(Ce r�cit se sert des
�l�ments historiques, g�ographiques, psychologiques et bibliques, que
nous poss�dons aujourd�hui et qui nous permettent une reconstitution
�tonnamment vivante des �v�nements de la Passion...).
�
� Bon ! Il n�est pas
mort ! dit le centurion. On a de la chance ! Bande de brutes, faut pas
taper si fort, ce n�est pas un morceau de bois, c�est quand m�me de la
viande ! S�il y �tait pass�, avant d��tre crucifi�, qu�est-ce qu�on
aurait entendu!�...
Les soldats ont relev� J�sus. Un
l�gionnaire avait apport� le titulus, une planchette de bois blanchie au
lait de chaux, avec des lettres noires: � J�sus roi des
Juifs !�.
J�sus
dans le pr�toire
�
� Mais alors c�est
vrai, c�est un roi ! On manque � nos devoirs !�
Un soldat avait d�nich� une vieille
cape rouge, et l�avait jet�e sur les �paules en sang de J�sus. Un
autre avait pris dans un fagot une branchette d��pines et l�avait
tress�e en couronne. �Il lui faut aussi un sceptre! Une
tige de roseau avait fait l�affaire. Et les soldats l�entouraient,
goguenards, s�inclinant chacun � son tour, ployant ironiquement le
genou :
�
� Salut, roi des
Juifs ! Salut, majest�, nous te rendons hommage ! �.
La flagellation de J�sus
Apr�s l�entrevue avec Pilate,
les soldats ont pouss� J�sus dans l�escalier menant jusqu�� la
cour pav�e, o� d�autres soldats jouaient aux cartes pr�s d�un brasier en
buvant de la bi�re.
�
�Je vous am�ne de quoi
vous r�chauffer, dit le centurion. Flagellation ! Mais ce n�est
pas n'importe qui, Il est roi des Juifs ! �.
Tout le monde s�est
esclaff� : Roi de Juifs ! Alors on va le soigner ! On
va lui rendre les honneurs dus � son rang !�.
Il
re�ut quarante coups moins un !
Il y a quelques ann�es alors que
James White �tait pr�occup� par le probl�me de la gu�rison divine en
rapport avec l�Expiation, Dieu lui donna une vision des
flagellations de J�sus qui le lib�ra des fausses doctrines de
l�heure actuelle.
Il avais toujours cru que la gu�rison
ne faisait pas partie de l�Expiation, mais que nous devions
permettre � Dieu de nous ch�tier et que par la maladie, Il
nous amenait � l�ob�issance. Or, si cet enseignement est scripturaire,
la gu�rison ne peut �tre comprise dans l�Expiation.
Il avais entendu affirmer par d��minents
pr�dicateurs que Dieu se sert de la verge pour nous ramener sur
le bon chemin et le seul moyen dont Il dispose pour atteindre ce
but est de permettre la maladie et de nous discipliner par son moyen.
Nous savons que Dieu nous ram�ne parfois � Lui par la
maladie, mais ce n�est pas l� Son Plan. Il a une autre m�thode.
Il se sert de son propre b�ton, Sa Parole !
�
La Bible, Esa�e 11:4: � Mais Il jugera les
faibles avec justice et Il prononcera avec droiture en faveur des
pauvres du pays. Il frappera l�oppresseur de la
verge de sa bouche, Il tuera le
m�chant du souffle de ses l�vres �.
�
La Bible, 2Timoth�e 3: 16 & 17: � Toute l��criture,
inspir�e de Dieu, est aussi utile pour
l�enseignement, pour la correction, pour le redressement, pour
l��ducation qui est dans la justice, 17 afin que l�homme de Dieu
soit dans l��tat voulu, pr�t pour toute �uvre bonne �.
�
La Bible, Job 37:13: � C�est comme une verge
dont Il frappe sa terre, ou comme un signe de son amour,
qu�Il les fait appara�tre �.
James
White d�clare encore :
� Malgr� cet �tat de confusion
d�esprit nous avions la coutume de prier pour les malades, c��tait en
1940, un ou deux soirs par semaine dans l�une de nos grandes �glises
et beaucoup �taient gu�ris. Un jour, le serviteur de Dieu me
demanda d�apporter un message sur la gu�rison, car il y avait un certain
nombre d�infirmes qu�on amenait sur des fauteuils roulants, et plusieurs
autres cas d�sesp�r�s. Il sentait qu�un message sur la gu�rison les
aiderait � croire. Je compris que le moment �tait venu o� je devais
recevoir de dieu une r�ponse d�finitive concernant l�enseignement de
l��criture sur ce sujet. Je me mis donc � prier et � je�ner. Une
apr�s midi, tandis que j��tais en pri�re, je me sentis transport� en
esprit, j�insiste sur le fait que ce n��tait qu�une vision. Il est
possible que J�sus n�ait pas �t� flagell� exactement de cette
mani�re, mais cette vision n�en n�est pas moins r�elle � mes yeux �.
� Alors
donc Pilate prit J�sus et le fit flageller �.
(La
Bible, �vangile de Jean chapitre 19 verset 1)
�
� Je me trouvai dans une
grande salle, soutenue par de gros piliers et construite en pierres
blanchies � la chaux un bruit. Je me tenais dans ce b�timent avec un
fr�re dans la foi. Nous nous entretenions au sujet de la gu�rison,
lorsque nous entend�mes un brut. Nous nous retourn�mes et v�mes une
foule s�approcher. Il y avait trois hommes encadr�s de deux files de
soldats. L�homme au centre �tait conduit par deux autres � peau noire,
fortement muscl�s, haut de pr�s de deux m�tres et v�tus d�un pagne.
Autour de ce groupe se pressait un autre groupe d�hommes, de femmes et
d�enfants. Ils hurlaient en se bousculant les uns les autres. Lorsque
les soldats se furent approch�s de nous, je vis que l�homme que l�on
conduisait �tait J�sus.
Son visage �tait hagard, abattu,
ensanglant�, mais Son Regard �tait bienveillant. � En un rien de
temps, deux soldats l�ont d�shabill�... J�sus a trembl� de froid
mais aussi de peur Ils mirent J�sus devant moi et Le
plac�rent face � l�un des piliers. L�, environ � la hauteur qu�un homme
peut atteindre en levant les bras, une pi�ce de bois horizontale se
trouvait attach�e. J�sus avait, fix� � chacun des ses poignets,
une courroie d�un demi m�tre de longueur. Ils lanc�rent ces courroies
par-dessus la pi�ce de bois et tir�rent jusqu�� ce que J�sus ne
toucha plus le sol que de la pointe des pieds. Ils Lui enlev�rent
alors ses v�tements. A la droite de J�sus, par terre se trouvait
une auge remplie jusqu�� mi-hauteur d�une eau boueuse, de laquelle
pendait trois manches de bois recouverts de cuir. Un des hommes � la
peau noire saisit l�un des ces manches muni de trois lani�res de cuir.
Il en trempa l�extr�mit� dans l�eau boueuse et la brandit. Je remarquai
alors que sur ces lani�res, � quelques centim�tres de distance les unes
des autres, se trouvaient incrust�es des petites pi�ces de m�tal ou
d�os, semblables aux jetons avec lesquels nous jouions lorsque nous
�tions enfants.
L�un des hommes au service de la troupe,
arm� d�un casque blanc et d�une cuirasse blanche s�approcha du pilier o�
je me tenais; il ramassa un morceau de pierres et, de la paume de la
main il nettoya un certain espace sur le pilier et regarda si l�on
pouvait y faire des marques avec la pierres. Il y arriva. Alors il
glissa un mot � l�oreille de l�homme qui tenait le fouet, et celui-ci se
pla�ant derri�re J�sus, apr�s avoir mesur� sa distance, Le
frappa d�un grand coup au milieu du dos en L��corchant du haut en
bas.
Le premier coup avait �t� terrible. La
douleur fulgurante. Un arrachement de tout le dos. J�sus n�avait
pu r�primer un cri. Il avait agripp� le poteau, et plaqu� son visage
contre le bois ! Un nouveau claquement, et un nouvel arrachement. Il
frappait de toutes ses forces. Le sang jaillit � travers tout le dos et
J�sus se souleva par la force des poignets ramena ses genoux sous
Lui et tenta de se d�tourner son dos du fouet. Lorsque J�sus se
d�tendit, l�homme �tait pr�t. Il frappa de nouveau. J�sus se
tordit et l�on entendit un g�missement sortir de Ses l�vres. La
sueur perlait sur tout son corps des lambeaux de chair pendaient sur
Ses jambes. J�entendis alors � c�t� de moi le grattement d�une
pierre � l�endroit o� le capitaine des gardes faisait les marques. L�homme au fouet frappa de
nouveau, et lorsque son instrument toucha le sol, il laissa une trace
ensanglant�e dans la poussi�re. Il continua ainsi � frapper jusqu�� ce
que le sang lui coula le long des bras et qu�il en fut tout �clabouss�.
Il d�posa alors son fouet et en prit un autre dans l�auge ��.
Il est bien reconnu par l�Histoire
que la flagellation �tait une m�thode d�ex�cution qu�on employait
pour certains condamn�s � mort. Je suis convaincu que le plan de
Satan �tait de faire mourir J�sus � ce moment l�. Il pensait
qu�il ne pourrait pas supporter ce traitement, car seul un condamn� sur
dix survivait � cette torture. Son intention �tait de l�emp�cher
d�atteindre la Croix.
� Des
laboureurs ont labour� mon dos,
ils
y ont trac� de longs sillons ...�.
(La
Bible, Psaume 129:3)
Mais Dieu pr�parait la gu�rison
pour son peuple. Chaque coup de fouet pla�ait sur le dos de J�sus
le cancer, la tuberculose ,et toutes autres esp�ces de maladies. Ne
lit-on pas, en effet, dans le proph�te Esa�e:
� � C�est
par meurtrissures que nous sommes gu�ris � (La Bible,
proph�te Esa�e chapitre 53).
Et l�ap�tre Pierre d�clare que
sur la m�me Croix, J�sus a port� nos p�ch�s et nos maladies.
�
� Tandis que je regardais
sans pouvoir d�tourner mes yeux de cette sc�ne, je remarquai la foule.
Il y avait des hommes qui demandaient qu�on f�t gr�ce � J�sus;
d�autres plus pervers, r�clamaient en hurlant plus de sang ! Les
soldats, habitu�s pourtant � voir chaque jour de telles choses
d�tournaient leurs visages de cette sc�ne ensanglant�es. Quelques-uns
tombaient � genoux en pri�re et levant les yeux au ciel demandaient �
Dieu d�arr�ter cette horreur. Mais il est �crit:
� � Il
est impossible que le sang des taureaux et des boucs �te le p�ch� et les
maladies � (La Bible, �p�tre aux h�breux chapitre 10, verset
4).
�
Nous observ�mes alors que
le bourreau avait un c�t� tout couvert de sang. Il avait lac�r� un c�t�
du dos de J�sus, et il s�appr�tait � faire de m�me pour l�autre.
J�sus avait cess� de se d�battre e pendait inerte par les
poignets. Le troisi�me fouet faisait maintenant son �uvre et coupait les
cheveux de J�sus � la hauteur des �paules. J�entendais encore le
grattement r�gulier du caillou sur le pilier � c�t� de moi. Il semblait
qu�aucun �tre humain ne pourrait survivre � cela. Une mare de sang
s��tendait � Ses pieds et de longs g�missements sortaient de
Ses l�vres. Finalement, l�homme responsable de ce supplice dit un
mot et le bourreau laissa tomber son fouet. Je regardais le pilier, et
je comptais les marques. Il y en avait 39. Ils avaient
frapp� J�sus 39 fois pour ma gu�rison. Un autre homme, qui
se tenait l�, saisit une �p�e et coupa les courroies que tenaient
J�sus suspendu. Il tomba alors comme un sac sur Son dos
lac�r�, dans la poussi�re ensanglant�e du sol. Le bourreau lava son bras
dans l�auge et de la main �claboussa sa victime. Mais la foule
commen�ait � se pousser en avant et les soldats entr�rent en masse dans
la salle. Lorsque les hommes qui Le conduisait se pench�rent sur
J�sus pour Le prendre par les bras, je fis un mouvement en
avant pour voir Son visage. Bien qu�on p�t entendre les
impr�cations des hommes m�chants et les blasph�mes charg�s de haine de
ceux qui Le frappaient, J�sus me regarda et Son
regard exprimait la bont�, la bienveillance et la sympathie. Je compris
alors que Dieu avait permis qu�un tel ch�timent tomb�t sur ce
joyau c�leste, afin que je n�aie pas � porter moi-m�me le poids de mes
maladies �.
L�Ancien Testament
contient 39 livres !
Il y a exactement 39 livres
dans la premi�re partie de La Bible appel�e � Ancien
Testament �. J�sus est venu pour accomplir
toutes les �critures et nous assurer toutes les promesses de
Dieu dans tous les domaines, notamment, la Gu�rison Divine.
Et Il a pay� un grand prix pour cela !
La
justice se trouve aussi 39 fois
dans le
Nouveau Testament !
Au travers de son Sacrifice, la
justice de Dieu a �t� satisfaite et nous devenons en Lui,
en J�sus, � Justice de Dieu !�.
1Corinthiens 1 : 30 : � Or, c'est par lui que vous �tes
en J�sus Christ, lequel, de par Dieu, a �t�
fait pour nous sagesse, justice et sanctification et
r�demption,
2Corinthiens 5 : 21 : � Celui qui n'a point connu
le p�ch� (J�sus), Il (le P�re)
L'a fait devenir p�ch� pour nous, afin que nous
devenions en Lui (en J�sus) justice de
Dieu �.
39
types de maladies
cit�es dans
toute la Bible !
Chers amis lecteurs, si vous avez la foi
avec moi de poser vos mains sur le dos de J�sus sillonn� de
plaie, vous serez gu�ris. Aucune maladie ne peut subsister en pr�sence
de J�sus. Il serait insens� de minimiser la flagellation de
J�sus, quand on conna�t les coutumes romaines. Il est bien certain
que Dieu n�aurait jamais accept� que Son Fils f�t flagell�
d�une si horrible mani�re, s�Il n�avait pas un but bien d�fini.
Ce but, c�est vous et moi, et nos maladies. Croyons cela et recevez la
Vie. La Bible dit: � C�est par Ses meurtrissures
que nous sommes gu�ris �.
L�onction
est mentionn�e 39 fois dans
l�Ancien Testament !
Curieusement, il est question 39
fois de l�onction dans tous les livres de l�Ancien Testament
! Est-ce le hasard ? La puissance de Dieu appel�e � l�onction �
qui �tait en J�sus le � Oint � par excellence fut lib�r�e
par les 39 coups qui L�ont meurtri, d�figur�,
d�chiquet� Une Puissance de Gu�rison fut lib�r�e en votre
faveur. Entendez-vous le sifflement fun�bre du fouet qui a lac�r� le
dos de J�sus ?
1Jean 2 :
20/27 : � Et vous, vous avez l'Onction de la part
du Saint et vous connaissez toutes choses� et, pour
vous, l'Onction que vous avez re�ue de Lui
demeure en vous, et vous n'avez pas besoin que personne
(en grec : � que
n�importe qui vous enseigne �)
vous
enseigne; mais comme la m�me Onction vous enseigne �
l'�gard de toutes choses, et qu'elle est vraie et n'est pas
mensonge, -et selon qu'elle vous a enseign�s, vous
demeurerez en Lui �.
La
Crucifixion de J�sus
�
�Tenir jusqu�au bout !��
.. se r�p�tait J�sus qui ne
parvenait plus � soulever les pieds, et tr�buchait � chaque pas. A
deux reprises, le cort�ge s��tait arr�t� pour permettre aux condamn�s de
reprendre souffle. Agac�, le centurion avait frapp� l�assassin, avec le
plat de son glaive. J�sus avait entendu le cri de douleur.
Arriv� en haut de la colline, le voleur
s��tait mis � hurler. Un soldat a d� le ceinturer, car, affol�, il avait
l�ch� la traverse, et cherch� � fuir. J�sus n�avait pas tard� �
comprendre les raisons de cette terreur. A son tour, Il �tait
parvenu au sommet, et d�un seul coup, les avait vus. Trois poteaux
plant�s dans la pierraille, trois pieux noirs qui se dressaient
sinistrement, dans le ciel gris. Trois arbres de mort. De nouveaux cris.
Deux hommes v�tus de tabliers de cuir
s��taient empar� du voleur, l�avaient d�shabill�, renvers� � terre,
et lui liaient les bras � la traverse. D�un coup sec, le bourreau
enfon�a le clou dans le bois. Un hurlement horrible jaillit. Le
premier clou avait transperc� le poignet. Un second coup de marteau, un
nouveau rugissement de douleur. J�sus s�effor�ait de ne pas
entendre. Mais les hurlements Lui per�aient les oreilles. Il
s��tait tourn� vers la ville. Il regardait les murailles ocres
de J�rusalem. Les maisons blanchies � la chaux. La fa�ade
du temple orn�e de pointes d�or... De l�autre c�t�, derri�re les
fortifications, un troupeau de ch�vres... Au-del� encore, il pouvait
apercevoir, sur la ligne d�horizon, les sommets des monts de Samarie.
Derri�re, mais seulement avec son coeur, il voyait sa verte Galil�e,
aux prairies piquet�es d�an�mones rouges, et les eaux translucides
du lac de G�n�sareth... Un hurlement terrible lui fit tourner la
t�te. Le voleur, enti�rement nu �tait suspendu par les mains sur le
poteau vertical. J�sus apercevait les rigoles de sang qui
coulaient sur le poteau, puis formaient une flaque de sang sur le sol...
Un nouveau coup de marteau avait transperc� les pieds du crucifi�....
L�homme s�agitait comme s�il voulait arracher les mains de la
traverse... J�sus s��tait pr�par� � tout, � la douleur, �
l�humiliation de la douleur, mais pas � l�ind�cence d��tre nu. Il
ne pouvait d�tacher les yeux, de ce corps expos�...
Puis ce fut au tour de l�autre brigand.
Il hurlait un peu moins, mais se d�battait, soufflait, injuriait. Il
insultait ses bourreaux... Lui aussi fut �cartel� sur la croix. Il
criait, crachait, mais perdait peu � peu ses forces. Ce fut le tour de
J�sus. Il s�est alors raidi.
�
� Surtout ne pas crier,
garder sa dignit�...�.
�
Il �tait comme : � une
brebis muette devant ceux qui la tondent !� (Esa�e 53:7).
Les deux bourreaux lui enlev�rent la
tunique... Couch� sur l�herbe et la pierraille, ils �tendirent son bras
sur la traverse. Un premier clou fut enfonc�. Le front ruisselait de
sueur. Il serrait les dents � les briser. Le coup de marteau r�sonne
dans toute sa t�te. La souffrance est terrible. Plus que ce qu�il avait
imagin�. Il avait tourn� les yeux, et vu son poignet perc� et sanglant.
Pas la main, le poignet, et m�me l�avant-poignet, entre les deux os.
Sous la douleur, des doigts s��taient convuls�s, et agrippaient la t�te
du clou. Un sang rouge et vif coulait le long de son bras.
Le deuxi�me coup de marteau lui avait fait fermer les yeux et serrer
encore plus fort les dents :
�
� Surtout ne pas crier
!�.
Puis, Il fut hiss� le long du
poteau. J�sus a regard� en bas, et aper�u le clou de fer,
�norme, effil� comme une lame... qui allait transpercer les os de
ses pieds... Suspendu par les poignets, � la croix du milieu... Il
allait mourir, non � cause du sang qui coulait par les plaies, mais par
asphyxie, par �touffement, suffocation, car les
muscles qui servent � respirer; ne peuvent rester longtemps dans cette
position. Une poigne monstrueuse �tranglait la gorge, �crasait la
poitrine. En prenant appui sur ses jambes, Il pouvait desserrer
cette �treinte et trouver un peu de souffle.
A trois m�tres au-dessous de Lui,
les soldats partageaient les v�tements des condamn�s; On tirait au
sort, � coup de d�s, sa mis�rable tunique, son pagne, sa ceinture et ses
sandales. Une tra�n�e de sang avait coul� sur son visage.
�
� P�re,
pardonne-leur, car ils ne savent ce qu�ils font !�.
Un soldat relevant la t�te dit:
�
� J�sus, roi des
Juifs ! Ah ! Il est beau le roi des juifs ! Il para�t que tu es
l�envoy� de Dieu, alors demande-Lui de te d�lier de la
croix !�.
�
� On dit qu�il fait des
miracles ! ajoute un des aides du bourreau. Il est capable de
descendre tout seul de la croix, et de venir nous tirer les oreilles
!... Tu parles, il est trop bien l�-haut. Vue imprenable sur toute la
r�gion !�.
De chaque c�t� de sa croix, J�sus
entendait les g�missements de ses deux malheureux compagnons. Le voleur
se recroquevillait sur sa douleur, mais l�assassin continuait �
cracher, � �cumer, � injurier les soldats. Une sorte
d'hal�tement rauque qui s�affaiblissait dans le vent. Brusquement sur sa
gauche, le voleur dit :
�
� J�sus, dis-moi,
ton royaume, tu es s�r qu�il va arriver ? Tu es s�r qu�on ne va pas
vraiment mourir ? Souviens-toi de moi quand tu seras dans ton r�gne !�.
�
J�sus r�pond : �Je te le dis, aujourd�hui,
tu seras avec moi dans le Paradis!�.
L�autre continuait � s�agiter. En
tournant les yeux, J�sus avait aper�u son visage congestionn� aux
l�vres couvertes d�une �cume blanche. L�homme avait crois� son regard,
et en un ultime effort, avait cri�: �Ton Dieu, c�est du vent. On
va tous creve r! On va pourrir comme des charognes ! Tu ne vois pas les
mouches... Ton royaume, c�est parce que tu as peur de mourir ! Il n�y a
rien apr�s la mort...�.
Le corps de J�sus n��tait que
feu, taraud� par la douleur. Ses poumons br�laient, incendiaient sa
gorge. Il eut soif. Un soldat s�est approch�, il a fix� une
�ponge imbib�e de vin au bout de sa lance. Le vin �tait aigre. Il
br�lait plus qu�il ne d�salt�rait... Puis un coup d��p�e a travers� le
corps. La douleur a redoubl�, des poignets jusqu�aux talons, en passant
par les �paules et le dos � vif. Il s��tait crisp� � s�en briser...
L'efficacit� du Sang de J�sus
"Nous
avons au moyen du Sang de J�sus une libre entr�e dans le
sanctuaire...".
Il y a une
vertu efficace dans le Sang que J�sus a vers� sur la
Croix; manifestement, il y a dans la Bible une "doctrine
du Sang de J�sus".
On
raconte qu'� Mexico, l'ordre avait �t� donn� � un chien
d'attaquer un chr�tien qui annon�ait l'Evangile. Le chien en
furie s'�lan�a sur le pr�dicateur, mais celui-ci plein de l'Esprit-Saint
s'�cria:
�
"Je suis vainqueur par
le SANG de J�sus
!".
Et le chien tomba raide mort !
� Vois
ce que le Sang a fait pour toi ! �
Frapp�e d'un mal �trange, dans un �tat
de faiblesse extr�me, Elisabeth BOSSERT,
le 8 juin 1948 a fait une visite au Ciel...
elle commen�a dans son lit de douleur � entendre des chants c�lestes, ne
pouvant �tre compar�s � une musique d'ici-bas... les choses de la terre
commen�aient � s'�vanouir et elle entendit une voix:
�
"C'est aujourd'hui que
tu vas � la Maison du P�re. Le temps est venu maintenant
o� tu vas partir. Si tu d�sires faire tes adieux � ta famille, fais-le �
l'instant".
Ce qu'elle fit. Puis fermant les yeux �
ce monde elle les ouvrit dans l'autre, elle montait, montait, montait.
Elle aper�ut une grande forme lumineuse, un grand Corps de Gloire...
s'examinant de haut en bas, elle avait un v�tement sombre, triste, rong�
par les vers. Elle pensa:
�
"Je ne pourrai jamais
rentrer au Ciel avec ce v�tement !".
Un �tre c�leste apparut � ses c�t�s,
environn� de gloire et de lumi�re. C'�tait J�sus. Elle se
prosterna � ses pieds, sentant son indignit�, mais lui la regardait en
souriant. De son c�t� perc� sortit de l'eau et du sang qui coula sur
elle jusqu'� en �tre totalement recouverte. Puis, la touchant,
Elisabeth se redressa, rev�tue d'un v�tement blanc; elle dit:
�
"Maintenant, je suis
pr�te � entrer au Ciel".
�
Le Sauveur dit: "Vois
ce que le sang a fait pour toi".
�
"Oui",
r�pondit-elle, "je n'aurai jamais pu entrer au ciel sans ce Sang
!".
Levant la t�te, esp�rant voir le ciel,
je vis que j'�tais sur le rivage du "fleuve de la mort" avec
J�sus � c�t� de moi. Le fleuve de la mort autant que j'aie pu
l'�valuer, est large d'environ trois m�tres. C'est une rivi�re chaude,
agit�e de remous et j'�tais impatiente de la traverser. Le "fleuve de
la mort", n'est pas redoutable si vous �tes en r�gle avec le
Seigneur, pr�ts � le rencontrer et � aller au Ciel. C'est une
exp�rience merveilleuse de votre vie quand vous arriverez � traverser
cette rivi�re pour pouvoir entrer ensuite dans une vie plus riche et
plus pleine avec J�sus.
Il n'est pas �tonnant que la Bible
dise:
�
1Corinthiens 15:15: "�
mort, o� est ton aiguillon? � mort, o� est ta victoire ?".
Comme je me tenais l�, je jetais un coup
d'�il de l'autre c�t� de la rivi�re, et alors, le ciel apparut. Je
restai un moment � contempler et tout commen�a � se pr�ciser. J'�tais si
�mue !
Je vis d'abord la porte des cieux, une
grande et belle porte blanche �tincelante, �blouissante de splendeur. Oh
! C��tait merveilleux de la contempler. Un �tre c�leste se tenait pr�s
de cette porte entreb�ill�e. A l'int�rieur se tenait ma m�re, d�c�d�e
vingt-sept ans auparavant. Je la trouvai chang�e; elle aussi, elle
semblait plus jeune que lorsque j'avais re�u son dernier adieu en bas
sur la terre. Elle semblait �tre dans sa jeunesse, si belle et
glorifi�e. Elle brillait de la gloire du Ciel; ses cheveux m�me
semblaient si doux et elle �tait couronn�e de gloire au lieu de sa
chevelure terrestre. Elle portait une longue robe �tincelante de
blancheur et cette splendeur �tait glorieuse � regarder. Elle se tenait
debout et me souriait de l'autre c�t� du fleuve. Quand je vis son
sourire, je me disposais � traverser le fleuve pour la rencontrer et
pour la serrer dans mes bras. Au moment o� j'�tais sur le point de
traverser, J�sus toucha mon bras et me dit:
�
"Ne fais pas cela;
regarde et vois ce que tu peux voir".
Et comme je regardais le visage de
J�sus (car, apr�s qu'il m'eut merveilleusement chang�e, je pouvais
le contempler), je sus que je d�sirais lui ob�ir plus que de faire autre
chose, m�me si je devais languir d' entrer dans ces portails des cieux.
Je dis: "Je veux bien". Alors, je regardais et vis mon p�re.
Combien il avait chang� ! Quand mon p�re mourut, il �tait vieux, rid� et
faible. En r�alit�, je ne peux pas me rappeler mon p�re au temps o� il
�tait jeune. J'�tais la derni�re des huit enfants, et quand je connus
mon p�re, il descendait la pente de sa vie. Sa sant� avait �t�
d�faillante de bonne heure, mais En-Haut, il �tait tout chang�,
plus qu'aucun de ceux de ma famille. Il �tait maintenant si jeune, beau,
�l�gant et glorifi�! Il se tenait l�, lui aussi et me souriait de
l'autre c�t� du fleuve de la mort. J'�tais extraordinairement �mue, je
peux vous le dire.
Je regardai un peu plus loin et je vis
mon fr�re Darius. Darius �tait mort quelques ann�es auparavant ;
mais lui, comme les autres, semblait tr�s heureux et me souriait.
Ensuite, je vis ma s�ur Sara.
Elle �tait si blonde et belle, v�tue d'un charmant v�tement blanc, elle
aussi, et couronn�e de gloire. Elle me souriait d'une mani�re
d�licieuse. Jamais je ne l'avais vue sourire aussi doucement.
A c�t� de ces bien-aim�s, �tait un tout
petit enfant d'environ dix-huit mois. C'�tait mon fr�re qui �tait mort
tout petit, longtemps avant que je ne fusse n�e. Au moment o� je le vis,
je sus que c'�tait le petit Edouard. Il �tait v�tu lui aussi
d'habits blancs et brillants, et sa chevelure soyeuse semblait pareille
� des rayons d'or. Les mots ne peuvent exprimer comment sont ces enfants
charmants dans ce monde glorieux.
Ensuite, je vis S�ur Byers de
notre Assembl�e qui �tait morte en f�vrier 1948. Elle
avait gard� le lit pendant un grand nombre d'ann�es avant de mourir et
avait beaucoup souffert. Mais maintenant, elle ne souffre plus, elle
n'est plus faible, ni fatigu�e. Elle est en pleine sant� et son visage
est illumin� de la gloire de Dieu. Elle fut la seule qui me parla
par dessus le Fleuve de la Mort.
�
Elle dit: "S�ur
Bossert", et je l'entendis clairement, "voudriez-vous porter
un message � mon mari ?".
�
Je r�pondis: "Oui !".
Mais je ne savais pas pourquoi je
r�pondais ainsi, car je ne pensais pas revenir sur la terre. Elle me
donna le message:
�
"Dites-lui de ne
laisser entrer dans sa vie rien de ce qui pourrait l'emp�cher d'�tre
pr�t pour le retour du Seigneur, car nous esp�rons le voir monter
ici
Tandis qu'elle me disait qu'elle
esp�rait voir son mari ici, son visage resplendissait de la gloire de
Dieu.
Et alors, je vis le tr�ne de Dieu.
La gloire du tr�ne de notre roi terrestre n'est en rien comparable � la
gloire du tr�ne de notre ROI. Ce fut merveilleux pour moi de voir
Dieu Lui-M�me assis sur son tr�ne. Et penser qu'en cet instant,
Il me souriait � travers le Fleuve de la Mort,
indigne comme je l'�tais ! Que rien ne nous emp�che d'entrer dans ce
monde glorieux, sinon, vous ne verriez pas ce merveilleux sourire. Il
m�rite bien tous nos efforts, et nous ne devons reculer devant aucun
sacrifice pour �tre pr�ts � rencontrer notre Seigneur.
Alors, quelqu'un nous est apparut, se
dirigeant vers le tr�ne de Dieu. Je regardai encore et vis notre
P�re Abraham. Il n'est pas vieux, ici, mais jeune et beau. Il est
tr�s grand et porte une barbe. D�s que je l'eus l'aper�u, je sus qui il
�tait. Il me sembla que j'aimais Fr�re Abraham autant que mes
propres parents, et mes bien-aim�s. Au ciel, il n'y a pas de liens de
famille ; mais tous sont souriants et heureux ensemble. Il n'y a plus ni
hommes, ni femmes, mais tous sont comme des anges des cieux. Je regardai
dans le pass� et vis les vieux patriarches. Je les reconnus, car,
En-Haut, nos esprits sont rendus parfaits et nous connaissons toutes
choses. Je vis des saints innombrables allant et venant dans leurs
brillantes robes blanches.
Le Ciel est si grand que nous
pouvons prier pour autant d'�mes qu'il est possible, d'entrer dans le
royaume et il y aura de la place pour beaucoup plus encore. En arri�re
du tr�ne de Dieu, je jetai un coup d'�il sur les r�compenses
pr�par�es pour les saints. Oh ! saints, je d�sire vous dire ce qui sera
la plus grande surprise de votre vie, quand vous verrez ce qui vous est
destin� ici. Les r�compenses sont si grandes pour les petites choses que
vous faites ici-bas. Il se peut que vous ayez donn� une poign�e de
mains cordiale ou un "Dieu vous b�nisse " ou seulement un
sourire. Vous oubliez vite le don que vous avez fait de ces petites
choses. Mais elles sont toutes enregistr�es ici En-Haut et les
r�compenses vous attendent. Si vos petites choses sont r�compens�es,
quelle sera votre r�compense pour les grands sacrifices que vous avez
faits pour la cause du Christ ? Aussi, maintenant, chers saints,
ne manquez pas de les faire, � aucun prix !
Je suis assur�e que tous les vrais
enfants de Dieu ont des r�compenses qui les attendent. Aussi, ne
manquez pas d'arriver au ciel o� tant de choses merveilleuses sont
pr�par�es pour nous". Avant de retourner sur terre, J�sus dit �
Elisabeth:
�
"Dis aux pasteurs,
quand tu retourneras en bas, de faire un plus grand cas du SANG
de CHRIST. On ne tient pas compte du Sang sur la Terre
!"
(Extraits du t�moignage de
Elisabeth BOSSERT, faisant partie de l'Assembl�e de Bayle
pr�s de Sainte-Anne, Ontario).
La Bible affirme que par le
Sang de J�sus, nous avons
:
- Le
Rachat de nos p�ch�s
- La
Purification de nos p�ch�s
- La
Paix avec Dieu
- La
Justification
- La
D�livrance (Apocalypse 1:5)
- La
Victoire sur Satan (Apocalypse 12:11)
- Une
Libre Entr�e dans le Sanctuaire C�leste de Sa Pr�sence ! (H�breux 10: 19)
Le Sang vers� � la Croix
est la preuve de l'Amour de Dieu, et de la mort r�elle de
J�sus faisant expiation de nos p�ch�s.
Dans son livre "Trente fois le tour
du monde", Raoul Follereau cite le cas d'un homme de soixante
ans porteur aux halles. Qu'a-t-il fait ? Peu de choses en r�alit�. Il a
donn� 355 fois son SANG
� des mourants qui sans lui seraient
morts... il s'est ainsi vid� dix fois de son sang pour les autres. Voil�
! C'est tout ! Et lorsqu'on le f�licitait, il disait: "Il fallait
bien, n'est-ce pas ? Il fallait bien les aider � vivre".
Le Sang de J�sus nous
lave, nous purifie de tout p�ch� et nous donne la Vie Eternelle.
La Pl�nitude de la Divinit� habite corporellement en
J�sus, et ce n'est pas que par Ses Meurtrissures et Sa chair
d�chir�e que nous pouvons entrer en sa pr�sence. De m�me, que le voile
du temple interdisant l'entr�e du Lieu Tr�s Saint a �t� d�chir�
de haut en bas au moment de la mort de J�sus, et permettait �
quiconque d'entrer, de m�me, la chair de J�sus rompue et bris�e
par laquelle Son Sang a �t� r�pandu, permet lorsque nous avons la
foi en Son Sacrifice expiatoire, de p�n�trer en pr�sence de
Dieu.
�
� Il nous a
r�concili�s par sa mort dans le corps de sa chair, pour vous faire
para�tre devant Lui saint, sans d�faut, et sans reproche...�
(Colossiens 1: 21/22).
Rev�tus du Sang, lav�s, nous
entrons dans Sa Pr�sence, sans aucune crainte, �tant rendus
justes par son Sang, sans honte, avec hardiesse, nous sommes
accueillis par le P�re.
En
conclusion :
� N�attristez
donc pas le Saint-Esprit ! �
(Eph�siens 4: 30)
H�las, nous le faisons si souvent�
� Quand
nous nous apitoyons sur notre
sort...et que nous g�missons comme si la R�demption n�avait pas
�t� accomplie....
�
Quand
nous ne croyons pas � ses
meurtrissures, pour �tre gu�ris de nos maladies..
�
Quand
nous faisons mal le travail... �
moiti�, ou avec d�sinvolture... avec n�gligence.
�
Quand
nous Le servons avec
d�go�t, ou en maugr�ant....
� Quand
notre chair, notre moi, n�est pas
crucifi� et qu�on revendique quoi que ce soit de nos fr�res, que
nous pensons avoir des droits sur eux...
�
Quand
nous ne faisons aucun effort pour vivre
la communion fraternelle, �tre assidus aux assembl�es de l��glise.
�
Quand
nous ne cherchons pas l�unit� au
milieu de nous� et,
�
Quand
on ne prie pas pour son pasteur et les responsables.
�
Quand
nos paroles sont mauvaises, c�est
� dire pourries ! (v.29)
�
Quand
nous essayons de Le manipuler comme une vulgaire force
impersonnelle !
�
Quand
nous refusons la vie de l��glise
locale et les minist�res pour �tre dirig�s !
�
Quand
nous ne voulons pas t�moigner de
J�sus-Christ, pour ne pas �tre la ris�e du monde !
Savez-vous ce que signifient toutes
les �p�tres ? En r�sum� et en substance, elles veulent dire:
�
N�attristez pas le Saint-Esprit !
�.
Toutes les recommandations ont cet
objectif ! C�est la recommandation la plus importante de tout le
Nouveau Testament. Qui est le Saint-Esprit, pour qu�il ne
faille pas l�offenser ?
C�est l�Esprit de
J�sus, l�Esprit de la Croix. J�sus s�est offert
par l�Esprit Eternel ! (H�breux 9: 14).
�
� Ils ont �t� rebelles,
ils ont attrist� son Esprit-Saint; et Il est devenu
leur ennemi, Il a combattu contre eux !� (Esa�e 63:
10).