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du 23 juin 2012
 

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La m�diatisation croissante des �vang�liques en France
n'augure rien de bon

Notons que dans son �mission sp�ciale dimanche dernier sur M6, Bernard de la Villardi�re parlait "d'�vang�listes", comme on parlerait "d'islamistes". Y aurait-il une volont� d'assimiler les �vang�liques � des fanatiques qui seraient � l'Evangile ce que les islamistes sont � l'Islam? Notons �galement la grande maladresse du pasteur Marc Lebrun qui s'est fait pi�ger en direct au lieu d'�tre honn�te et transparent en censurant devant la cam�ra une de ses adeptes. Il a de nouveau �t� tr�s maladroit le lendemain sur l'antenne de RTL, en tournant autour du pot et en ne disant pas clairement quelle �tait sa position sur l'homosexualit�, la peine de mort, etc. alors que sa pens�e �tait �vidente pour tous. Quand les �vang�liques veulent se m�ler de "politique" tout en pr�tendant ne pas y toucher... Esp�rons que ce "Parti R�publicain Chr�tien" qui ne veut "pas encore para�tre" est s�rieux, et pas encore le faire-valoir de quelques ambitieux "� la sauce am�ricaine", aussi imp�nitents que Pat Robertson ou d'autres t�l�vang�listes "pleins aux as", manipulateurs, fourbes et corrompus... On ne se moque pas de Dieu.

Versets bibliques : �vangile de Jean 9. 4 : � � La nuit vient, o� nul ne peut travailler. �

Message
" L'�vang�lisme est le courant religieux qui progresse le plus en France. Le d�veloppement des groupes chr�tiens �vang�liques va susciter l'int�r�t grandissant des m�dias.

Des articles et documentaires � sensation seront bient�t �dit�s et diffus�s pour jeter l'opprobre sur les assembl�es �vang�liques, qui seront encourag�s par les pouvoirs publics. Les comportements extr�mes et intemp�rants lors des r�unions de croyants seront mis � l'index. Les pratiques de certaines congr�gations �vang�liques seront d�nonc�es par les journaux t�l�vis�s, par des articles de presse et m�me des interviews de pasteurs r�form�s d�favorables � l'�vang�lisme, r�dig�s par des journalistes incr�dules et sans aucune connaissance du domaine spirituel.

Certaines pratiques d'�glises pentec�tistes seront tax�es de � d�rives sectaires �, de � d�lires � ; des visitations particuli�res seront catalogu�es de � transes extatiques allant jusqu'� l'�vanouissement � par des observateurs totalement ignorants des choses de l'esprit.

Les associations de d�fense de la famille et de l'individu et les associations anti-sectes se feront les relais de ces r�quisitoires alarmistes, pour accuser et tenter de faire fermer des lieux de culte. Elles se baseront �galement sur les d�clarations hostiles de certains pasteurs r�form�s de quelques grandes villes de France, qui trouveront l� mati�re � �pancher leur frustration de conduire des congr�gations endormies par un formalisme st�rile, au sein desquelles l'Esprit ne souffle plus.

Beaucoup de journalistes sans aucune compr�hension du fait religieux s'int�resseront aux affaires des �glises �vang�liques et parleront publiquement en m�connaissance de cause, en d�formant les informations par leur absence de tout discernement spirituel.

Il sera reproch� aux �vang�liques d'�tre les supp�ts d'un complot du protestantisme � � l'am�ricaine �, et de vouloir pervertir la mentalit� et la soci�t� fran�aises.
Les Autorit�s fran�aises ne peuvent comprendre que la Foi fasse partie aux Etats-Unis de la vie publique. Que cela puisse �tre le cas en France leur fait peur.
La Pens�e rationaliste issue de la philosophie des Lumi�res les emp�che d'allier dans leur conception r�publicaine de l'Etat la D�mocratie et la Foi. Il sera bient�t proc�d� � un v�ritable embargo de l'influence �vang�lique am�ricaine sur le territoire. Par crainte du danger pour ses Institutions, la France multipliera ses prises de position anti-am�ricaines.

Car l'Etat craint le Message �vang�lique � la mesure du degr� de d�pravation de la Nation, et sa vision messianique du monde et de l'avenir.
Il craint une �glise �vang�lique expansionniste, apocalyptique et mill�nariste.

Parce que les Institutions ne peuvent r�pondre aux angoisses personnelles, elles appr�hendent que les associations cultuelles f�d�r�es ne s'engouffrent dans les faillites politiques, �conomiques et culturelles, notamment en ce qui concerne les communaut�s � majorit� ethnique, et qu'elles en viennent � prendre en charge via les �glises locales les besoins ordinaires des gens.

Elles craignent que les �vang�liques ne se d�cident � investir la sc�ne politico-sociale, qu'ils ne communiquent aux citoyens fran�ais une vision biblique du monde, et qu'ils en viennent � occuper comme dans de nombreux autres pays, un r�le de leadership.
Elles redoutent que des dirigeants chr�tiens ne soient form�s pour changer la Soci�t� par leur accession � des postes-cl�s, et qu'une France chr�tienne ne soit recr��e, reform�e.

S'ajoute la peur de revendications d'identit�s ethnico-religieuses, et celle que les fondamentalismes religieux ne se confortent les uns les autres.

Pour emp�cher que les associations cultuelles ne jouent un r�le particulier dans la soci�t� fran�aise, pour �viter qu'elles ne luttent contre sa lib�ralisation en s'impliquant dans les grands d�bats �thiques tels que l'avortement, le pacs ou le mariage homosexuel, et par crainte que les valeurs chr�tiennes qui ne se diluent pas dans la mondanit� ne s'affermissent, des dispositions visant � pr�venir les f�d�rations �vang�liques de se doter d'institutions fortes vont �tre prises, afin de les retenir de transmettre et diffuser leur mod�le dans l'Hexagone.

La multiplication des lieux de culte, les courants qui �chappent � sa vision d'ensemble, vont amener la France � prendre des mesures coercitives � l'encontre des associations cultuelles. Les affaires des associations cultuelles �vang�liques seront bient�t suivies de pr�s, sous couvert de devoir de pr�caution.

Sous la pouss�e des organisations de vigilance et de lutte contre les d�rives sectaires, les crit�res de dangerosit� seront bient�t multipli�s et accrus. Les abus auxquels se seront livr�s nombres de groupes sans retenue spirituelle serviront d'all�gations � ces organisations pour faire valoir leurs revendications. Des rapports, des films vid�os pris par des inspecteurs-myst�re dans les rassemblements de croyants serviront de d�monstrations pour obtenir des mises sur surveillance, puis finalement l'�tablissement de cadres l�gaux.

Sous la pression des associations de d�fense de la famille et de l'individu, les Minist�res charismatiques seront particuli�rement surveill�s. Notamment les Ministres aux dons de gu�rison. Ceux qui font �tat de leur don seront les premiers � �tre d'une fa�on officieuse sous l'�troite surveillance de l'Etat.

Des contr�leurs sans aucune connaissance th�ologique seront envoy�s incognito dans les assembl�es �vang�liques sous l'alibi d'�tre � des chr�tiens de passage �, pour surveiller l'exercice du Minist�re et �couter le contenu des pr�ches.

Les doctrines se rapportant aux gu�risons miraculeuses, � la d�livrance de l'emprise des esprits m�chants et impurs, � l'Apocalypse (la Fin des Temps, le Temps des Jugements, Gog et Magog, la bataille d'Armagueddon�), et les analyses pessimistes de l'�tat de la civilisation vaudront � leurs pr�dicateurs une surveillance accrue.
La pratique de la d�livrance sera tout sp�cialement examin�e.

Des d�clarations arbitraires d'imposture et de charlatanisme seront faites officiellement par des commissaires, mandat�s bien que totalement incomp�tents en la mati�re.
De nombreuses �glises �vang�liques se verront accuser de d�rives sectaires.
Nombre de Pasteurs ind�pendants seront catalogu�s de gourous.
Des tentatives de proc�s seront m�me men�es pour � Pratique ill�gale de la m�decine �.
Les cultes aux accents de spectacle seront vilipend�s. La pr�dication de l'Evangile � la mani�re am�ricaine sera bafou�e. Il sera parl� ironiquement d' � Evangile Hollywoodien �.
Les p�riodiques religieux seront eux aussi davantage contr�l�s.

Le succ�s grandissant des �glises chr�tiennes � majorit� de fid�les d'origine africaine et la multiplication d'�glises communautaires seront consid�r�s comme une cons�quence de la politique d'immigration. Les communaut�s formant des �glises ethniques seront l'objet de suspicions. Les Pasteurs africains seront notamment accus�s de viser les ouailles des �glises catholique et r�form�e, et de manipuler les fid�les par le biais de leurs �motions,
par la pr�dication d'un �vangile populaire fond� sur l'�motivit�. Les exorcismes fr�quents dans ces structures communautaires seront assimil�s � des relents d'animisme et de la sorcellerie. Des paroles de racisme envers les assembl�es � dominante ethnique et g�ographique seront prof�r�es. Les lieux de culte dans les p�riph�ries des grandes villes fran�aises seront m�me appel�s par certains journalistes � Harlem de banlieue �.

L'option des valeurs chr�tiennes fondamentales sur des questions de soci�t�, telles que l'avortement ou l'homosexualit�, vaudront � certains groupes d'�tre catalogu�s de sectes.
Les Autorit�s d�nonceront chez les �vang�liques une lecture litt�rale de la Bible.
Tout en pr�nant dans le domaine religieux un modernisme qu'elles jugeront n�cessaire � une bonne int�gration dans la Soci�t�, elles accuseront les �glises �vang�liques de refuser les �volutions et de contenir les fid�les dans des carcans pass�istes et l�galistes.

Par peur des religions, mais aussi de l'Europe, de la mondialisation, et aussi par nostalgie de son influence aux si�cles derniers, la France invoquera bient�t la la�cit� qu'elle brandira farouchement comme une banni�re identitaire. Elle veillera particuli�rement � ce que ne puisse s'abattre la cloison qui s�pare l'Eglise de l'Etat, pour �viter l'enseignement de la Bible (le cr�ationnisme) et des valeurs �vang�liques dans les �coles. Il y aura au sein des Institutions une progression du fondamentalisme la�c inspir� par l'id�ologie des Lumi�res, une mont�e d'un int�grisme la�ciste, notamment dans l'Education Nationale.

Le mouvement s'amplifiera jusqu'� la promulgation de lois relatives aux r�gles de la vie religieuse au sein de la vie publique, dans les rues, les lieux publics, dans les r�unions d'�glises. Le militantisme des mouvements �vang�liques sera d�lib�r�ment frein�.
Sous couvert de vouloir g�rer pour le bien de l'ensemble des citoyens fran�ais les exc�s de certains groupes consid�r�s comme trop actifs parce qu'affichant une vitalit� particuli�re, la France se dotera d'un nouveau cadre l�gal qui interdira subtilement toute forme d'�vang�lisation publique. L'�vang�lisation dans la rue sera interdite et r�prim�e, et toute forme de pros�lytisme en public interdite. Ces mesures se feront radicales pour cantonner la vie de Foi � la sph�re intime, priv�e.

- L'expression de la Foi, en tant que choix de vie, est forc�ment publique. Ce n'est pas parce qu'elle peut �tre spectaculaire et surprenante qu'elle est n�cessairement sectaire. -

Les sommes d'argent qui circulent dans les �glises, hors de tout contr�le de l'Etat, int�resseront aussi le Minist�re des Finances ; un contr�le plus strict des ressources des associations cultuelles sera vot�, afin que l'Etat ait un regard accru sur leur financement.
De nombreux contr�les fiscaux donneront lieu � des poursuites judiciaires.

Les autorit�s prendront des mesures contre la diversification du paysage religieux afin de pouvoir g�rer son morcellement. Pour �viter la diss�mination des confessions de Foi,
des croyances et des pratiques, une volont� d'Etat se fera jour d'imposer une Institution protestante f�d�rative unique, en vue d'uniformiser le paysage religieux fran�ais.

Celle-ci sera charg�e d'inciter les �glises �vang�liques � se conformer � des pratiques de la vie d'�glise plus solennelles, st�r�otyp�es, selon les mod�les traditionnels h�rit�s, et de v�rifier l'application effective des r�gulations. Des organes disciplinaires de veille au d�roulement conventionnel du culte seront mis en place. Le Minist�re des cultes insistera aupr�s des grandes �glises historiques pour une r�institutionnalisation du fait religieux.

L'Etat fran�ais s'alliera implicitement avec ces �glises historiques pour veiller � ce qu'elles ne s'affaiblissent pas au profit des �glises �vang�liques. Le but de cette alliance religieuse et politique sera d'emp�cher les �vang�liques de devenir la premi�re ob�dience protestante en restreignant la libert� religieuse dans le pays. L'Etat recevra l'appui des figures d'autorit� protestantes install�es, d�sireuses de pr�server leur reconnaissance officielle.
Un � plafond de verre � tacite sera par ailleurs mis en place au sein des Institutions de l'Etat pour les �vang�liques, afin qu'ils ne puissent acc�der aux postes-cl�s.

L'objectif de cette alliance sera aussi d'emp�cher les �glises �vang�liques de d�velopper un sionisme chr�tien en France, contraire � la politique de l'Etat. La France jugulera l'expansion des �vang�liques, parce qu'ils attribuent un r�le d�cisif aux juifs et � l'Etat d'Isra�l dans le Dessein Divin pour la Fin des Temps. C'est pourquoi des Jugements Divins s'exerceront au niveau des plus hautes instances de l'Etat.

Certaines grandes organisations �vang�liques sentant le vent tourner revendiqueront avec insistance leur entr�e � la F�d�ration protestante de France. Elles n'h�siteront pas pour obtenir leur adh�sion � modifier leurs v�rit�s fondamentales, notamment en ce qui concerne l'exp�rience de Pentec�te et les dons du Saint-Esprit. Beaucoup de communaut�s, en adh�rant � la F�d�ration, chercheront � se prot�ger derri�re sa respectabilit�.

Au sein de l'Eglise catholique romaine, les fid�les charismatiques seront express�ment pri�s de revenir � la liturgie classique. Le retour � la tradition s�culaire sera bient�t de r�gle ; l'inspiration des fid�les par le Saint-Esprit et leur participation active au culte sera consid�r�e par les plus hauts dignitaires comme une menace interne � endiguer.
Les responsables religieux recevront des directives pr�cises et officielles dans ce sens. "