAPTER LES BENEDICTIONS

En creusant des fosses, les israélites ont « capté » l’eau venant des montagnes… Au cas ou vous ne le sauriez pas, la bénédiction est arrivée depuis 2000 ans… l’eau a coulé dans tout le territoire de Judée, dans la Galilée, la Samarie, Etc. Beaucoup qui ont pris leurs dispositions ont reçu cette « eau surnaturelle » qui les a rafraîchis, on peut dire qu’ils et elles ont « creusé des fosses dans leur désert », pour retenir, collecter, recueillir les bénédictions en leur faveur. Quelques exemples dans les récits historiques appelé « évangiles ». Zachée homme handicapé par sa petite taille va recevoir le Christ chez lui, ilen sera totalement bouleversé et changera radicalement de vie,

·         une femme ayant une  perte de sang sera guérie après 12 années de galère, elle a bravé la loi de Moïse qui la confinait chez elle a cause de son impureté…

·         un lépreux désespéré pestiféré sera purifié, est sorti aussi de sa réserve et s’est approché de Jésus,

·         des aveugles reçoivent le recouvrement de la vue, ils ont clairement répondu « oui Seigneur »  nous croyons que Tu peux le faire immédiatement !

·         un centurion romain obtient la guérison de son serviteur agonisant, en envoyant ses serviteurs auprès du prophète de Nazareth…

·         un officier royal est exaucé pour son fils, a fait une démarche auprès de Jésus et est rentré chez lui s’appuyant sur une parole « va ton fils vit » !

·         une mère reçoit la délivrance de son enfant cruellement tourmentée,

·         des possédés brisant leurs chaines et ne pouvant que crier retrouvent leur bon sens…

·         un paralysé depuis de nombreuses années est remis sur pieds ! (…)

Bref, des estropiés en tous genres, des sourds, des boiteux, des cancéreux, des cyanosés, tous ont fait une démarche vers Jésus et avant de recevoir quelque miracle que ce soit, ils « creusaient des fosses », ils ont pris chacun des dispositions de foi pour recevoir leur miracle ! Et ils les ont reçus ! L’eau a rempli leurs fosses ! Tous ces gens-là ont « creusé des fosses », pour faire venir l’eau jusqu’à eux et en bénéficier ! Ils ont reçu ce pour quoi ils creusaient ! C’est-à-dire qu’ils ont préparé le terrain, en profondeur, pas des gens superficiels, mais qui ont « creusé ».

Ceux qui s’attendent aux bénédictions divines, feraient bien de « creuser des fosses », pour collecter cette eau si précieuse.

Ceux qui recherchent la « rosée » de la Grâce divine finiront toujours par la posséder, et par elle, ils seront plus que vainqueurs !

Alors qu’ils vont creuser ces fosses, Elisée annonce une victoire totale, le salut des Israélites, mais aussi la défaite de l’Ennemi.

·         “Mais cela est trop peu de chose (“trop peu” – BRF) aux yeux de l’Éternel”, dit Élisée.

Trop peu de chose” ? Imaginons la scène :

·         la terre sèche et craquelée,

·         un soleil de plomb,

·         les plantes assoiffées,

·         une poussière épaisse,

·         une armée désabusée,

·         aucune eau dans un périmètre très large,

·         aucun signe de vent ou de pluie.

Pourtant, selon Élisée, c’était peu de chose que de remplir d’eau la vallée, peu de chose “aux yeux de l’Éternel”.

Effectivement, la Vision de Dieu est toujours plus grande que vous ne pouvez l’imaginer, à Ses Yeux, ce qui va arriver n’est rien en comparaison du reste !

Ce miracle ne sera que “peu de chose” pour le Seigneur. Élisée ajouta :

·         “Il livrera Moab entre vos mains” (v. 18b).

Sur le moment, l’armée pensait plus à la survie qu’à la victoire; mais l’Éternel promit les deux. Le miracle qui leur sauverait la vie causerait en même temps la chute de Moab. Moab livrée, voici ce que les Israélites devaient faire :

·         “Vous frapperez toutes les villes fortes et toutes les villes d’importance, vous abattrez tous les bons arbres, vous boucherez toutes les sources d’eau et vous causerez du dommage avec des pierres à tous les meilleurs terrains (autre trad. : « et vous ruinerez avec des pierres tous les meilleurs champ »)” (v. 19).

 

·         « La ruine, du dommage avec des pierres ».

Le but de cette action est de ne rien laisser à l’Ennemi. Le territoire de l’Ennemi sera dévasté. Dieu pensait que Moab méritait un châtiment (cf. Esaïe 15 et 16).

On rend la vie impossible à Satan et ses puissances, on ruine l’Ennemi, on lui « cause du dommage avec des pierres ».

Par ailleurs, l’ordre d’Elisée va dans le sens annoncé : Dieu sauve Israël pour aider Juda et non pour aider Israël. Le prophète annonce la grâce à celui qui est tourné vers l’Eternel (Juda), mais il rejette celui qui est indifférent ou qui essaie simplement d’utiliser le Seigneur (Israël).

UNE COINCIDENCE PROVIDENTIELLE

L’arrivée de cette eau au matin, au moment de l’offrande (v. 20)

Donc, les rois firent creuser les tranchées par les soldats. Josaphat le fit sans doute avec confiance en Élisée, alors que Joram le fit peut-être par désespoir.

·         “le matin, au moment de la présentation de l’offrande, voici que l’eau arriva du côté d’Édom, et le pays fut rempli d’eau” (v. 20).

Une forte pluie est tombée dans les montagnes d’Édom, au loin, et l’eau coule au nord, vers la vallée large et plate où campaient les soldats. Cette vallée penche vers la Mer Morte, ce qui explique la raison des tranchées : collecter l’eau avant qu’elle ne coule vers la mer.

La lumière du jour baisse, et au soir le soleil — rouge sang — se couche dans un ciel sans nuages, ses derniers rayons tombant sur un désert large et sans eau. Les étoiles scintillantes, le ciel tranquille s’étend au-dessus du vaste campement dont les bannières ne sont agitées par aucune brise ; l’armée, assoiffée, s’allonge sous ses tentes pour dormir. Mais alors que tout est calme autour des soldats, au loin dans les montagnes les nuages déversent des torrents de pluie. Les ruisselets dévalent les pentes, remplissent les rigoles sèches ; et au matin les rivières, de plus en plus gonflées, traversent irrésistiblement la vallée. Réveillés par la trompette, les soldats se trouvent devant une étendue d’eau visible jusqu’à l’horizon, qu’ils accueillent d’un cri enthousiaste, avant de se précipiter pour apaiser leur terrible soif. CE FUT UN SOULAGEMENT GENERAL !

Il s’agit de la première offrande de la journée dans le Temple de Jérusalem qui avait lieu au lever du soleil. Le Saint Esprit lie ce que le Seigneur faisait dans le désert d’Édom à ce qui se passait au même moment à Jérusalem.

Les prières des enfants de Dieu dans un pays peuvent avoir un effet dans une nation à quelques centaines, voire à quelques milliers de kilomètres de distance !

·         Dans la vallée de San Fernando, il y a des puits municipaux creusés de 35 à 165 mètres de profondeur. Un mesure le mouvement de l’eau. Dès qu'une secousse sismique se produit de l’autre côté du globe, elle est aussitôt enregistrée en Californie. Les savants ont affirmé que la moindre épingle qu'on laisse tomber à terre produit une infinie vibration qui est perçue dans tous les coins du globe. En 1934, l’amiral Byrd est arrivé au Pôle Sud et de la, il a envoyé un signal radiophonique qui a fait mouvoir le marteau de la cloche de la Liberté dans le hall de l’indépendance à Philadelphie !

Les prières portent du fruit et l’on observe alors des « coïncidences providentielles » qui curieusement, s’arrêtent dès que l’on cesse de prier…

N’oublions jamais que s’il y a quelques bénédictions que ce soit, c’est à cause et grâce à l’offrande de Jésus qui a donné sa propre vie, son corps son sang pour notre Salut. Par ailleurs, quand vous donnez votre offrande (qui n’est ni la dîme, ni les aumônes), attendez-vous à ce que quelque chose se passe dans votre vie ! Soyez en sûr, votre « bénédiction » arrive !

La promesse de l’eau pour l’armée ayant été accomplie, il ne restait que la soumission de Moab qui s’était révolté…

Jésus a chassé les démons, ceux-ci résistaient, se révoltaient, rusaient, etc., mais Jésus a usé de l’autorité spirituelle… et ils ont dû se soumettre :

·         « Les démons mêmes nous sont soumis en Ton Nom » (Luc 10).

Et maintenant, il faut soumettre l’Ennemi de nos âmes… mâter cette « révolte »… Sachez qu’il y a, et qu'il y aura mobilisation générale dans les états-majors de l’Ennemi.

·         “Les Moabites ayant appris que les rois montaient pour les combattre, on mobilisa tous ceux en âge de porter les armes et même au-dessus, et ils se tinrent sur la frontière” (v. 21).

DES EAUX ROUGES COMME DU SANG

A la vue de l’armée venue les attaquer, ils devinrent très nerveux.

Nous énervons Satan et ses hordes de démons lorsque nous louons, prions, intercédons, évangélisons, enseignons les âmes qui échappent à son Royaume ! Nous sommes un casse-tête pour le Diable !

Le matin où les tranchées s’étaient remplies d’eau, les soldats moabites se levèrent de bonne heure et regardèrent la vallée où campait la coalition des 3 rois. Ils virent l’eau, mais ne comprirent pas que c’était de l’eau :

·         “quand le soleil brilla sur les eaux, les Moabites virent en face d’eux les eaux rouges comme du sang” (v. 22).

Voici qu’ils restent sur leurs frontières qu’ils ne semblent plus pouvoir franchir. Ils sont tenus à distance… prêts à se défendre becs et ongles ! Vous le savez sans doute, le Sang de Jésus établi une frontière infranchissable entre nous et l’Ennemi et s’il vient nous attaquer, il est en dehors de l’espace qui lui est assigné, par conséquent il sera d’autant plus terriblement puni !

DEDUCTIONS TROMPEUSES & FAUSSES CONCLUSIONS

Sous l’effet de la boue, et de la réflexion des falaises rouges autour de la vallée, plus les reflets du soleil du matin. Les Moabites n’avaient aucune raison de croire qu’il s’agissait d’eau, car ils savaient que la rivière était sèche, et qu’il n’y avait pas eu de pluie la veille (v. 17). Cette eau pure que la puissance du Seigneur a fait venir rafraîchit le camp d’Israël ; et, pour accroitre le prodige, cette eau, en s’approchant du territoire moabite, devint rouge comme du sang.

Par contre, ils avaient toute raison de croire qu’il s’agissait de sang, car l’alliance des trois rois était instable, ils étaient hostiles les uns aux autres. À ce spectacle, les ennemis sont persuadés que les trois rois se sont entretués : Dieu peut induire Satan et ses démons en erreur !

·         « A malin, malin et demi, a bon chat, bon rat ! »

Les soldats Moabites se sont dit:

·         “ C’EST DU SANG ! Les rois ont tiré l’épée entre eux, ils se sont frappés les uns les autres” (v. 23a).

Ils abandonnèrent leurs lances et leurs boucliers, ils coururent sans réfléchir vers le campement israélite. Ces soldats ne pensaient plus à la guerre, mais au butin. Ils ne guettaient pas le danger, mais les richesses, l’envie de combattre a disparue, obnubilés par leur désir de piller. « Piller » votre vie, c’est tout ce que l’Ennemi sait faire, ce à quoi il pense à votre propos, ne pensez pas qu’il est « gentil », non, il est très rusé et mauvais, très mauvais !!!

Les Moabites, saisis d’une fausse joie (toutes les « joies » ne sont pas ‘La Joie du Ciel ou du Salut’, mais souvent éphémères, elles s’avèrent des fausses joies !), crièrent les uns aux autres:

·         “Maintenant, Moabites, au butin !” (v. 23b).

 « Ces eaux comme du sang » leur fait penser inévitablement à une grande défaite dans le camp d’Israël. Mais en réalité, cette « eau comme du sang », vient leur signifier leur méprise, ils se trompaient totalement !

De même après la mort de Jésus sur la croix l’Ennemi pensait avoir la Victoire définitive… Mais en réalité, le message de l’Evangile, qui est cette « eau comme du sang » et qui arrive dans le camp de l’Ennemi de nos âmes signifie : « notre Victoire potentielle » et « Sa défaite » imminente, et définitive… Mais l’Ennemi ne le sait pas à ce moment-là !

Pendant ce temps, les Israélites, abreuvés et cachés, attendaient en embuscade. OUBLIERIONS NOUS QUE NOTRE VIE EST CACHEE EN CHRIST ET QUE DE LA, ON PEUT VOIR L’ENNEMI DE LOIN ?

Alors, les Moabites s’élancent au pillage mais, ils vont subir une terrible défaite. À l’arrivée des soldats ennemis ne se doutant de rien :

·         “Israël se leva et frappa Moab qui s’enfuit devant eux. Ils frappèrent le pays, ils frappèrent Moab” (v. 24).

Ces « eaux rouges comme du sang » sont le signal qu’il nous incombe de « frapper tout Ennemi », qui, peut-être est la maladie, peut-être une passion tenace, peut-être des malédictions, peut-être des souffrances cachées, le rejet, la timidité, la déprime, l’apathie, le manque de volonté, d’énergie…

·         « Israël se leva … et frappa ».

Vous avez le droit de vous « lever » et de « frapper » tout Ennemi qui se révolte contre vous !

Les Israélites suivirent les instructions données par Élisée et ne laissèrent derrière eux rien qui soit utilisable par les Moabites (v. 25a). Enfin, vous ne donnerez pas d’espoir au Malin, car vous allez agir de façon radicale avec toute forme de péché, et votre détermination, à l’instar des israélites d’alors, sera comme « un champ ruiné par des pierres ».

‘IL’ FAIT SACRIFIER LE FILS D’UN ROI

Coup de théâtre et dernière surprise : les Israélites lèvent le camp devant le sacrifice d’un enfant ! Pourquoi partir alors que l’ennemi est à genoux ? Dans un dernier effort, le roi de Moab veut punir le roi d’Edom de s’être allié avec Israël et Juda, il cherche à tuer le plus faible des trois rois pour redonner courage à ses troupes. Il n’atteint pas son but, et devant l’échec, il finit par sacrifier son propre fils qui devait régner après lui.

Apprenant cela, la coalition a tout arrêté d’un seul coup et s’est retirée… Il y a quelque chose d’étrange et se surprenant dans ce texte… L’Ennemi connait la valeur du Sacrifice et il fait faire cet acte abominable au roi des Moabites pour obtenir les effets d’un sacrifice.

Bien plus tard dans l’Histoire, Satan et ses démons devront subir les effets d’un autre sacrifice, l’ultime sacrifice pour le Salut de l’Humanité entière, celui d’un fils, sur une croix, Jésus-Christ Fils unique du Dieu vivant. Ce qui est arrivé là est une parodie prémonitoire du Sacrifice du Fils de Dieu, lequel obligera l’Ennemi de lâcher prise, et à battre en retraite et à s’éloigner… Il y a là, une annonce de « quelqu’un qui sacrifiera son propre fils » qui contraindra l’étau de l’Ennemi à se desserrer !

A la surprise générale, alors que tout le reste avait échoué, on apprend soudain que ce dernier acte abominable met fin au siège. La levée du siège israélite suite au sacrifice du fils du roi de Moab laisse perplexe … Pourquoi ? Littéralement :

·         « Il y eut un grand ‘qasap' sur Israël ».

Qasap’ signifie colère, fureur, indignation, irritation, trouble, ou même écume pour de l’eau agitée. C’est le trouble d’Israël qui craint subitement la colère de « Kemosh », (Kemosch = "subjugueur, qui asservit"), dieu national des Moabites … Ils ont eu peur que cette divinité prenne des mesures de rétorsions contre eux, par vengeance… Les Juifs, qui se souciaient peu de la colère de l’Eternel, craignirent la colère du dieu païen, et cela malgré leurs succès militaires et malgré l’intervention surnaturelle de l’Eternel qui vient de démontrer sa puissance, malgré sa volonté de sauver Israël et de battre l’ennemi.

DELIVRE DES SUPERSTITIONS RIEN NE PEUT ENTRAVER

LES VICTOIRES DU PEUPLE DE DIEU

La superstition est une folie. Elle voile l’intelligence et étouffe le bon sens. Contre toute logique, Israël se retire… Combien de fois le peuple de Dieu est revenu en arrière, par une peur superstitieuse du Diable ? Il est vrai qu’aujourd’hui on trouve encore ici et là des chrétiens qui donnent trop d’importance aux superstitions et aux fables, et à l’Ennemi de nos âmes… Des superstitions subsistent encore parmi le peuple de Dieu… Je pourrais en citer beaucoup… combien voient le diable et les démons partout, partout, partout :

·         « Ils me surveillent, les démons sont ici, et là, dans les placards, ils attaquent la nuit, il faut prier sur les poubelles, car ils aiment ces endroits… ! ».

De plus, ces chrétiens mal affermis prêtent attention aux menaces de l’Enfer… combien d’enfants de Dieu donnent plus d’importance à l’œuvre de Satan qu’à l’Œuvre de Dieu en Jésus-Christ !

Combien d’idées reçues, de préjugés de toutes sortes, et autres chimères bloquent la prise de nombreuses victoires du peuple de Dieu ? De cette manière ils donnent gloire à l’Enfer plutôt que Gloire à Dieu !

Mais délivrés des superstitions, des fausses croyances, rien ne peut arrêter les victoires des enfants de Dieu ! Je vous le certifie, au Nom de Jésus-Christ ! Amen !