Et, selon l�axiome de d�part, le r�sultat peut aboutir � une
conclusion ou � son contraire.
Pourquoi je dis cela ? Nous ne sommes pas d��minents scientifiques,
mais nous sommes mieux que cela� Nous sommes d�positaires de la
Parole de Dieu.
Alors, est-ce que la Parole de Dieu prime dans ma recherche de la
v�rit�, avec comme cons�quence en particulier la morale
jud�o-chr�tienne ?
Ou bien est-ce que je cherche � faire coller la morale du moment
avec la Parole de Dieu, et alors une esp�ce d�amalgame de compromis
divers va sortir du chapeau ? Et c�est h�las ce que certains
d�veloppe comme � th�ologie lib�rale �.
O� se trouve la v�rit� ? O� y a-t-il p�ch� ? C�est J�sus qui nous
r�pond dans la suite du r�cit,
Jean 9.26-41
26 Ils lui dirent : Que t�a-t-il fait ? Comment t�a-t-il ouvert les
yeux ?
27 Il leur r�pondit : Je vous l�ai d�j� dit, et vous n�avez pas
�cout� ; pourquoi voulez-vous l�entendre encore ? Voulez-vous aussi
devenir ses disciples ?
28 Ils l�injuri�rent et dirent : C�est toi qui es son disciple ;
nous, nous sommes disciples de Mo�se.
29 Nous savons que Dieu a parl� � Mo�se ; mais celui-ci, nous ne
savons d�o� il est.
30 Cet homme leur r�pondit: Il est �tonnant que vous ne sachiez
d�o� il est ; et cependant il m�a ouvert les yeux.
31 Nous savons que Dieu n�exauce point les p�cheurs ; mais, si
quelqu�un l�honore et fait sa volont�, c�est celui l� qu�il exauce.
32 Jamais on n�a entendu dire que quelqu�un ait ouvert les yeux
d�un aveugle-n�.
33 Si cet homme ne venait pas de Dieu, il ne pourrait rien faire.
34 Ils lui r�pondirent : Tu es n� tout entier dans le p�ch�, et tu
nous enseignes ! Et ils le chass�rent.
35 J�sus apprit qu�ils l�avaient chass� ; et, l�ayant rencontr�, il
lui dit : Crois-tu au Fils de Dieu ?
36 Il r�pondit : Et qui est-il, Seigneur, afin que je croie en
lui ?
37 Tu l�as vu, lui dit J�sus, et celui qui te parle, c�est lui.
38 Et il dit : Je crois, Seigneur. Et il se prosterna devant lui.
39 Puis J�sus dit : Je suis venu dans ce monde pour un jugement,
pour que ceux qui ne voient point voient, et que ceux qui voient
deviennent aveugles.
40 Quelques pharisiens qui �taient avec lui, ayant entendu ces
paroles, lui dirent : Nous aussi, sommes-nous aveugles ?
41 J�sus leur r�pondit : Si vous �tiez aveugles, vous n�auriez
pas de p�ch�. Mais maintenant vous dites : Nous voyons. C�est pour
cela que votre p�ch� subsiste.
Le p�ch� caract�ris� ici est celui de refuser de voir le Seigneur
alors qu�Il s�est r�v�l�.
Cela induit le refus de reconna�tre son autorit� et sa puissance.
Cela consiste particuli�rement � mettre des filtres, mais il serait
plus juste de dire des obstacles, car c�est bien de cela qu�il
s�agit, afin de tordre le sens de son enseignement.
C�est l� o� s�oppose la vraie foi, celle de l�enfant qui ne discute
pas mais accepte la Parole de Dieu comme �tant l�autorit�, et la
th�ologie d�formantes des docteurs de la loi d�nonc�s par J�sus.
C�est aussi la th�ologie des facult�s lib�rales qui d�forment la
Parole parce que ces th�ologiens pharisiens du 21�me
si�cle placent la modernit� donc la conformit� au si�cle pr�sent
comme axiome. Prenant pour principe qu�� Il faut vivre avec son
temps �.
Le Seigneur ne nous a pas donn� un Evangile pi�g� pour que l�on s�y
perde. La Parole de Dieu est simple et accessible � tous ceux qui
ont les yeux simplement ouverts.
Jean 10.10-11
10 Le voleur ne vient que pour d�rober, �gorger et d�truire ; moi,
je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu�elles soient
dans l�abondance.
11 Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses
brebis.
Quand je comprends cela je tombe � genou devant mon Seigneur et tout
le reste � la limite ne m�int�resse pas :
Comme � la synagogue des courants actuels �vang�liques ou autres
veulent croire dur comme fer qu�ils doivent observer le sabbat des
juifs, qu�ils le fassent, mais alors s�rieusement d�un coucher du
soleil � l�autre, sinon cela n�a encore moins de sens.
Personnellement c�est tous les jours que je veux rendre un culte �
mon Seigneur.
Cette conception de la loi a �t� le pi�ge des pharisiens pour nier
le Messie.
Le Seigneur nous a lib�r�s du l�galisme juif pour mettre une loi
d�amour dans nos c�urs, avec une Alliance nouvelle, plus excellente
que la premi�re, comme il est �crit.
Si seulement les pharisiens avaient mieux compris le sens de la loi.
Ils n�auraient certainement pas seulement crois� J�sus puis ne
l�auraient pas mis � mort. Ils l�auraient vu et reconnu lors de sa
premi�re venue. Ils auraient alors pu accomplir la mission
qui leur �tait �chue,
d��vang�liser le monde .
L�histoire est ce qu�elle est, mais au moins ne la recommen�ons pas
en devenant aveugles et l�galistes � notre tour. Ce qui est vrai
pour le sabbat reste vrai pour quantit�s de sujets secondaires qui
divisent � nouveau aujourd�hui les �glises.
Le jeu de l�ennemi est de nous monter les uns contre les autres et
comme je le disais cet ennemi implacable sugg�re une pl�thore de
variantes doctrinales.
Il y a des choses de peu d�importance, il y en a de
gravissimes. Alors, le d�fi qui nous concerne tous se r�sume ainsi :
Suis-je aveugle ou suis-je bien voyant ?
- L�aveugle ne connait pas la lumi�re de Christ, il ne peut donc
pas, ou il ne peut plus la reconna�tre. Dans ce cas il cherche
ses marques� dans la morale du monde.
- Le bien-voyant a ses sources dans la Parole de Dieu qu�il
prend au s�rieux et ne met pas cette parole ni en doute, ni en
comp�tition avec la sagesse du monde.
Quelle est et quelle sera notre attitude, nous le petit troupeau ?
Allons-nous entrer dans le jeu de l�ennemi comme des aveugles ou
allons-nous voir avec les yeux de l�Esprit de Dieu les pi�ges de
l�ennemi. Et, nous le savons bien un pi�ge d�couvert n�est plus un
pi�ge, sauf pour les insens�s. Mais ce que je constate cependant�
c�est qu�il y a beaucoup d�insens�s.
Pendant
que je pr�parais ce message j�ai eu comme une vision en tout cas une
image qui m�a stopp� net dans la pr�paration du message.
Je voyais certains chr�tiens comme t�tanis�s devant un grand serpent
la gueule grande ouverte. Ils s�interrogeaient entre eux, ils
avaient peur aussi mais pourtant quelques uns s�approchaient comme
pour voir ce qu�il y avait � l�int�rieur de la gueule grande
ouverte. Ils comprenaient que les choses ne vont plus comme il
faudrait, ils comprenaient qu�il y avait l� un danger imminent, que
la doctrine d�rape comme sur le verglas et pourtant ils fermaient
leurs yeux et leurs oreilles � l�Esprit qui leur rappelait cet
ultime avertissement :
� Sortez du milieu d�elle mon peuple� �
Cependant, ils restaient l� ! Pour voir, au cas o�, au cas que�
Et le serpent � la gueule grand ouverte les attendait mais eux
restaient l� � regarder, t�tanis�s jusqu�au moment o� il serait trop
tard.
Certains disent � nous on reste-l� pour rendre un bon t�moignage
aupr�s des autres afin qu�ils comprennent et que les choses
changent� �
Mais la r�alit� est souvent que ceux-l� s�habituent � leur tour au
danger et finissent par adh�rer aux mensonges.
La suite vous la connaissez.
Voil� ce qui attend les aveugles et les sourds. Ils n�entendent pas
l�appel du Seigneur et leur intelligence ne fonctionne que sur la
base d�un axiome pervers : se conformer au monde.
Pourtant la solution est connue, elle est simple : Revenez � la
simplicit� de l�Evangile de J�sus Christ � Sa Parole, � ses
promesses et � Sortez du milieu d�elle mon peuple� � Sortez de la
compromission et de l�apostasie mon peuple.
Que Dieu vous �claire et
vous b�nisse.