DIEU VOUS TEND LA PERCHE !
La Bible, livre
des Nombres 21: 5/9
�
� 5
Le peuple s�impatienta en route, parla contre Dieu et contre Mo�se: Pourquoi
nous avez-vous fait monter hors d��gypte, pour que nous mourions dans le
d�sert ? Car il n�y a point de pain et il n�y a point d�eau, et nous sommes
d�go�t�s de ce pain m�prisable.
6
Alors l��ternel envoya contre le peuple les serpents br�lants; ils mordirent
le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Isra�l.
7
Le peuple se rendit aupr�s de Mo�se et dit: Nous avons p�ch�, car nous avons
parl� contre l��ternel et contre toi. Prie l��ternel, afin qu�il �loigne de
nous ces serpents. Mo�se pria pour le peuple.
8
L��ternel dit � Mo�se:
Fais-toi un serpent br�lant et place-le sur une perche; quiconque aura �t�
mordu et le contemplera, conservera la vie.
9
Mo�se fit un serpent de bronze, et le pla�a sur la perche; et si quelqu�un
avait �t� mordu par un serpent et
REGARDAIT
le
serpent de bronze, il conservait la vie �.
Crimes et ch�timents�
En quoi consistait le p�ch� d�Isra�l ?
-
Le peuple
s�impatienta en route: nombre d�enfants de Dieu r�agissent de la
sorte quand ils ne re�oivent pas tout � ici et maintenant � (�). La
mutinerie qui n��tait qu�une question de minuterie n��tait pas loin�
-
Il parla
contre Dieu et Mo�se: ils n�ont pas reconnu leur homme de Dieu,
ni ne l�ont b�ni comme ils auraient d� le faire ! Et derri�re la critique de
Mo�se, c�est Dieu qui �tait vis� ! Faisons nous m�mes attention car nous
pouvons avoir une propension � � parler contre �.
-
Pourquoi
nous as tu fait sortir d�Egypte, pour mourir dans le d�sert ?!
Parfois j�entends des chr�tiens qui t�moignent que Dieu les a sauv�s, mais
qui se plaignent de vivre une vie mis�rable, disant qu�avant leur conversion
c��tait bien mieux, et qui se r�voltent, car maintenant� ils p�rissent. Le
raisonnement du peuple �tait illogique.
-
Car il n�y a
point d�eau ni de pain� Ils pensaient en termes de manque, et �a
les rendait m�contents ! C��tait vrai, mais cela ne devait durer seulement
que pour un temps, alors que des provisions illimit�es �taient d�j� pr�tes
et disponibles: � quand une fen�tre se ferme, une porte s�ouvre� �.
-
Nous sommes
d�gout�s de ce pain mis�rable ! Ils ont commenc� � m�priser la
manne, le � pain du miracle �, le surnaturel de Dieu; dans la nouvelle
alliance, il nous est demand� de ne pas m�priser les proph�ties ! Si
l�Eglise rejette le surnaturel divin, il ne lui restera plus que les
� serpents br�lants � de la psychologie dite chr�tienne, du compromis avec
l��cum�nisme, et m�me des pratiques occultes�
-
Alors
l�Eternel envoya des serpents br�lants� � br�lants � dans le sens
que leur venin g�n�re une fi�vre terrible. Ils ont cherch� le b�ton pour se
faire battre, et la cons�quence logique, c�est que Dieu qui les avait
prot�g�s depuis si longtemps ne pouvait plus retenir ces serpents. Que de
dangers auxquels le Seigneur nous a fait �chapper, sans que nous en ayons eu
m�me conscience.
-
Ils
mordirent le peuple et un grand nombre mourut ! Vous constatez
avec moi les ravages et la trag�die que le p�ch� entra�ne ! D�s lors,
l�Ennemi de nos �mes sous la forme de ces serpents a eu des droits sur eux,
comme il en aura sur qui que ce soit qui est ingrat�
-
Nous avons
p�ch� car nous avons parl� contre� Enfin ils reconnaissent leur
�tat et le p�ch� ! Ils se repentent. Vous savez que l�on p�che beaucoup par
nos l�vres !
-
Mo�se pria
pour le peuple� Tout un peuple a p�ch� par ses l�vres: � nous
avons parl� contre �, mais un homme est all� chercher la gu�rison par
ses l�vres � Mo�se pria pour��, dans un tr�s bel esprit de pardon,
image magnifique de J�sus qui sur la croix a interc�d� pour des coupables,
et demand� au P�re: � pardonne leur car ils ne savent ce qu�ils font � !
-
L��ternel
dit � Mo�se: Fais-toi un serpent br�lant sur une perche; quiconque aura �t�
mordu et le contemplera, conservera la vie. Certes le rem�de
r�v�l� � Mo�se est �trange de prime abord, mais nous ne sommes pas l� pour
contester l�ordonnance du Divin M�decin !
Je
vous parlerai de trois grandes lignes dans ce r�cit :
1)
Le rachat de la mort sure !
2)
La gu�rison de ce que le mal a dit !
3)
La mal�diction de la mal�diction...
RACHETE DE LA MORT� SURE !
Le Salut de votre �me !
�
� Et comme
Mo�se �leva le serpent dans le d�sert, ainsi il faut que le Fils de l�homme
soit �lev�, afin que quiconque
croit en
Lui ne p�risse pas, mais qu�il ait la vie �ternelle �
(La Bible, Jean 3: 14/15).
Maintenant, qui que vous soyez, vous �tes
pr�cis�ment dans le m�me �tat que l�Isra�lite qui avait �t� mordu par les
serpents br�lants.
Le p�ch� qui habite en vous est semblable
� un venin inocul� dans vos veines !
On peut le comparer au nuage de Tchernobyl, personne ne l�a vu,
surtout en France, mais bien des ann�es plus tard, il y a explosion de
cancers notamment l� o� il est pass�, et le nier ne serait que mauvaise
foi ! C�est ainsi que le � p�ch� � agit�
On ne joue pas
avec le p�ch� !
Un homme faisait son spectacle avec un python
depuis des ann�es� Mais un jour, qu�est-il arriv� � ce serpent� ? Il a
entour� notre brave homme comme d�habitude, puis il a commenc� �
l��touffer ! L�homme n�a pas pu se d�gager, il est mort dans son spectacle
sans que personne ne puisse le d�livrer !
�
La Bible dit: � Le Salaire du P�ch�,
c�est la mort ! �.
Que vous le vouliez ou pas, c�est ainsi !
Pourquoi discuter de faits qui vous d�passent ? Dieu a pos� 84
questions � Job le propre juste, et vous savez quoi ? Il n�a pas pu r�pondre
� une seule d�entres elles ! Job disait : � JE
SAIS QUE J�AI RAISON ! �
(cf. Job 13: 3/15/18). Avec force arguments, il voulait se justifier � tout
prix, mais sa logique n�a rien chang� � sa
situation� Etre � cart�sien �, ainsi que tous vos
raisonnements, ne vous permettra que de discutailler avec Dieu, de
pol�miquer, mais devant Dieu vous ne pourrez jamais r�pondre. Cela nous et
vous d�passe de tr�s tr�s loin. Il s�agit de choses d�une autre
nature, spirituelles !
�
Job
42: 3: � Qui
est celui qui assombrit mes desseins
(par des propos) d�nu�s de connaissance ? Oui,
j�ai fait
part, sans les comprendre, de merveilles qui me
d�passent et que je ne connaissais pas �.
Riche ou pauvre, jeune ou vieux, respect� ou
m�pris�: � Vous �tes p�cheur !
Vous avez au dedans de vous les effets de la
morsure du p�ch� et du serpent ancien, Satan, et ces effets sont: la
mort. Le poison op�re
dans votre c�ur, qui, comme le dit la
Parole de Dieu est d�sesp�r�ment malin.
Un serpent �tait cach� dans une marmite !
En mai 1992, dans la ville alg�rienne de Maghniyya, 4 fr�res �g�s de 8 � 15
ans p�rirent juste apr�s avoir mang� la soupe du soir. Leur m�re avait
involontairement ramen� � la maison un
serpent venimeux cach� dans les l�gumes rang�s au
r�frig�rateur. Quand elle les prit, le serpent amateur de chaleur se glissa
dans la marmite et y d�chargea son venin...
Il
vous
est impossible de vous gu�rir vous-m�me; vous ne pouvez, de quelque
mani�re que ce soit, �viter la mort, qui est la cons�quence du p�ch� qui
habite en vous. Toute la science des m�decins
ne peut l��loigner; et, eussiez-vous toutes les richesses de la
terre, vous ne pourriez l�engager � se tenir loin de vous. M�me pendant que
vous lisez ces paroles, vous vous avancez vers elle:
Le jour o� tu
vas mourir approche !
Deut�ronome 31: 14
Quelqu�un dira:
�
� OK ! Mais laissez-moi le temps de r�fl�chir ! Nous reverrons cela plus
tard ! J�aurai tout le temps d�y penser le moment venu !�.
Il est d�j� tard sur l�horloge de ta vie ! Nul ne sait ni le jour ni l�heure
de ton d�part !
Ne soyez pas aussi optimiste !
�
En mai 1993, un homme nu courait sur le pont de Brooklyn, � New-York, en
chantant: �Ah ! que la vie est belle !�. Il fut renvers� par une voiture et
tu� sur le coup !
L�heure fatale !
�
En f�vrier 1991, Piera Rutelli, 40 ans roulait dans un tunnel non loin de
G�nes (Italie). Une �norme stalactite de glace se d�crocha du plafond du
tunnel, traversa le toit de la voiture de Piera et le tua !
Fatalit� & malchance...
�
En f�vrier 1983, une bourrasque pr�cipita la voiture de Vittorio Luise dans
une rivi�re des environs de Naples. Luise, 45 ans r�ussit � briser une vitre
� s�extraire du v�hicule et � revenir � la nage. Une fois sur la rive, un
arbre s�abattit sur lui et le tua !
Et, personne ne sait qui sera le prochain !
�
En juillet 1982, � Blairsville (G�orgie), le pasteur Ray Hewett conclut
l�enterrement de Liza Poteete, 91 ans par ces mots: � Nul ne peut savoir qui
sera le prochain � s�en aller �. C�est alors que la foudre tomba sur Donald
Metcalf, 27 ans, petits fils de la d�funte !
Et pourquoi vous est-il ordonn�, ainsi qu�� tous
les hommes, de mourir une fois, si ce n�est parce que � tous ont p�ch� ? �
Tel est donc votre �tat ! Le poison du p�ch� op�re en vous, dans le
silence peut-�tre, en secret, mais continuellement et avec efficace, et
l�effet de cette op�ration, c�est la mort !
MAIS DIEU VOUS
TEND UNE PERCHE !
Or, comme le
serpent d�airain fut �lev� sur une perche, afin que les pauvres
Isra�lites mourants puissent fixer les yeux sur lui et ainsi �tre
gu�ris, de m�me J�sus a �t� �lev� sur le bois de la croix, afin que tout
p�cheur qui croit en Lui, ait la vie �ternelle. L�Isra�lite n�avait
autre chose � faire qu��
REGARDER; et vous, vous n�avez qu��
croire. Vous demanderez peut-�tre comment la simple foi en J�sus
peut-elle me sauver de mes p�ch�s ? Cela est-il possible ? Je ne le
comprends pas ! Les Isra�lites auraient pu tenir le m�me langage. Ils
auraient pu dire � Mo�se :
�
� Comment la vue de ce serpent d�airain
peut-elle nous gu�rir de nos douloureuses plaies ? �.
Mais quelle e�t �t� la r�ponse du serviteur de
Dieu ?
Cessez de
raisonner !
�
� Regardez seulement, croyez ma parole,
ou plut�t la Parole de Dieu. Jetez seulement un faible regard sur ce
serpent, un regard agonisant, et vous vivrez. Ah ! si vous sentez les
douleurs de ce venin qui coule dans vos veines, si vous connaissez les
terribles agonies de la mort qui est la suite de cette affreuse morsure,
vous cesserez de raisonner. Vous croirez que ce que je vous dis est vrai,
m�me parce que vous d�sirerez qu�il en soit ainsi, parce que vous voudrez
�tre sauv� �.
C�est ainsi qu�aurait parl� Mo�se, et c�est de
cette mani�re aussi que je voudrais vous r�pondre. Croyez seulement ce que
Dieu dit:
�
� Qui
croit au
Fils a la vie �ternelle � (Jean 3: 36).
Le Divin M�decin
vous pr�sente le rem�de
Auriez vous l�audace de contester le diagnostique
d�un sp�cialiste et de refuser de vous faire soigner, de prendre les rem�des
et de suivre scrupuleusement l�ordonnance ? La demande qu�Il vous fait
n�est-elle pas bien simple : � de croire et d��tre sauv� ? Ce n�est
pas ma parole que je vous dis, c�est celle de Dieu m�me. Ce n�est pas mon
message de salut, c�est celui de Dieu. Il sait que vous ne pouvez vous
sauver; Il sait que toutes vos pri�res, toutes vos larmes ne
peuvent effacer un seul p�ch�, et Il sait qu�� moins qu�ils ne soient
tous lav�s, tous pardonn�s et effac�s, vous ne pouvez �chapper aux justes
cons�quences du p�ch�, � la mort �ternelle. Dieu, dans son insondable
amour, fait donc d�pendre le salut de l�homme de l��uvre de J�sus, et non de
ce que peut faire le p�cheur, ou pour mieux dire, de ce qu�il ne peut pas
faire.
L�Antidote
coule dans vos veines !
Le
SANG DE JESUS
est le seul antidote au p�ch� qui coule
comme un poison dans nos veines ! Regardez-Le sur cette croix !
Faites un petit d�tour vers Lui,
�chappez vous du quotidien, du qu�en dira-t-on ? Etc. D�tournez vous vers
Lui et les choses vont �tre diff�rentes ! Le paysage vaut le
DETOUR !
Regardez un peu vers le Ciel, levez les yeux ! Consid�rez le pendu sur cette
terrible croix et l��uvre que J�sus a accomplie pour vous ! Votre mal tel un
serpent a �t� clou� sur la croix et d�pouill� de toute sa nuisance !
�
croyez que Dieu a fait p�ch� Celui qui n�a
pas connu le p�ch�;
�
croyez que son but, en venant ici-bas en
ressemblance de chair de p�ch�, �tait de nous sauver;
�
que le motif pour lequel Il souffrit la
croix �tait de glorifier Dieu en portant le p�ch� et son affreux ch�timent,
pour le Salut du p�cheur. Jetez sur lui le regard de la foi, et vous serez
sauv�.
L�Isra�lite, s�il croyait les paroles de Mo�se,
regardait le serpent, quelque �loign� qu�il en f�t. Les yeux d�j� ternis par
les approches de la mort, � peine respirant encore, il jetait un regard sur
le serpent, et cela suffisait: il se levait vivant, un nouvel homme, pour
ainsi dire. Le venin du serpent br�lant perdait sa force; et celui qui, un
moment auparavant, �tait sur le point de mourir, recouvrait
instantan�ment la vigueur et la sant�, capable de marcher et de
combattre les combats du Seigneur. Il en sera de m�me de vous, si vous jetez
sur J�sus un simple regard de foi, mettant en Lui et dans ce qu�Il a fait
pour votre �me, une pleine confiance, comme celle d�un petit enfant: � si
vous croyez le t�moignage de Dieu au sujet de son Fils, vous �tes
�ternellement rachet�, �ternellement sauv�, il n�y a plus pour vous aucune
condamnation: non, mais la vie, la joie, la paix, la gloire seront votre
partage ! (Romains 8). Peut-�tre direz-vous: Comment puis-je savoir si j�ai
le droit de regarder ainsi � J�sus ? J�ai �t� un grand p�cheur. Ne dois-je
pas d�abord m�amender, avant de pouvoir esp�rer qu�Il me pardonne ? Ne
dois-je pas mener une vie plus sainte, avant d�oser me confier en Lui et
croire que mes p�ch�s me sont pardonn�s ? � Je vous demanderai:
�
Pour qui le serpent d�airain fut-il
�lev� ?
�
Qui avait le droit de jeter les yeux sur
lui et d��tre gu�ri ?
�
N��tait-ce pas le pauvre Isra�lite qui
p�rissait, parce qu�il avait �t� mordu ?
�
N��tait-ce pas parce qu�il se mourait
qu�il avait le droit de regarder le serpent ?
�
N��tait-ce pas pour lui seul que le
serpent avait �t� �lev� ?
�
Et Mo�se lui disait-il d�essayer de se
gu�rir avant de le regarder ?
�
N��tait-ce pas en le regardant qu�il
trouvait la gu�rison ?
M�me un
agonisant peut �tre sauv� !
Il en est de m�me de vous. Vos p�ch�s m�mes
sont votre titre pour regarder vers J�sus. Votre seul droit au salut qui est
en J�sus, c�est parce que vous p�rissez. Si vous sentez que vos
p�ch�s sont nombreux, qu�ils sont pour vous un pesant fardeau, que cela
fasse na�tre la confiance dans votre c�ur ! C�est pour ceux qui sont tels
que vous, que le Sauveur est venu. Vous �tes perdu ! J�sus est venu
chercher et sauver ce qui �tait perdu. Ce sont les pauvres p�cheurs qui
ont besoin d�un Sauveur. Ce ne sont que ceux qui p�rissent qui ont
droit � Lui. Il est leur ami; c�est pour eux seuls qu�Il a quitt�
la gloire. C�est pour eux qu�Il a vers� son sang. Il n�est pas venu pour les
bons et les justes. Regardez donc � Lui, parce que vous �tes un p�cheur.
Que vos p�ch�s vous convainquent que vous avez un titre � regarder vers Lui.
Que votre mis�re soit ce qui vous fait recevoir sa paix et soit votre titre
� sa gloire. Ceux qui sont en sant� n�ont pas besoin de m�decin; ce sont
ceux qui se portent mal.
Pensez-vous qu�un homme gravement malade dirait:
J�attendrai de me porter mieux avant de prendre le rem�de qui me
gu�rira ? Ou s�amuserait-il � raisonner avec son m�decin sur la nature
du rem�de qu�il lui pr�sente ? Non ! Il le saisira avec empressement et le
boira jusqu�� la derni�re goutte, si on lui assure que cela lui sera
salutaire. Il l�esp�rerait et aurait confiance au rem�de. D�sirant ardemment
d��tre soulag�, il rejetterait ses doutes et saisirait avidement ce qui lui
donnerait l�espoir d��tre gu�ri. Ainsi, si vous d�sirez �tre sauv�, si vous
sentez que vous p�rissez, ne perdez pas de temps � raisonner ou � chercher �
vous rendre meilleur ; mais prenez, prenez le rem�de efficace, le parfait
rem�de: croyez ! � confiez-vous dans l��uvre de J�sus.
Son sang pr�cieux purifie de tout p�ch�;
et le Salut vous est gratuitement offert. Croyez que ce sang a le
pouvoir de gu�rir et de purifier. Croyez qu�il a �t� vers� et offert � Dieu
comme sacrifice pour les p�ch�s, pour toujours (H�breux 9: 26/28; 10:
12/14). � Tout est accompli, vous �tes sauv� !
GUERIR DE CE QUE � LE MAL A DIT �
La gu�rison de toute maladie !
Nous avons tous besoin de Gu�rison !
A la fin de sa vie, Jung disait que si on lui trouvait quelqu'un de normal,
il le gu�rirait ! (Jacques Brosse). J�sus est venu �galement pour gu�rir les
malades... y compris ceux qui ne savent pas qu'ils sont malades !
Croyez-moi, tout le monde est malade ! Il y a 2000 ans, toute la
Palestine �tait souffrante. L�Empire du Mal r�gnait, comme pour d�fier
J�sus, et l�obliger � d�tourner son regard de cette humanit� souffrante,
naus�abonde, r�pugnante, geignarde. J�sus pouvait entendre la voix de Satan
venant du fond de son quartier g�n�ral lui dire:
�
�Et cette horreur l�, ne te soul�ve-t-elle pas le c�ur ? Non ? Tu es s�r
? Il t�en faut d�avantage ? Mais, qu�� cela ne tienne, nos magasins
regorgent d�abominations, d�afflictions, de mis�res. �a pullule, �a se
duplique, �a se multiplie � l�infini. Tu n�a encore rien vu...�.
Mais, J�sus va s�en occuper et les gu�rir tous, ces fi�vreux, ces
atrophi�s, ces variqueux, ces �corch�s, ces cyanos�s, ces desquam�s, ces
goitreux, ces diarrh�iques, ces h�b�t�s, ces �pileptiques, ces pellagreux,
ces t�tanis�s, ces pleur�tiques, ces glaireux, ces amput�s, ces hydropiques,
ces �clop�s...
Donc, tous ont besoin de J�sus ! Dans l'Ecriture, il est dit de J�sus: � Tous
Le cherchent ! �.
QU�EST-CE QUE LE MAL A DIT ?
Nous attirons souvent un mal qui correspond aux paroles de notre propre
bouche :
�
Job 20: 12/16: � 12
Puisque le mal est si doux � sa bouche qu�il l�abrite sous sa langue,
13 le savoure sans le l�cher et le retient encore sous son palais, 14 son
aliment se corrompt dans ses entrailles et y devient un venin d�aspic.
15 La fortune qu�il avait aval�e, la voil� vomie: � son ventre, Dieu la fera
rejeter. 16 C�est un venin d�aspic qu�il su�ait,
la langue de la vip�re le tuera �.
Le mal qui nous arrive est en relation avec notre �tat int�rieur, et la
d�claration de notre propre langue.
Le
p�ch� est compar� � une friandise que l�on garde dans sa bouche aussi
longtemps que possible, mais qui, p�n�trant dans le corps, devient un
poison.
Il
existe une r�elle relation de cause � effet.
Dans le texte de Job, c�est clairement signifi�:
�
� Puisque
le mal est si doux � sa bouche� c�est une venin d�aspic qu�il su�ait,
la langue de vip�re le tuera ! �.
La liste suivante, bien �videmment non exhaustive, nous fait part de ce qui
a �t� �tudi� d�j� depuis longtemps et de la correspondance certaine qui
existe entre une maladie, un �tat, et le fond de tel probl�me. La maladie et
certaines attitudes sont r�v�latrices de la cause profonde de nos probl�mes�
Ainsi, les accidents � r�p�tition
sont une expression de col�re, de frustration et de r�bellion.
L�anorexie ou la boulimie
en dit long sur la haine de soi et le rejet de la vie, qui dit : "je ne suis
pas assez bon pour vivre".
L�arthrite
quand � elle indique un fond de critique du soi et des autres, le
perfectionnisme
L�asthme
parle d�un amour maternel possessif, mais aussi de complexe de culpabilit�
ou complexe d'inf�riorit�.
Les probl�mes de bras
indiquent l�incapacit� � �treindre, les anciennes �motions retenues dans les
articulations.
Les br�lures, furoncles, fi�vre plaies inflammations, enflures
sont une expression de la col�re.
Le cancer
est li� avec de profonds ressentiments, la m�fiance, l�apitoiement sur
soi-m�me, la sensation d'impuissance, l�incapacit� � s'en sortir.
Le c�ur
est amour et le sang est joie. Les infarctus sont une n�gation et un rejet
de l'amour et de la joie.
Les probl�mes de c�lon et la constipation
sont l'incapacit� de l�cher prise, le manque de confiance en ses r�serves,
th�saurisation, tandis que la diarrh�e est la peur de garder.
Les probl�mes du cou
montrent des probl�mes de flexibilit�.
Les doigts
Index = ego; col�re et peur.
Le pouce
= l�inqui�tude.
Le m�dius
= la col�re, c�t� droit: homme, c�t� gauche: femme.
L�annulaire
= unions et chagrin.
L�auriculaire
= famille et faux semblants.
Le dos,
partie sup�rieure : besoin de soutien et solitude �motionnelle.
Partie m�diane: culpabilit�.
Partie inf�rieure: �puisement, inqui�tude concernant l'argent.
Les douleurs
peuvent provenir de la culpabilit�, cherchant punition (notez ou elle se
manifeste).
Les enflures
sont en relation avec les pens�es inactives, les larmes retenues et le
sentiment d'�tre pris au pi�ge.
L�estomac
quant � lui c�est l�incapacit� de supporter des id�es et des exp�riences.
Qui ou quoi pouvez-vous encaisser ?
Les exc�s de poids
parlent du besoin de protection, de l�ins�curit�.
Les genoux, en relation avec l�inflexibilit�,
l�incapacit� � se plier, la fiert�, l�ego, l�ent�tement, la peur du
changement, l�autosatisfaction.
La gorge
c�est la peur du changement, l�incapacit� de parler, la col�re, une
cr�ativit� frustr�e.
La laryngite
= on est trop f�ch� pour parler,
Les probl�mes de thyro�de
sont en relation avec une cr�ativit� �touff�e.
Les jambes,
c�est la peur ou le peu de d�sir d'avancer.
Les veines variqueuses
: le fait de rester dans des situations que l'on d�teste.
Les mains
le fait que l�on soit trop agripp� � l'argent ou aux relations.
L�arthrite
parle de l�autocritique, de la critique int�rioris�e, de la critique des
autres.
Les maux de t�te
en relation avec l�annulation du soi.
Les migraines:
la col�re et le perfectionnisme, la frustration.
Les oreilles
probl�me avec ce qui est difficile d'accepter ce qui est dit.
Les maux d'oreilles
r�v�lateurs de la col�re,
La surdit�
peut provenir du refus d'�couter.
Les probl�mes de peau
sont en lien avec le sentiment d'�tre menac�, que d'autres aient un pouvoir
sur vous. Le fait d��tre susceptible, �corch� vif, et le besoin de
s'auto-�duquer.
Les poumons
en lien avec l�incapacit� d'accepter et de donner la vie, n�gation de la
vie.
L�emphys�me,
les exc�s de cigarettes, la n�gation de la vie, le sentiment d�inf�riorit�.
Les raideurs
r�v�lent un mental raide, une inflexibilit�, la peur, la r�sistance au
changement.
Les seins
indiquent un maternage excessif d'une personne / chose / place / exp�rience.
Les sinus
le fait d��tre irrit� par une autre personne.
La t�te
l'aspect que nous montrons au monde, quelque chose fondamentalement erron�.
Les tumeurs
sont li�es aux vieilles blessures tortur�es, et au refus de gu�rison.
Quant � eux, les ulc�res viennent de la peur de ne pas �tre assez
bon, et du rejet de sa propre valeur�
Il est question ici de la gu�rison des Isra�lites dans le d�sert, lorsque
Mo�se �leva le serpent d�airain. Isra�l avait exp�riment� une merveilleuse
d�livrance et remport� une grande victoire sur Arad, roi des Canan�ens, que
Dieu avait livr�s entre leurs mains.
Nous lisons au verset 5 de Nombres 21 que le peuple �
parla contre Dieu et contre Mo�se �.
Mo�se avait demand� de traverser le pays d�Edom, leur promettant qu�ils ne
traverseraient pas leurs vignes et ne boiraient pas l�eau de leurs puits.
Mais Edom leur avait r�pondu :
�
� Tu ne
passeras point chez moi, sinon je sortirai � ta rencontre avec l��p�e �
(Nombres 20: 18).
Le peuple fut
donc oblig� de contourner le pays d�Edom. Ce fut pour cette raison qu�ils
murmur�rent contre Dieu et
contre Mo�se. On pourrait presque entendre murmurer les enfants d�Isra�l:
�
� Pourquoi
nous as-tu fait sortir d�Egypte pour mourir dans le d�sert ? �.
On croirait
entendre parler certains chr�tiens ! Quand ils ne sont pas en train de
sauter de joie au sommet du toit de leur maison, ils sont plong�s dans une
profonde vall�e o� tout est terriblement sombre et triste. Le peuple
d�Isra�l venait de remporter une grande victoire, mais il �tait � pr�sent
conduit sur un chemin difficile, et il commen�a � se plaindre :
�
� Car
il n�y a point de pain, et il n�y a point d�eau, et notre �me est d�go�t�e
de cette mis�rable nourriture �.
Cette "mis�rable
nourriture" �tait la manne ! Eh bien, il s�est pass� quelque
chose :
�
�
Alors l�Eternel envoya contre le peuple des
serpents br�lants; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en
Isra�l � (verset 6).
La version du Dr.
Young traduit ce verset dans le sens permissif:
�
� Alors
l�Eternel permit que des serpents br�lants soient envoy�s
contre le peuple �.
Ils ne s��taient
pas rendu compte que jusqu�� pr�sent Dieu les avait prot�g�s de ces serpents
br�lants. Aussi le Seigneur laissa-t-Il ces serpents venir les attaquer.
Quand avez-vous murmur� la derni�re fois, ou quand avez-vous laiss� tous les
d�mons se d�cha�ner ? Apr�s la confession, Dieu offre un rem�de
�
� Le
peuple vint � Mo�se, et dit: Nous avons p�ch�,
car nous avons parl� contre l�Eternel et contre toi. Prie l�Eternel,
afin qu�il �loigne de nous ces serpents. Mo�se pria pour le peuple
� (verset 7).
Une v�ritable
confession devrait toujours pr�c�der la pri�re pour la
gu�rison. Confessez votre p�ch�, puis priez. Heureusement que Mo�se
avait un peu grandi dans le Seigneur. Pensez � un homme qui a pr�s de deux
millions de personnes en train de murmurer contre lui. Il y a un moment o�
notre �me grandit. Mo�se pria pour les enfants d�Isra�l, et Dieu lui indiqua
un rem�de :
�
�
L�Eternel dit � Mo�se: Fais-toi un serpent br�lant, et place-le sur une
perche ; quiconque aura �t� mordu, et
le regardera, conservera la vie �
(verset 8).
Dieu �tait en
train de leur rappeler leur alliance originelle. Combien d�entre vous savent
quelle �tait la premi�re alliance faite par Dieu avec l�homme ? Dieu avait
dit au serpent :
�
� Je
mettrai inimiti� entre toi et la femme, entre ta post�rit� et sa post�rit�:
celle-ci t��crasera la t�te, et tu lui blesseras le talon � (Gen�se 3:
15).
Dans cette
premi�re alliance, Dieu avait promis que Quelqu�un viendrait �craser la t�te
du serpent. Il avait conclu cette alliance avec toute l�esp�ce humaine.
C�est l�une de nos alliances universelles. Nous avons le droit d�y faire
r�f�rence et de nous attendre � l�accomplissement de la promesse.
Le Serpent a
�t� priv� de son crochet venimeux
J�sus a priv� le
serpent de son crochet venimeux. Dieu avait promis que le Christ �craserait
la t�te du Serpent. Mais, ce faisant, Il aurait le talon bless� par le
Serpent. C�est-�-dire qu�en �crasant la t�te du Serpent, J�sus allait �tre
bless� dans Son effort. La blessure du talon s�est produite lorsque
J�sus-Christ est mort � la croix.
�
1Corinthiens 15: 54: � Lorsque
ce corps corruptible aura rev�tu l�incorruptibilit�, et que ce corps mortel
aura rev�tu l�immortalit�, alors s�accomplira la parole qui est �crite: La
mort a �t� engloutie dans la victoire. 55 O mort,
o� est ta victoire ? O mort, o� est ton aiguillon ? 56 L�aiguillon de la
mort, c�est le p�ch�; et la puissance du p�ch�, c�est la loi. 57
Mais gr�ces soient rendues � Dieu, qui nous
donne la victoire par notre Seigneur J�sus-Christ ! �.
Mais, en m�me
temps que son talon a �t� bless�, Il a �cras� le serpent pour toujours.
Le
serpent doit �tre enti�rement �limin� du monde, avec tout ce qu�il
repr�sente.
MALEDICTION DE LA MALEDICTION !
La d�livrance de toute mal�diction !
�
Une
mal�diction est un �tat de malheur in�luctable qui semble impos� par
une divinit�, le sort ou le destin.
�
La
mal�diction est aussi un rituel appelant les puissances divines �
exercer leur action punitive contre un individu ou un groupe d'individus,
objet de cette mal�diction.
�
Une
mal�diction est aussi, un malheur qui agit sur une r�putation, qui
fait que les autres vont se m�fier de cette personne, comme un envo�tement "
n�gatif ".
Des mal�dictions c�l�bres�
Vous avez
probablement entendu parler de mal�dictions c�l�bres, telles, la
mal�diction du pharaon,
la mal�diction des
Templiers,
la
mal�diction de Tecumseh
en
1811
qui porte sur tous les
pr�sidents am�ricains
�lus lors d'une ann�e se terminant par un z�ro, la mal�diction des
Kennedy� ?!
MAUDIRE
C�EST MAL DIRE,
avec la connotation d�envoyer un sort.
La diction est mauvaise. Les paroles et les mots ont un pouvoir. B�nir,
c�est � bien dire �. Le centurion romain l�avait bien compris:
�
� dis
un mot et mon serviteur
sera gu�ri �.
�
Matthieu
12: 34/37: � 34
Engeance de vip�res, comment pourriez-vous
dire
de bonnes choses, alors que vous �tes mauvais ? Car
ce que dit la bouche,
c�est ce qui d�borde du c�ur.
35
L�homme bon, de son bon tr�sor, retire de bonnes choses; l�homme mauvais, de
son mauvais tr�sor, retire de mauvaises choses. 36 Or Je vous le dis :
les hommes rendront compte au jour du jugement de
toute parole sans port�e qu�ils auront prof�r�e.
37
Car c�est d�apr�s tes paroles que tu seras justifi�, et c�est
d�apr�s tes paroles que tu seras condamn� �.
Une langue de
vip�re prof�re des paroles venimeuses� contre vous-m�me ! Le p�ch� parle
mal de vous, il vous maudit ! Le p�ch� du monde a maudit J�sus Lui-m�me,
qui a �t� mis au rang des maudits et des criminels, Il a �t� clou� � la
croix, S��tant Lui-m�me charg� de notre mal�diction et de nos crimes.
�
�
Christ nous a rachet�s de la mal�diction de la loi, �tant devenu mal�diction
pour nous, car il est �crit: Maudit est
quiconque est pendu au bois � (Galates 3: 13).
Pourquoi Mo�se
a-t-il mis un serpent sur la perche, et non pas un agneau ? C�est � cause de
la victoire de J�sus sur la mort ! Il n�est plus sur la croix, Il est
ressuscit� ! Seules les puissances de l�Enfer sont maintenues sur le bois de
la Croix ! Tout ce qui envenime votre vie et empoisonne l�existence, tout
cela est sur la croix ! Maintenant, pouvez vous
REGARDER
votre
maladie, votre d�pression, votre douleur, votre cancer
clou� sur la croix ! Consid�rez-les attentivement ! Ils ne sont plus dans
votre vie, dans votre corps, dans vos circonstances, ils sont sur la Croix,
lieu de leur d�faite ! Ainsi, J�sus-Christ qui est la Parole de Dieu, a
aussi parl�, comme si Il disait: � maudite soit la mal�diction !�.
C�est la � mal�diction �
de la � mal�diction �.
Lorsque Paul
expose le sujet, il �clate d�une grande joie :
�
� �
mort, o� est ta victoire ? � mort, o� est ton aiguillon ? �
(1Corinthiens 15: 55).
L�aiguillon de la
mort, c�est le p�ch�, mais Christ est venu, le p�ch� a �t� aboli, et le
crochet venimeux du serpent a �t� d�truit. Parmi tous les merveilleux
symboles de la Parole de Dieu, je pense qu�aucun ne souligne d�une mani�re
aussi �clatante la victoire de J�sus-Christ que ce symbole du serpent, qui
avait mordu et maudit Isra�l, et que Dieu a fait dresser devant le peuple,
en disant :
�
�
Regardez-le maintenant, et vous vivrez ! �.
Pourquoi ? �
cause de la puissance de la promesse, � cause de l�alliance, � cause de la
blessure de J�sus, et parce qu�Il est devenu mal�diction pour nous. Que Dieu
soit b�ni d��ternit� en �ternit� !
Vous devez
IDENTIFIER votre mal et le
REGARDER comme clou� � la croix !
Le mal qui vous a
atteint est maintenant expos� ! Voyez-vous votre mal sur la Croix ? J�sus a
port� tout cela sur la croix :
�
Voyez-vous votre grosseur ?
�
Voyez-vous le Diab�te ?
�
Voyez-vous le cancer ?
�
Voyez-vous la D�pression ?
�
Voyez-vous
votre douleur �
SI TU LE VOIS,
CELA T�ARRIVERA !
�
� �lie
dit � Elis�e: Tu demandes une chose difficile. Mais
si tu me vois
pendant que je serai enlev� d�aupr�s de toi,
cela t�arrivera
ainsi; sinon, cela n�arrivera pas �
(2Rois 2:
10).
Avant d�op�rer,
un chirurgien c�l�bre avait l�habitude de dire � ses patients:
�
� Regardez votre blessure � loisir, puis fixez vos yeux sur moi et ne les
retirez plus jusqu�� ce que l�op�ration soit finie ! �.
Selon le m�me
principe, nous savons que nos yeux ont le pouvoir d�attirer � eux ce qu�ils
regardent. Comprenez le pouvoir qu�ont les yeux d�attirer � eux ce qu�ils
regardent. On peut aussit�t comprendre qu�il y a une action derri�re les
yeux. Il y a quelque chose dans notre nature qui attire et prend possession
de ce que notre �me admire et d�sire.
Nous attirons � nous-m�mes ce que nous contemplons
�
� Nous
tous qui, le visage d�couvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du
Seigneur, nous sommes transform�s en la m�me image, de gloire en gloire,
comme par le Seigneur, l�Esprit � (2Corinthiens 3: 18).
Que Dieu soit
b�ni !
�
�tes-vous p�cheur ?
�
Regardez � J�sus et soyez sauv� !
�
�tes-vous malade ?
�
Regardez � J�sus et soyez gu�ri !
Nous regardons la
Victoire de J�sus et la D�faite du Serpent. Le serpent �tait leur ennemi
particulier. Il �tait devenu le symbole des ennemis de l�esp�ce humaine d�s
le commencement. L�Ecriture emploie cette phrase pour le d�crire: � Le
serpent ancien, le diable, et Satan �. Le serpent repr�sente tout ce
qui est maudit par Dieu. Mais le caract�re absolu de sa d�faite, le
triomphe merveilleux de la R�demption, sont �tablis et d�crits dans le fait
que lui, le symbole des t�n�bres, a �t� dress� et fix� sur une perche. Dieu
a dit:
�
� Venez
et regardez-le ! Ne soyez pas effray�s par lui ! La puissance de la promesse
l�a vaincu ! �.
Compl�te d�faite du � mal multiforme �
Le Nouveau
Testament nous r�v�le le caract�re absolu de la d�faite du serpent. La
Parole dit :
�
�
R�sistez au diable, et il fuira loin de vous �.
TOUT LE MONDE ET N�IMPORTE QUI !
Le mot � quiconque � signifie � tout le monde et n�importe qui ! �.
C�est ce que J�sus est devenu pour nous sur le bois maudit de la croix ! Il
a consenti � �tre maudit pour tout le monde et pour n�importe qui. C�est
le m�me Christ pour les intellectuels que pour les enfants, pour les pauvres
que pour les riches, pour paysans comme pour les pr�sidents, pour les
prostitu�es comme des saints: "Quiconque !"� quiconque regarde vivra.
LES TROIS
QUICONQUES SUPPOSENT DES CANDIDATS
D�abord un premier � QUICONQUE �
d�signe le
CANDIDAT AU SALUT !
�
� Dieu a tant aim� le monde qu�Il a
donn� son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ait la vie
�ternelle ��
La r�ponse � cet appel, c�est une d�cision
personnelle ! Cet appel concerne toute cr�ature ici bas sur terre: � allez
et �vang�lisez toute la cr�ation� �. C�est un appel destin� � tous, en aussi
grand nombre que le Seigneur Dieu les appellera. Allez vous prendre votre
d�cision, c�est vital ?!
Puis un second � QUICONQUE �
nous indique le
CANDIDAT A LA GUERISON !
Chacun est responsable des propos tenus contre et
des murmures� et de ses cons�quences:
�
� Quand chacun prendra conscience de son fl�au et de sa souffrance� � (cf.
2Chroniques 6: 19).
MAIS�
�
� Quiconque
aura �t� mordu et le contemplera, conservera la vie �.
Enfin un dernier � QUICONQUE �
nous dirige vers le
CANDIDAT A LA BENEDICTION !
�
� Maudit est quiconque est pendu au
bois � (Deut�ronome 21: 23).
Il est question de Celui qui a �t� perc� pour nos
iniquit�s sur le bois de la croix. Il est descendu de cette croix, puis Il
est ressuscit�. Depuis les puissances infernales et sataniques sont clou�es
elles m�mes sur la croix, lieu de leur d�faite totale et absolue.