Bienvenue

Actuellement la FECE est pr�sente dans 50 Pays/Etats

 

Plan du site 

Accueil
Remonter
Eglises membres
Oeuvres sociales et culturelles
Formation
Notre vision
Meditations
Les dons spirituels
Amour de la vérité
Signes des temps
Statuts
FECE-Internationale
Recherche dans site

Si�ge social de la FIECE
347, route de Labastide
40700 Hagetmau (France)

[email protected]

 

 

Association enregistr�e � la  Pr�fecture des Landes  (France)
N� W402003234
Journal officiel
du 23 juin 2012
 

 Siret :
752 518 860 00016

Copyright � 2005-2018 

H�bergement  one.com.fr

 

QR-Code" du site FECE  

 

APOSTASIE ADVENTISTE

L�Eglise adventiste et l'�cum�nisme

Octave pour l�unit� de l��glise: Collonges s�engage
 Par
Henri Rasolofomasoandro
Professeur � la retraite du S�minaire Adventiste de Collonges-sous-Sal�ve

19 Janvier 2010 - Communiqu� par l'auteur et reproduit avec son autorisation
[email protected]

Sommaire

L�engagement de Collonges dans la c�l�bration annuelle en faveur de l�unit� des chr�tiens est l�occasion pour nous de poser les jalons d�une r�flexion sur ce que nous appelons � la th�ologie de l�amour � pr�n�e dans plusieurs d�clarations majeures publi�es ces derniers temps et si r�pandues aujourd�hui.

Introduction

C�est une habitude aujourd�hui au sein du christianisme de prier ensemble au mois de janvier, entre Saint Pierre et Saint Paul, en faveur de l�unit� des chr�tiens. Depuis quelque temps notre communaut� s�engage dans cette d�marche. D�abord timidement et en catimini, mais actuellement d�une mani�re plus officielle. Nous nous int�ressons sur le sens et les implications r�els d�une telle d�marche, d�autant plus que Collonges repr�sente tout un symbole pour les adventistes francophones : c�est le centre de formation des futurs pasteurs et dirigeants au sein de cette communaut� linguistique. Nous attirons l�attention que les caract�res gras et en italiques de cet article sont de notre propre initiative.

La semaine de pri�re pour l�unit� 2010

Cette ann�e, en m�moire d�Edimbourg 1910, la pr�paration de l�opuscule directeur de cette semaine a �t� confi�e aux Eglises chr�tiennes d�Ecosse sous le patronage du Conseil pontifical pour la promotion de l�unit� des chr�tiens du c�t� du Vatican, et de la Commission de Foi et constitution du c�t� du Conseil �cum�nique des Eglises.

Les personnalit�s suivantes ont contribu� d�une mani�re notable � la pr�paration du projet :

� M. Andrew Barr (Eglise �piscopale �cossaise)
� Major Alan
Dixon (Arm�e du Salut)
� R�v. Carol
Ford (Eglise d�Ecosse)
� R�v. Willie
McFadden (Eglise catholique)
� R�v. Lindsay
Sanderson (ACTS
1, �glise r�form�e)

Le texte biblique de base pour la m�ditation est tout le chapitre 24 de l��vangile de Luc, mais en particulier le verset 48 :
� De tout cela. . . c�est vous qui �tes les t�moins. �

Fondement th�ologique de l�unit�

L�opuscule directeur de cette ann�e souligne une des pierres angulaires pour construire cette unit�.
� En raison de notre bapt�me, nous formons d�j�
un seul corps et nous sommes appel�s � vivre en communion. �

Cette concise d�claration rev�t et soul�ve en substance plusieurs id�es majeures. D�abord elle laisse entendre que l�entr�e dans l��glise, quelque soient la forme et la signification du bapt�me, est pareille. Cela implique ensuite que toutes les �glises en d�finitive sont �quivalentes. Certes la forme et la signification du bapt�me ne sont pas identiques d�une �glise � l�autre pour des raisons historiques et th�ologiques, comme on entre dans une �glise pour former � un seul corps �, ces diff�rences sont accessoires. Cela implique �galement que l�ensemble des �glises constitue � un seul corps �. D�s lors il ne faut pas s�engager dans des critiques d�pass�es et surann�es sur la foi ou la doctrine d�une �glise s�ur. Il faut adopter un esprit tol�rant, un esprit d�amour. C�est ici que le b�t blesse.

Nous nous expliquons. Nous lisons un article d�un coll�gue qui soutient obstin�ment que 2 + 2 = 5 (1) Naturellement nous faisons la distinction entre la personne et son erreur. Notre amour pour lui reste intact. Par contre, il nous est normal d�attirer son attention sur son erreur, � la base de toute sa d�monstration.

Dans la construction de l�unit� chr�tienne, on met toujours en avant cet esprit d�amour qui voile les divergences entre les diff�rentes doctrines. Dans le but de rel�guer totalement celles-ci, l�opuscule de cette ann�e invite les fid�les � r�fl�chir sur la question suivante, d�s le premier jour :

� Existe-t-il des choses du pass� auxquelles les Eglises s�accrochent et desquelles une conscience �cum�nique nouvelle nous invite � nous d�tacher ? �

On s�efforce au maximum d�att�nuer les diff�rences doctrinales en demandant aux �glises membres de ce � seul corps � d��viter toute concurrence dommageable pour l�image du christianisme devant le monde. Et ce qui est nouveau consiste � assembler ce � seul corps � avec toutes les religions et toutes les philosophies du monde car � le monde est � l�agonie �2. C�est ainsi, par exemple, que dans la Charte de la F�d�ration protestante de France il est dit :

� L�appartenance � la F�d�ration protestante implique les cons�quences suivantes qui d�finissent notre pratique de la vie commune : D�velopper la n�cessaire communication aux niveaux local et r�gional, en particulier entre les diff�rentes Eglises et Institutions membres de la F�d�ration, pour permettre d��viter toute action pr�sentant un caract�re de concurrence. �

C�est �galement ainsi que le pros�lytisme est banni � l�int�rieur de toutes les �glises membres du Conseil �cum�nique des �glises (COE) :

� Le pros�lytisme est une perversion de l�authentique t�moignage chr�tien et est ainsi un contre t�moignage. Il ne construit pas, mais il d�truit3. �

 Il est clair qu�Edimbourg est choisi cette ann�e pour la pr�paration de la semaine de pri�re 2010 pour faire m�moire de 1910 o� les Soci�t�s missionnaires protestantes issues de diff�rentes branches du protestantisme, l�anglicanisme et un invit� orthodoxe s��taient r�unis pour r�diger un texte non d�cisionnel afin d��viter les concurrences dans les champs missionnaires. Depuis cette �poque l�Eglise catholique et l�Eglise �piscopalienne jouissaient � nouveau d�une place plus importante dans le paysage religieux en Ecosse. Ceci explique la pr�sence des repr�sentants de ces deux �glises au sein du comit� d�organisation de la semaine de pri�re 2010.

Une v�rit� relative

Il est �vident que devant un tel consensus au sein de ce � seul corps � des �glises la v�rit� est secondaire, surtout relative et subjective pour que l�unit� se fasse. Mon coll�gue avec sa v�rit� (1) et moi avec la mienne, nous devons nous unir pour construire ensemble un monde nouveau. Comment cela est-il possible car 2 + 2 = 4 ? Une solution c�est que l�un d�entre nous alt�re sa v�rit� pour une entente aussi pragmatique que possible. A ce niveau une question importante se pose : quel monde veut-on construire avec toutes ces v�rit�s confondues ? Le royaume de Dieu ? Ou un nouvel ordre mondial ? Il n�y a que ces deux projets potentiels aujourd�hui. Les deux sont en concurrence � acharn�e o� tous les coups sont permis �.

Lisez plut�t :

� Qu�on le veuille ou non, qu�on soit pr�t ou non, nous sommes tous engag�s dans une comp�tition mondiale acharn�e o� tous les coups sont permis. Nous sommes l�enjeu. Car la comp�tition consiste � savoir qui mettra en place le premier gouvernement mondial qui ait jamais exist� parmi les nations. Elle consiste � savoir qui tient et exerce � la fois l�autorit� et le contr�le souverains de chacun d�entre nous comme individu et de nous tous ensemble comme soci�t�, de l�ensemble des six milliards de gens pr�vus d�habiter la terre par les d�mographes � l�or�e du troisi�me mill�naire4. �

Lisez encore :

� Maintenant il (le pape Jean Paul II) tenait � attirer l�attention qu�il avait l�intention de reprendre et d�exercer une fois encore le r�le international qui avait �t� primordial dans la tradition de Rome et dans la v�ritable mission que les catholiques affirment avoir �t� confi� par Christ � Pierre et � chacun de ses successeurs5. �

Ce r�le international est en r�alit� un totalitarisme, un totalitarisme fond� sur Dieu :

� S�il y a un r�gime totalitaire, totalitaire de fait et de droit, c�est le r�gime de l�Eglise, parce que l�homme est la cr�ature du Bon Dieu, il est le prix de la r�demption divine, il est le serviteur de Dieu destin� � vivre pour Dieu ici-bas et avec Dieu au ciel. Et le repr�sentant des id�es, des pens�es et des droits de Dieu, ce n�est que l�Eglise. Alors l�Eglise a vraiment le droit de r�clamer la totalit� de son pouvoir sur les individus : tout homme, l�homme tout entier appartient � l�Eglise, parce que tout entier il appartient � Dieu6. �

Il saute aux yeux qu�il y a un projet bien ficel� et une habile strat�gie pour subsidiarit�7, selon la derni�re encyclique papale Caritas in Veritate88.

La v�rit� objective
N
ous avons vu que pour consolider ce � seul corps � il est urgent, par le renouvellement d�une conscience �cum�nique, de se d�tacher des choses auxquelles les Eglises s�attachent dans le pass�. Une telle urgence est cruciale  pour nous adventistes puisque tout un pan de nos doctrines et de notre interpr�tation proph�tique est nettement en opposition avec le raffermissement de ce � seul corps �. Un tel d�tachement n�est possible que sous deux conditions : soit qu�on ne croit plus � certaines � choses �, soit que l�on nie l�existence d�une v�rit� objective.

Dans Jean 17 verset 17, J�sus adresse � son P�re cette pri�re :

� Sanctifie-les par ta v�rit� : ta parole est la v�rit�. �

Ta v�rit�. Cette v�rit� n�est pas humaine. Elle n�est pas le produit de la raison contrairement � ce que l�on cherche � faire dans le cadre d�une �thique
universelle :

� Conscients des enjeux de la question, nous voudrions dans le cadre de ce document inviter tous ceux qui s�interrogent sur les fondements ultimes de l��thique ainsi que de l�ordre juridique et politique � consid�rer les ressources que rec�le une pr�sentation renouvel�e de la doctrine de la loi naturelle. Celle-ci affirme en substance que les personnes et les communaut�s humaines sont capables, � la lumi�re de la raison, de discerner les orientations fondamentales d�un agir moral conforme � la nature m�me du sujet humain et de les exprimer de fa�on normative sous forme de pr�ceptes ou de commandements9. � 

Dans le verset 16, J�sus oppose les disciples au monde comme lui-m�me est en opposition radicale avec celui-ci. C�est dans ce sens qu�il dit : � sanctifie les par ta v�rit� �. Cette s�paration s�op�re par l�interm�diaire de la v�rit� de Dieu. C�est pour ces disciples l� que J�sus prie Dieu, verset 16, � de les garder du monde � en r�alit�. Ensuite c�est pour ces disciples que J�sus prie Dieu, verset 21, � afin que tous soient un � puisque Satan s�efforce de les diviser. Ceci explique la pri�re de J�sus, verset 15, � je te prie. . . de les pr�server du mal �.

Etre sanctifi� par ta v�rit�, pour sortir du monde, afin de former une cha�ne de relation � la poup�e russe, verset 21, � toi P�re en moi, je suis en toi et eux en nous �.

C�est cela l�unit� voulue par Christ pour ses disciples sortis du monde. On est bien loin de ce � seul corps � que l�on aspire � installer au sein du monde chr�tien.

Vivons-nous aujourd�hui Om�ga ?

Au d�but du si�cle dernier, l�Eglise Adventiste du Septi�me jour connut une �preuve terrifiante. Qu�on en juge plut�t : perte des institutions phares � Battle Creek, engourdissement de l��uvre m�dicale, apostasie sans pr�c�dents parmi les membres les plus en vue, d�clin de la spiritualit� parmi les jeunes et les membres les plus influents. A tout ceci s�ajouta la domination d�un groupe de personnes pour orienter l��glise selon leur conception. Ce qui r�ellement �tait en jeu c��taient la mission de l��glise et son identit�. Ce groupe de personnes influentes cherchaient � alt�rer certains points de doctrine sans l�inspiration du Saint-Esprit, sous pr�texte que la r�v�lation de Dieu est progressive, et � conqu�rir le contr�le administratif de l��uvre afin de concr�tiser leur plan. A ce moment l� Ellen White �crivit pour la g�n�ration future :

� L�om�ga suivra et sera re�u par ceux qui ne voudront pas recevoir l�avertissement que Dieu a envoy�10. Ne soyez pas s�duits ; beaucoup s��carteront de la foi, pr�teront attention � des esprits s�ducteurs et des doctrines de d�mons.Nous avons devant nous l�Alpha de ce danger. L�Om�ga sera d�une nature plus effrayante encore11. �

Cette �pisode de l�histoire de l��glise nous renvoie naturellement � Matthieu 24, surtout les versets 42 � 51. J�sus pose cette question cruciale au verset 45 :

� Quel est donc le serviteur fid�le et prudent, que son ma�tre a �tabli sur ses gens, pour leur donner la nourriture au temps convenable ? �

Ce verset nous �voque ces membres influents ou d�autres dont il est question plus haut. Quels messages d�livrent-ils ? Des messages de compromis en accord avec les liens qui les lient avec ce � seul corps � qui est entrain de se construire actuellement.

J�sus d�crit le comportement de ces serviteurs au verset 48 et 49 :

� Mais, si c�est un m�chant serviteur, qui dise en lui-m�me : mon ma�tre tarde � venir, s�il se met � battre ses compagnons, s�il mange et boit avec les ivrognes... �

Ce qui nous int�resse ici c�est le fait que ces serviteurs mangent et boivent avec les ivrognes. Certainement ils ne boivent pas de l�eau mais du vin. Mais quelle marque de vin ? Ils � ont bu du vin de la fureur de son impudicit� � et c�est de ce vin que les habitants de la terre se sont �nivr�s.(Apocalypse 17 : 2)

Lorsqu�on boit de l�alcool, l�esprit est engourdi. On ne sait plus si 2+2 = 5 ou non. Le discernement est oblit�r�. Ce vin est tout un ensemble d�enseignements th�ologique et philosophique tr�s �labor�s qui ont court aujourd�hui dans le but de sauver ce monde � l�agonie, � agonie � ce point g�n�ralis�e et dramatique �12.

Conclusion

On vous invite � boire de l�eau fra�che contenue dans deux verres de cristal. Ceux-ci sont d�apparence identique. Seulement l�un des deux contient juste une petite go�te de venin d�une vip�re. Boire le contenu de ce verre est fatale. Il faut �tre averti pour l��viter.

La parole de Dieu (Eph�siens 4 : 4) enseigne clairement qu�il n�y a qu�un seul bapt�me li� � une seule foi provenant elle-m�me d�un seul Dieu :

� . . . il y a un seul Dieu, une seule foi, un seul bapt�me . . . �

Cet unique bapt�me constitue la source de la formation d�un seul corps, celui du Christ, anim� par un seul Esprit � pour le perfectionnement des saints en vue de l��uvre du minist�re et de l��dification du corps du Christ �( Eph�siens 4 : 4, 12). Ce corps du Christ n�est pas celui que pr�conise de construire le livret d�Edimbourg de cette ann�e en faveur de l��cum�nisme.

Addenda

Il est 20 heures. La t�l�vision montre des images insoutenables de la catastrophe en Ha�ti. A l��glise adventiste de Collonges-sous-Sal�ve, le culte �cum�nique en faveur de l�unit� des chr�tiens d�bute avec un l�ger retard. Le pasteur adventiste Henri Van Der Veken souhaite la bienvenue � l�assembl�e compos�e de croyants adventistes, catholiques, �vang�liques, luth�riens et r�form�s. Il invoque l�unit� et la foi commune en J�sus Christ. L�assembl�e entonne ensuite :

P�re unis-nous tous
P�re unis-nous tous
Que le monde croie � ton amour
P�re unis-nous tous

Un membre de l��glise �vang�lique assure la pr�dication. Son message montre que notre t�moignage manque de force car nous n�avons pas cette puissance : le Saint-Esprit. Une dame prie d�une mani�re fervente pour que l�on progresse dans l�engagement �cum�nique, que le doute qui nous assaille sur le chemin de l�unit� chr�tienne se dissipe et que l�on s�achemine vers

l�unit� parfaite. Le cur� de Saint-Julien termine par la pri�re. Il dit adieu au pasteur adventiste qui quittera la r�gion dans quelques mois. Il remercie chaleureusement Henri Van Der Veken car celui-ci est la cheville ouvri�re de l��cum�nisme dans cette r�gion. Il souligne la conviction du pasteur adventiste Il d�clare en particulier : � tu m�as initi� � l��cum�nisme et je suis heureux d�y �tre engag� �.

Le service est digne, avec des chants en faveur de l�amour et de l�unit�. La liturgie se termine par une collecte en faveur de l�association Ecoles Brillant Espoir qui soutient des �coles � Madagascar.

Notes :

1. Action of Church Together in Scotland.
2. Expression employ�e dans La D�claration pour une �thique plan�taire, du Parlement des religions du monde qui s�est tenu � Chicago le 4 septembre 1993, sous le patronage de l�ONU et du Vatican.
http://www.weltethos.org/pdf_decl/Decl_french.pdf
3. Towards Common Witness.
A call to adopt responsible relationships in mission and to renounce proselytism. WCC. Bossey. Br 262.5521 TOW. p. 8

4. Malachi Martin. The Keys Of This Blood. New York : Simon & Schuster. 1990. p. 15.

5. Malachi Martin. The Keys. . . . ibid. p.22.
6. Pie XI, lors d�une audience accord�e � des p�lerins fran�ais le 18 septembre 1938, cit� par Giovanni Miccoli. Giovanni Miccoli. Les dilemmes et les silences de Pie XII. Vatican, Seconde Guerre mondiale et Shoah. Trad. de l�italien. Paris : �dition Complexe. 2005. p. 167

7. Principes selon lesquelles l�autorit� politique a le droit de prendre des mesures ad�quates en dehors de toute constitution �tablie si elle les juge n�cessaires.
8.
http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/encyclicals/documents/hf_ben_xvi_enc_20090629_caritas-in-veritate_fr.html
9. Commission Th�ologique Internationale. A la recherche d�une �thique universelle. Nouveau regard sur la loi naturelle. Paris : Les �ditions du Cerf. 2009. p. 22,23.
10. Ellen G. White. Selected Messages. Book One. Washington, D.C : Review and Herald. p. 200.
11. Ellen G. White. Selected Messages. . . .Ibid. p. 197.
12. Nous vous invitons � prendre connaissance de deux documents suivants parmi tant d�autres.

1. D�claration pour une �thique plan�taire faite par le Parlement de toutes les religions  du monde sous l��gide de l�ONU en 1993 � Chicago. http://www.weltethos.org/pdf_decl/Decl_french.pdf. Document r�dig� par le th�ologien catholique Hans K�ng.
2. Commission Th�ologique International. Un nouveau regard sur la loi naturelle. La Documentation Catholique. No 2430. 6-20 sept 2009.
http://www.doc-catho.com

Ces deux documents mettent en place ce nouvel ordre mondial dont nous avons parl� plus haut. Nous aurons l�occasion d�analyser ces documents.