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L�attaque contre la famille : la cr�ation de chaos pour cr�er un nouvel homme Par Daniel Peyron
La D�claration Universelle des droits de l�homme d�finit dans son article 16 le mariage comme constitu� d�un homme et d�une femme : � 1. A partir de l'�ge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant � la race, la nationalit� ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits �gaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution. �. Elle rappelle �galement le r�le fondamental de la famille : � 3. la famille est l'�l�ment naturel et fondamental de la soci�t� et a droit � la protection de la soci�t� et de l'Etat. � Cet aspect clair et pr�cis se devrait donc d��tre sauvegard� au niveau mondial. Or c�est bien le contraire qui se passe. Ce fondement, qu�est le mariage et la famille, se voit de plus en plus attaqu� de nos jours par des organisations au sein m�me des Nations-Unies ou � sa p�riph�rie. Une vraie contradiction ! Avec le but d�imposer aux diff�rents pays une nouvelle conception de la famille, sans aucun recours.
C�est ainsi que l�Irlande a r�cemment d� accepter d�inscrire une nouvelle d�finition de la famille traditionnelle dans sa Constitution suite � une r�union du Conseil des Droits de l�Homme des Nations-Unies : elle devra d�sormais incorporer dans sa d�finition la possibilit� pour deux personnes de m�me sexe de former une famille. Elle devra �galement r�fl�chir � interdire toute punition corporelle dans la famille. De m�me, des documents des Nations-Unies sont distribu�s en Argentine par millions pour faire accepter l�id�e que deux homosexuels peuvent aussi former une famille. Une manipulation de masse� Les nations se voient donc de plus en plus soumises � des normes juridiques qui les d�passent et qui sont d�finies par des organisations non d�mocratiques. Les droits de l�homme officiels sont r�interpr�t�s par des satellites des Nations-Unies qui agissent dans l�ombre sans devoir rendre de compte aux citoyens. La philosophie qui se cache derri�re ces nouveaux droits est bien connue : cr�er un Nouvel Homme affranchi de toutes barri�res morales pour pouvoir �tre mieux manipul�. C�est ainsi qu�Aleister Crowley, un des satanistes malheureusement les plus connus et les plus influents m�me encore aujourd�hui, �crivit dans son livre � Magick without tears �: � wherever the family has been strong it has always been an engine of tyranny�Curse them! They are always in the way..to the performance of this work [New Age] the nearest obstacle and the most obvious is the family �. (partout o� la famille a �t� forte, elle a toujours �t� un moteur de tyrannie�Maudit-les ! Ils sont toujours sur le chemin�L�obstacle le plus proche et le plus �vident � l�aboutissement du Nouvel Age est la famille). De m�me, Margaret Sanger, f�ministe et pro-avortement, d�clarait que � le lit du mariage est l�influence la plus d�l�t�re de l�ordre social �. Il s�agit donc de cr�er un nouvel ordre social (ou Nouvel Age) en d�truisant l�ordre existant. Ainsi Michel Foucault (1926-1984), agr�g� de philosophie et titulaire d�une chaire au Coll�ge de France, le plus connu et le plus r�v�r� de tous les intellectuels ayant appartenu au monde de l�homosexualit� militante, explique cette strat�gie. � la question � comment vous d�finiriez-vous? � pos�e au cours d�un entretien avec Roger-Pol Droit (Le Point du 01-07-1974), Foucault r�pond: � Je suis un artificier. Je fabrique quelque chose qui sert finalement � un si�ge, � une guerre, � une destruction. Je ne suis pas pour la destruction, mais je suis pour qu�on puisse avancer, pour qu�on puisse faire tomber les murs. � Quelle est la premi�re arme que cette �lite, travaillant dans l�ombre � l�insu des citoyens, utilise de mani�re efficace ? Ce qui s�appelle en anglais � women empowerement � et qui peut se traduire en d�veloppement de la puissance des femmes. Certains domaines qui s�y rattachent , comme la lutte contre l�esclavage sexuel ou la libert� d�expression des femmes, m�ritent bien s�r l�approbation. Mais ces domaines, qui servent souvent de paravent, cachent le vrai but de la r�volution f�ministe. A savoir la destruction d�un ordre social existant depuis des mill�naires o� l�homme est la t�te de la famille et utilise l�autorit� qui lui a �t� confi�e pour conduire sa famille. Dans ce mod�le, la femme n�est pas rel�gu�e � la place de servante ou d�esclave, mais � la place que la nature lui donne : une personne qui re�oit la vie, qui prend soin de sa famille et de son environnement. Cette place privil�gi�e et compl�mentaire de l�homme (et non en comp�tition) lui offre de grandes opportunit�s pour se d�velopper et utiliser ses dons inn�s. Contrairement � ce que les f�ministes pensent. Mais le nouvel ordre veut cr�er un nouvelle femme qui remplacerait l�homme. Or qui d�truit un ordre produit un chaos. Ici le lobby influent de la franc-ma�onnerie le reconnaitra avec sa devise : ORDO AB CHAO (un nouvel ordre � partir du chaos). L�impact sur les familles est aujourd�hui ind�niable : familles d�truites, personnes �g�es isol�es, instabilit� des relations, augmentation des d�pressions, suicides. L�impact sur la soci�t� aussi avec l�augmentation de l�isolement, et de la d�linquance. Les �meutes violentes qui se sont pass�es en ao�t 2011 au Royaume-Uni et qui ont donn� lieu � des affrontements violents avec la police, � des pillages et � des incendies volontaires, en sont un exemple. Pour Peter Oborne, analyste politique en chef au Daily Telegraph et parmi les principaux commentateurs conservateurs du pays, les �meutes r�v�l�rent la � d�cadence morale � de la soci�t� britannique tout enti�re. Le premier ministre britannique David Cameron, quant � lui, pointa du doigt, � juste titre, l'effondrement des structures familiales. Il accusa la pression internationale pour r��crire les droits de l�homme : � la v�rit�, c�est que l�interpr�tation des droits de l�homme a exerc� un effet terrifiant sur les organisations du secteur public en les incitant � agir dans des mani�res qui vont � l�encontre du bon sens, qui transgressent notre sens du bon et du mauvais, et qui minent notre responsabilit� �.[1][1] Quelques mois auparavant, il avait, de mani�re lucide, d�j� d�clar� : � Quand vous grandissez dans une famille forte, vous apprenez � vous comporter, vous apprenez � donner et � recevoir. Vous apprenez ce qu�est la responsabilit� et comment vivre en harmonie avec les autres. Des familles fortes sont la fondement d�une soci�t� plus forte. � [2][2] Cet incident en Angleterre devrait en faire r�fl�chir plus d�un. Si l�ordre social veut �tre garanti, il est urgent de pr�server l�ordre naturel dans les familles et de lutter contre le remodelage international de l�autorit� au sein de la famille (en particulier la perte d�autorit� du p�re et l� ��mancipation � excessif de la femme) et de la soci�t�. Cette lutte doit se faire au plus haut niveau de la hi�rarchie politique. En particulier au sein des Nations-Unies. Car ce sont des organisations qui s�y rattachent qui sont les plus actives dans la propagation de ce d�sordre. Babatunde Osotimehin, directeur ex�cutif de l�UNFPA (Fonds des Nations-Unies pour la Population), d�clara lors d�une conf�rence � Londres en Octobre dernier : "Nous avons d�ja fait un gros travail mais nous n�y sommes pas encore. Il n�y a pas de groupe qui abandonne son pouvoir volontairement. Les hommes n�abandonneront pas le pouvoir aux femmes de mani�re volontaire. Les femmes doivent lutter. Les femmes doivent travailler ensemble.� En particulier en fournissant une �ducation sexuelle aux adolescentes, et favorisant l�acc�s aux m�thodes modernes de contraception.[3][3] La revendication des droits sexuels permet de s�parer sexualit� et procr�ation. En augmentant son autonomie sexuelle, la femme finit par s�affranchit du c�t� protecteur de l�homme. La femme devient alors une proie facile � utiliser � des fins sexuels et perd ainsi une partie de sa dignit�. Autrefois l��quilibre sexuel dans le couple pouvait aussi �tre perturb� par des infid�lit�s mais la femme gardait sa dignit� de femme et ce rempart limitait les d�rives touchant � la vie et � la famille, comme le drame de l�avortement ou le drame des divorces en augmentation et donc des familles explos�es. Aujourd�hui ce dogme de la lib�ration sexuelle tend � se transformer en nouveaux droits de l�homme sans que l�Assembl�e G�n�rale des Nations-Unies l�ait d�cid�e. Une dictature en marche� Ainsi les principes de Yogyarta[4][4] sont utilis�es comme r�f�rences dans de nouveaux textes internationaux (alors qu�ils n�ont jamais �t� vot�s) ou bien le droit d�avortement est inc�r� sans concertation dans les objectifs du mill�naire apr�s que le texte final ait �t� ratifi� par l�Assembl�e G�n�rale des Nations-Unies.[5][5]
En conclusion, les Nations-Unies violent de plus en plus leur mandat originel et cherchent � participer � l��volution d�une nouvelle soci�t� o� l�ordre originel serait chamboul� � tout niveau : tant au niveau politique (avec l��mergence d�un gouvernement mondial) qu�au niveau de la famille. L�arme principale pour transformer la famille dite � traditionnelle � est de confisquer l�autorit� du mari et de donner � la femme une place qui la rend, en fin de compte, vuln�rable. Et ce n�est pas la construction d�une organisation sp�ciale pour les femmes aux Nations-Unies (UN Women agency) qui arrangera ce d�s�quilibre des sexes grandissant.
Pour en savoir plus sur ce sujet, voir le livre � De la Dictature du mensonge � la Lib�ration �, � commander en envoyant un email � [email protected] (http://sionway.blogspace.fr/1787101/Livre-De-la-dictature-du-Mensonge-a-la-Liberation/) |
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