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Pour proclamer l'Evangile de J�sus-Christ sans compromis
Proclaiming the Gospel of Jesus Christ without Compromise

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                                                  Pasteur G�rard Sadot
 Messages apport�s � l'Eglise Chr�tienne Evang�lique de 84170 Monteux (Carpentras)
 

  <-Liste des enseignements 

       

DIEU VOUS TEND LA PERCHE !

La Bible, livre des Nombres 21: 5/9

�         � 5 Le peuple s�impatienta en route, parla contre Dieu et contre Mo�se: Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d��gypte, pour que nous mourions dans le d�sert ? Car il n�y a point de pain et il n�y a point d�eau, et nous sommes d�go�t�s de ce pain m�prisable. 6 Alors l��ternel envoya contre le peuple les serpents br�lants; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Isra�l. 7 Le peuple se rendit aupr�s de Mo�se et dit: Nous avons p�ch�, car nous avons parl� contre l��ternel et contre toi. Prie l��ternel, afin qu�il �loigne de nous ces serpents. Mo�se pria pour le peuple. 8 L��ternel dit � Mo�se: Fais-toi un serpent br�lant et place-le sur une perche; quiconque aura �t� mordu et le contemplera, conservera la vie. 9 Mo�se fit un serpent de bronze, et le pla�a sur la perche; et si quelqu�un avait �t� mordu par un serpent et REGARDAIT le serpent de bronze, il conservait la vie ï¿½. 

Crimes et ch�timents�
En quoi consistait le p�ch� d�Isra�l ?
 

-          Le peuple s�impatienta en route: nombre d�enfants de Dieu r�agissent de la sorte quand ils ne re�oivent pas tout � ici et maintenant ï¿½ (�). La mutinerie qui n��tait qu�une question de minuterie n��tait pas loin�

-          Il parla contre Dieu et Mo�se: ils n�ont pas reconnu leur homme de Dieu, ni ne l�ont b�ni comme ils auraient d� le faire ! Et derri�re la critique de Mo�se, c�est Dieu qui �tait vis� ! Faisons nous m�mes attention car nous pouvons avoir une propension � � parler contre ï¿½.

-          Pourquoi nous as tu fait sortir d�Egypte, pour mourir dans le d�sert ?! Parfois j�entends des chr�tiens qui t�moignent que Dieu les a sauv�s, mais qui se plaignent de vivre une vie mis�rable, disant qu�avant leur conversion c��tait bien mieux, et qui se r�voltent, car maintenant� ils p�rissent. Le raisonnement du peuple �tait illogique.

-          Car il n�y a point d�eau ni de pain� Ils pensaient en termes de manque, et �a les rendait m�contents ! C��tait vrai, mais cela ne devait durer seulement que pour un temps, alors que des provisions illimit�es �taient d�j� pr�tes et disponibles: � quand une fen�tre se ferme, une porte s�ouvre� ï¿½.

-          Nous sommes d�gout�s de ce pain mis�rable ! Ils ont commenc� � m�priser la manne, le � pain du miracle ï¿½, le surnaturel de Dieu; dans la nouvelle alliance, il nous est demand� de ne pas m�priser les proph�ties ! Si l�Eglise rejette le surnaturel divin, il ne lui restera plus que les � serpents br�lants ï¿½ de la psychologie dite chr�tienne, du compromis avec l��cum�nisme, et m�me des pratiques occultes�

-          Alors l�Eternel envoya des serpents br�lants� � br�lants ï¿½ dans le sens que leur venin g�n�re une fi�vre terrible. Ils ont cherch� le b�ton pour se faire battre, et la cons�quence logique, c�est que Dieu qui les avait prot�g�s depuis si longtemps ne pouvait plus retenir ces serpents. Que de dangers auxquels le Seigneur nous a fait �chapper, sans que nous en ayons eu m�me conscience.

-          Ils mordirent le peuple et un grand nombre mourut ! Vous constatez avec moi les ravages et la trag�die que le p�ch� entra�ne ! D�s lors, l�Ennemi de nos �mes sous la forme de ces serpents a eu des droits sur eux, comme il en aura sur qui que ce soit qui est ingrat�

-          Nous avons p�ch� car nous avons parl� contre� Enfin ils reconnaissent leur �tat et le p�ch� ! Ils se repentent. Vous savez que l�on p�che beaucoup par nos l�vres !

-          Mo�se pria pour le peuple� Tout un peuple a p�ch� par ses l�vres: � nous avons parl� contre ï¿½, mais un homme est all� chercher la gu�rison par ses l�vres � Mo�se pria pour��, dans un tr�s bel esprit de pardon, image magnifique de J�sus qui sur la croix a interc�d� pour des coupables, et demand� au P�re: � pardonne leur car ils ne savent ce qu�ils font ï¿½ !

-          L��ternel dit � Mo�se: Fais-toi un serpent br�lant sur une perche; quiconque aura �t� mordu et le contemplera, conservera la vie. Certes le rem�de r�v�l� � Mo�se est �trange de prime abord, mais nous ne sommes pas l� pour contester l�ordonnance du Divin M�decin !  

Je vous parlerai de trois grandes lignes dans ce r�cit : 

1) Le rachat de la mort sure !

2) La gu�rison de ce que le mal a dit !

3) La mal�diction de la mal�diction... 

RACHETE DE LA MORT� SURE !

Le Salut de votre �me ! 

�         � Et comme Mo�se �leva le serpent dans le d�sert, ainsi il faut que le Fils de l�homme soit �lev�, afin que quiconque croit en Lui ne p�risse pas, mais qu�il ait la vie �ternelle ï¿½ (La Bible, Jean 3: 14/15).

Maintenant, qui que vous soyez, vous �tes pr�cis�ment dans le m�me �tat que l�Isra�lite qui avait �t� mordu par les serpents br�lants. Le p�ch� qui habite en vous est semblable � un venin inocul� dans vos veines ! On peut le comparer au nuage de Tchernobyl, personne ne l�a vu, surtout en France, mais bien des ann�es plus tard, il y a explosion de cancers notamment l� o� il est pass�, et le nier ne serait que mauvaise foi ! C�est ainsi que le � p�ch� ï¿½ agit� 

On ne joue pas avec le p�ch� ! 

Un homme faisait son spectacle avec un python depuis des ann�es� Mais un jour, qu�est-il arriv� � ce serpent� ? Il a entour� notre brave homme comme d�habitude, puis il a commenc� � l��touffer ! L�homme n�a pas pu se d�gager, il est mort dans son spectacle sans que personne ne puisse le d�livrer ! 

�         La Bible dit: � Le Salaire du P�ch�, c�est la mort ! ï¿½.  

Que vous le vouliez ou pas, c�est ainsi ! Pourquoi discuter de faits qui vous d�passent ?  Dieu a pos� 84 questions � Job le propre juste, et vous savez quoi ? Il n�a pas pu r�pondre � une seule d�entres elles ! Job disait : � JE SAIS QUE J�AI RAISON ! ï¿½ (cf. Job 13: 3/15/18). Avec force arguments, il voulait se justifier � tout prix, mais sa logique n�a rien chang� � sa situation� Etre � cart�sien ï¿½, ainsi que tous vos raisonnements, ne vous permettra que de discutailler avec Dieu, de pol�miquer, mais devant Dieu vous ne pourrez jamais r�pondre. Cela nous et vous d�passe de tr�s tr�s loin. Il s�agit de choses d�une autre nature, spirituelles !  

�        Job 42: 3: � Qui est celui qui assombrit mes desseins (par des propos) d�nu�s de connaissance ? Oui, j�ai fait part, sans les comprendre, de merveilles qui me d�passent et que je ne connaissais pas ï¿½. 

Riche ou pauvre, jeune ou vieux, respect� ou m�pris�: � Vous �tes p�cheur !  

Vous avez au dedans de vous les effets de la morsure du p�ch� et du serpent ancien, Satan, et ces effets sont: la mort. Le poison op�re dans votre c�ur, qui, comme le dit la Parole de Dieu est d�sesp�r�ment malin.  

Un serpent �tait cach� dans une marmite !

En mai 1992, dans la ville alg�rienne de Maghniyya, 4 fr�res �g�s de 8 � 15 ans p�rirent juste apr�s avoir mang� la soupe du soir. Leur m�re avait involontairement ramen� � la maison un serpent venimeux cach� dans les l�gumes rang�s au r�frig�rateur. Quand elle les prit, le serpent amateur de chaleur se glissa dans la marmite et y d�chargea son venin...

 Il vous est impossible de vous gu�rir vous-m�me; vous ne pouvez, de quelque mani�re que ce soit, �viter la mort, qui est la cons�quence du p�ch� qui habite en vous. Toute la science des m�decins ne peut l��loigner; et, eussiez-vous toutes les richesses de la terre, vous ne pourriez l�engager � se tenir loin de vous. M�me pendant que vous lisez ces paroles, vous vous avancez vers elle:

Le jour o� tu vas mourir approche !

Deut�ronome 31: 14

Quelqu�un dira: 

�         � OK ! Mais laissez-moi le temps de r�fl�chir ! Nous reverrons cela plus tard ! J�aurai tout le temps d�y penser le moment venu !�.

Il est d�j� tard sur l�horloge de ta vie ! Nul ne sait ni le jour ni l�heure de ton d�part !

Ne soyez pas aussi optimiste !

�         En mai 1993, un homme nu courait sur le pont de Brooklyn, � New-York, en chantant: �Ah ! que la vie est belle !�. Il fut renvers� par une voiture et tu� sur le coup !

L�heure fatale !

�         En f�vrier 1991, Piera Rutelli, 40 ans roulait dans un tunnel non loin de G�nes (Italie). Une �norme stalactite de glace se d�crocha du plafond du tunnel, traversa le toit de la voiture de Piera et le tua !

 

Fatalit� & malchance...

�         En f�vrier 1983, une bourrasque pr�cipita la voiture de Vittorio Luise dans une rivi�re des environs de Naples. Luise, 45 ans r�ussit � briser une vitre � s�extraire du v�hicule et � revenir � la nage. Une fois sur la rive, un arbre s�abattit sur lui et le tua !

Et, personne ne sait qui sera le prochain !

�         En juillet 1982, � Blairsville (G�orgie), le pasteur Ray Hewett conclut l�enterrement de Liza Poteete, 91 ans par ces mots: � Nul ne peut savoir qui sera le prochain � s�en aller ï¿½. C�est alors que la foudre tomba sur Donald Metcalf, 27 ans, petits fils de la d�funte !

Et pourquoi vous est-il ordonn�, ainsi qu�� tous les hommes, de mourir une fois, si ce n�est parce que � tous ont p�ch� ? � Tel est donc votre �tat ! Le poison du p�ch� op�re en vous, dans le silence peut-�tre, en secret, mais continuellement et avec efficace, et l�effet de cette op�ration, c�est la mort ! 

MAIS DIEU VOUS TEND UNE PERCHE ! 

Or, comme le serpent d�airain fut �lev� sur une perche, afin que les pauvres Isra�lites mourants puissent fixer les yeux sur lui et ainsi �tre gu�ris, de m�me J�sus a �t� �lev� sur le bois de la croix, afin que tout p�cheur qui croit en Lui, ait la vie �ternelle. L�Isra�lite n�avait autre chose � faire qu�� REGARDER; et vous, vous n�avez qu�� croire. Vous demanderez peut-�tre comment la simple foi en J�sus peut-elle me sauver de mes p�ch�s ? Cela est-il possible ? Je ne le comprends pas ! Les Isra�lites auraient pu tenir le m�me langage. Ils auraient pu dire � Mo�se :  

�         � Comment la vue de ce serpent d�airain peut-elle nous gu�rir de nos douloureuses plaies ? �.  

Mais quelle e�t �t� la r�ponse du serviteur de Dieu ? 

Cessez de raisonner ! 

�         � Regardez seulement, croyez ma parole, ou plut�t la Parole de Dieu. Jetez seulement un faible regard sur ce serpent, un regard agonisant, et vous vivrez. Ah ! si vous sentez les douleurs de ce venin qui coule dans vos veines, si vous connaissez les terribles agonies de la mort qui est la suite de cette affreuse morsure, vous cesserez de raisonner. Vous croirez que ce que je vous dis est vrai, m�me parce que vous d�sirerez qu�il en soit ainsi, parce que vous voudrez �tre sauv� �.  

C�est ainsi qu�aurait parl� Mo�se, et c�est de cette mani�re aussi que je voudrais vous r�pondre. Croyez seulement ce que Dieu dit:  

�         � Qui croit au Fils a la vie �ternelle � (Jean 3: 36).  

Le Divin M�decin vous pr�sente le rem�de 

Auriez vous l�audace de contester le diagnostique d�un sp�cialiste et de refuser de vous faire soigner, de prendre les rem�des et de suivre scrupuleusement l�ordonnance ? La demande qu�Il vous fait n�est-elle pas bien simple : � de croire et d��tre sauv� ? Ce n�est pas ma parole que je vous dis, c�est celle de Dieu m�me. Ce n�est pas mon message de salut, c�est celui de Dieu. Il sait que vous ne pouvez vous sauver; Il sait que toutes vos pri�res, toutes vos larmes ne peuvent effacer un seul p�ch�, et Il sait qu�� moins qu�ils ne soient tous lav�s, tous pardonn�s et effac�s, vous ne pouvez �chapper aux justes cons�quences du p�ch�, � la mort �ternelle. Dieu, dans son insondable amour, fait donc d�pendre le salut de l�homme de l��uvre de J�sus, et non de ce que peut faire le p�cheur, ou pour mieux dire, de ce qu�il ne peut pas faire. 

L�Antidote coule dans vos veines ! 

Le SANG DE JESUS est le seul antidote au p�ch� qui coule comme un poison dans nos veines ! Regardez-Le sur cette croix ! Faites un petit d�tour vers Lui, �chappez vous du quotidien, du qu�en dira-t-on ? Etc. D�tournez vous vers Lui et les choses vont �tre diff�rentes ! Le paysage vaut le DETOUR ! Regardez un peu vers le Ciel, levez les yeux ! Consid�rez le pendu sur cette terrible croix et l��uvre que J�sus a accomplie pour vous ! Votre mal tel un serpent a �t� clou� sur la croix et d�pouill� de toute sa nuisance ! 

�         croyez que Dieu a fait p�ch� Celui qui n�a pas connu le p�ch�;

�         croyez que son but, en venant ici-bas en ressemblance de chair de p�ch�, �tait de nous sauver;

�         que le motif pour lequel Il souffrit la croix �tait de glorifier Dieu en portant le p�ch� et son affreux ch�timent, pour le Salut du p�cheur. Jetez sur lui le regard de la foi, et vous serez sauv�.  

L�Isra�lite, s�il croyait les paroles de Mo�se, regardait le serpent, quelque �loign� qu�il en f�t. Les yeux d�j� ternis par les approches de la mort, � peine respirant encore, il jetait un regard sur le serpent, et cela suffisait: il se levait vivant, un nouvel homme, pour ainsi dire. Le venin du serpent br�lant perdait sa force; et celui qui, un moment auparavant, �tait sur le point de mourir, recouvrait instantan�ment la vigueur et la sant�, capable de marcher et de combattre les combats du Seigneur. Il en sera de m�me de vous, si vous jetez sur J�sus un simple regard de foi, mettant en Lui et dans ce qu�Il a fait pour votre �me, une pleine confiance, comme celle d�un petit enfant: � si vous croyez le t�moignage de Dieu au sujet de son Fils, vous �tes �ternellement rachet�, �ternellement sauv�, il n�y a plus pour vous aucune condamnation: non, mais la vie, la joie, la paix, la gloire seront votre partage ! (Romains 8). Peut-�tre direz-vous: Comment puis-je savoir si j�ai le droit de regarder ainsi � J�sus ? J�ai �t� un grand p�cheur. Ne dois-je pas d�abord m�amender, avant de pouvoir esp�rer qu�Il me pardonne ? Ne dois-je pas mener une vie plus sainte, avant d�oser me confier en Lui et croire que mes p�ch�s me sont pardonn�s ? � Je vous demanderai: 

�         Pour qui le serpent d�airain fut-il �lev� ?

�         Qui avait le droit de jeter les yeux sur lui et d��tre gu�ri ?

�         N��tait-ce pas le pauvre Isra�lite qui p�rissait, parce qu�il avait �t� mordu ?

�         N��tait-ce pas parce qu�il se mourait qu�il avait le droit de regarder le serpent ?

�         N��tait-ce pas pour lui seul que le serpent avait �t� �lev� ?

�         Et Mo�se lui disait-il d�essayer de se gu�rir avant de le regarder ?

�         N��tait-ce pas en le regardant qu�il trouvait la gu�rison ?  

M�me un agonisant peut �tre sauv� ! 

Il en est de m�me de vous. Vos p�ch�s m�mes sont votre titre pour regarder vers J�sus. Votre seul droit au salut qui est en J�sus, c�est parce que vous p�rissez. Si vous sentez que vos p�ch�s sont nombreux, qu�ils sont pour vous un pesant fardeau, que cela fasse na�tre la confiance dans votre c�ur ! C�est pour ceux qui sont tels que vous, que le Sauveur est venu. Vous �tes perdu ! J�sus est venu chercher et sauver ce qui �tait perdu. Ce sont les pauvres p�cheurs qui ont besoin d�un Sauveur. Ce ne sont que ceux qui p�rissent qui ont droit � Lui. Il est leur ami; c�est pour eux seuls qu�Il a quitt� la gloire. C�est pour eux qu�Il a vers� son sang. Il n�est pas venu pour les bons et les justes. Regardez donc � Lui, parce que vous �tes un p�cheur. Que vos p�ch�s vous convainquent que vous avez un titre � regarder vers Lui. Que votre mis�re soit ce qui vous fait recevoir sa paix et soit votre titre � sa gloire. Ceux qui sont en sant� n�ont pas besoin de m�decin; ce sont ceux qui se portent mal.  

Pensez-vous qu�un homme gravement malade dirait: J�attendrai de me porter mieux avant de prendre le rem�de qui me gu�rira ? Ou s�amuserait-il � raisonner avec son m�decin sur la nature du rem�de qu�il lui pr�sente ? Non ! Il le saisira avec empressement et le boira jusqu�� la derni�re goutte, si on lui assure que cela lui sera salutaire. Il l�esp�rerait et aurait confiance au rem�de. D�sirant ardemment d��tre soulag�, il rejetterait ses doutes et saisirait avidement ce qui lui donnerait l�espoir d��tre gu�ri. Ainsi, si vous d�sirez �tre sauv�, si vous sentez que vous p�rissez, ne perdez pas de temps � raisonner ou � chercher � vous rendre meilleur ; mais prenez, prenez le rem�de efficace, le parfait rem�de: croyez ! � confiez-vous dans l��uvre de J�sus. Son sang pr�cieux purifie de tout p�ch�; et le Salut vous est gratuitement offert. Croyez que ce sang a le pouvoir de gu�rir et de purifier. Croyez qu�il a �t� vers� et offert � Dieu comme sacrifice pour les p�ch�s, pour toujours (H�breux 9: 26/28; 10: 12/14). � Tout est accompli, vous �tes sauv� !

GUERIR DE CE QUE � LE MAL A DIT ï¿½

La gu�rison de toute maladie !

Nous avons tous besoin de Gu�rison ! A la fin de sa vie, Jung disait que si on lui trouvait quelqu'un de normal, il le gu�rirait ! (Jacques Brosse). J�sus est venu �galement pour gu�rir les malades... y compris ceux qui ne savent pas qu'ils sont malades ! Croyez-moi, tout le monde est malade ! Il y a 2000 ans, toute la Palestine �tait souffrante. L�Empire du Mal r�gnait, comme pour d�fier J�sus, et l�obliger � d�tourner son regard de cette humanit� souffrante, naus�abonde, r�pugnante, geignarde. J�sus pouvait entendre la voix de Satan venant du fond de son quartier g�n�ral lui dire:

�         �Et cette horreur l�, ne te soul�ve-t-elle pas le c�ur ? Non ? Tu es s�r ?  Il t�en faut d�avantage ? Mais, qu�� cela ne tienne, nos magasins regorgent d�abominations, d�afflictions, de mis�res. �a pullule, �a se duplique, �a se multiplie � l�infini. Tu n�a encore rien vu...�.

Mais, J�sus va s�en occuper et les gu�rir tous, ces fi�vreux, ces atrophi�s, ces variqueux, ces �corch�s,  ces cyanos�s, ces desquam�s, ces goitreux, ces diarrh�iques, ces h�b�t�s, ces �pileptiques, ces pellagreux, ces t�tanis�s, ces pleur�tiques, ces glaireux, ces amput�s, ces hydropiques, ces �clop�s... 

Donc, tous ont besoin de J�sus ! Dans l'Ecriture, il est dit de J�sus: � Tous Le cherchent ! ï¿½.

QU�EST-CE QUE LE MAL A DIT ?

 Nous attirons souvent un mal qui correspond aux paroles de notre propre bouche :

�         Job 20: 12/16: � 12 Puisque le mal est si doux � sa bouche qu�il l�abrite sous sa langue, 13 le savoure sans le l�cher et le retient encore sous son palais, 14 son aliment se corrompt dans ses entrailles et y devient un venin d�aspic. 15 La fortune qu�il avait aval�e, la voil� vomie: � son ventre, Dieu la fera rejeter. 16 C�est un venin d�aspic qu�il su�ait, la langue de la vip�re le tuera ï¿½. 

Le mal qui nous arrive est en relation avec notre �tat int�rieur, et la d�claration de notre propre langue. Le p�ch� est compar� � une friandise que l�on garde dans sa bouche aussi longtemps que possible, mais qui, p�n�trant dans le corps, devient un poison. Il existe une r�elle relation de cause � effet. Dans le texte de Job, c�est clairement signifi�: 

�         � Puisque le mal est si doux � sa bouche� c�est une venin d�aspic qu�il su�ait, la langue de vip�re le tuera ! ï¿½.

La liste suivante, bien �videmment non exhaustive, nous fait part de ce qui a �t� �tudi� d�j� depuis longtemps et de la correspondance certaine qui existe entre une maladie, un �tat, et le fond de tel probl�me. La maladie et certaines attitudes sont r�v�latrices de la cause profonde de nos probl�mes�

Ainsi, les accidents � r�p�tition sont une expression de col�re, de frustration et de r�bellion.

L�anorexie ou la boulimie en dit long sur la haine de soi et le rejet de la vie, qui dit : "je ne suis pas assez bon pour vivre".

L�arthrite quand � elle indique un fond de critique du soi et des autres, le perfectionnisme

L�asthme parle d�un amour maternel possessif, mais aussi de complexe de culpabilit� ou complexe d'inf�riorit�.

Les probl�mes de bras indiquent l�incapacit� � �treindre, les anciennes �motions retenues dans les articulations.

Les br�lures, furoncles, fi�vre plaies inflammations, enflures sont une expression de la col�re.

Le cancer est li� avec de profonds ressentiments, la m�fiance, l�apitoiement sur soi-m�me, la sensation d'impuissance, l�incapacit� � s'en sortir. 

Le c�ur est amour et le sang est joie. Les infarctus sont une n�gation et un rejet de l'amour et de la joie.

Les probl�mes de c�lon et la constipation sont l'incapacit� de l�cher prise, le manque de confiance en ses r�serves, th�saurisation, tandis que la diarrh�e est la peur de garder.

Les probl�mes du cou montrent des probl�mes de flexibilit�.

Les doigts Index = ego; col�re et peur.

Le pouce = l�inqui�tude.

Le m�dius = la col�re, c�t� droit: homme, c�t� gauche: femme.

L�annulaire = unions et chagrin.

L�auriculaire = famille et faux semblants.

Le dos, partie sup�rieure : besoin de soutien et solitude �motionnelle.

 Partie m�diane: culpabilit�.

 Partie inf�rieure: �puisement, inqui�tude concernant l'argent.

Les douleurs peuvent provenir de la culpabilit�, cherchant punition (notez ou elle se manifeste).

Les enflures sont en relation avec les pens�es inactives, les larmes retenues et le sentiment d'�tre pris au pi�ge.

L�estomac quant � lui c�est l�incapacit� de supporter des id�es et des exp�riences. Qui ou quoi pouvez-vous encaisser ?

Les exc�s de poids parlent du besoin de protection, de l�ins�curit�.

Les genoux, en relation avec l�inflexibilit�, l�incapacit� � se plier, la fiert�, l�ego, l�ent�tement, la peur du changement, l�autosatisfaction. 

La gorge c�est la peur du changement, l�incapacit� de parler, la col�re, une cr�ativit� frustr�e.

La laryngite = on est trop f�ch� pour parler,

Les probl�mes de thyro�de sont en relation avec une cr�ativit� �touff�e.

Les jambes, c�est la peur ou le peu de d�sir d'avancer.

Les veines variqueuses : le fait de rester dans des situations que l'on d�teste.

Les mains le fait que l�on soit trop agripp� � l'argent ou aux relations.

L�arthrite parle de l�autocritique, de la critique int�rioris�e, de la critique des autres.

Les maux de t�te en relation avec l�annulation du soi.

Les migraines: la col�re et le perfectionnisme, la frustration.

Les oreilles probl�me avec ce qui est difficile d'accepter ce qui est dit.

Les maux d'oreilles r�v�lateurs de la col�re,

La surdit� peut provenir du refus d'�couter.

Les probl�mes de peau sont en lien avec le sentiment d'�tre menac�, que d'autres aient un pouvoir sur vous. Le fait d��tre susceptible, �corch� vif, et le besoin de s'auto-�duquer.

Les poumons en lien avec l�incapacit� d'accepter et de donner la vie, n�gation de la vie.

L�emphys�me, les exc�s de cigarettes, la n�gation de la vie, le sentiment d�inf�riorit�.

Les raideurs r�v�lent un mental raide, une inflexibilit�, la peur, la r�sistance au changement.

Les seins indiquent un maternage excessif d'une personne / chose / place / exp�rience.

Les sinus le fait d��tre irrit� par une autre personne.

La t�te l'aspect que nous montrons au monde, quelque chose fondamentalement erron�.

Les tumeurs sont li�es aux vieilles blessures tortur�es, et au refus de gu�rison.

Quant � eux, les ulc�res viennent de la peur de ne pas �tre assez bon, et du rejet de sa propre valeur�

Il est question ici de la gu�rison des Isra�lites dans le d�sert, lorsque Mo�se �leva le serpent d�airain. Isra�l avait exp�riment� une merveilleuse d�livrance et remport� une grande victoire sur Arad, roi des Canan�ens, que Dieu avait livr�s entre leurs mains. Nous lisons au verset 5 de Nombres 21 que le peuple � parla contre Dieu et contre Mo�se �. Mo�se avait demand� de traverser le pays d�Edom, leur promettant qu�ils ne traverseraient pas leurs vignes et ne boiraient pas l�eau de leurs puits. Mais Edom leur avait r�pondu :

�         � Tu ne passeras point chez moi, sinon je sortirai � ta rencontre avec l��p�e � (Nombres 20: 18).

Le peuple fut donc oblig� de contourner le pays d�Edom. Ce fut pour cette raison qu�ils murmur�rent contre Dieu et contre Mo�se. On pourrait presque entendre murmurer les enfants d�Isra�l:

�         � Pourquoi nous as-tu fait sortir d�Egypte pour mourir dans le d�sert ? �.

On croirait entendre parler certains chr�tiens ! Quand ils ne sont pas en train de sauter de joie au sommet du toit de leur maison, ils sont plong�s dans une profonde vall�e o� tout est terriblement sombre et triste. Le peuple d�Isra�l venait de remporter une grande victoire, mais il �tait � pr�sent conduit sur un chemin difficile, et il commen�a � se plaindre :

�         � Car il n�y a point de pain, et il n�y a point d�eau, et notre �me est d�go�t�e de cette mis�rable nourriture �.

Cette "mis�rable nourriture" �tait la manne ! Eh bien, il s�est pass� quelque chose :

�         � Alors l�Eternel envoya contre le peuple des serpents br�lants; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Isra�l � (verset 6).

La version du Dr. Young traduit ce verset dans le sens permissif:

�         �  Alors l�Eternel permit que des serpents br�lants soient envoy�s contre le peuple �.

Ils ne s��taient pas rendu compte que jusqu�� pr�sent Dieu les avait prot�g�s de ces serpents br�lants. Aussi le Seigneur laissa-t-Il ces serpents venir les attaquer. Quand avez-vous murmur� la derni�re fois, ou quand avez-vous laiss� tous les d�mons se d�cha�ner ? Apr�s la confession, Dieu offre un rem�de

�         � Le peuple vint � Mo�se, et dit: Nous avons p�ch�, car nous avons parl� contre l�Eternel et contre toi. Prie l�Eternel, afin qu�il �loigne de nous ces serpents. Mo�se pria pour le peuple � (verset 7).

Une v�ritable confession devrait toujours pr�c�der la pri�re pour la gu�rison. Confessez votre p�ch�, puis priez. Heureusement que Mo�se avait un peu grandi dans le Seigneur. Pensez � un homme qui a pr�s de deux millions de personnes en train de murmurer contre lui. Il y a un moment o� notre �me grandit. Mo�se pria pour les enfants d�Isra�l, et Dieu lui indiqua un rem�de :

�         � L�Eternel dit � Mo�se: Fais-toi un serpent br�lant, et place-le sur une perche ; quiconque aura �t� mordu, et le regardera, conservera la vie � (verset 8).

Dieu �tait en train de leur rappeler leur alliance originelle. Combien d�entre vous savent quelle �tait la premi�re alliance faite par Dieu avec l�homme ? Dieu avait dit au serpent :

�         � Je mettrai inimiti� entre toi et la femme, entre ta post�rit� et sa post�rit�: celle-ci t��crasera la t�te, et tu lui blesseras le talon � (Gen�se 3: 15).

Dans cette premi�re alliance, Dieu avait promis que Quelqu�un viendrait �craser la t�te du serpent. Il avait conclu cette alliance avec toute l�esp�ce humaine. C�est l�une de nos alliances universelles. Nous avons le droit d�y faire r�f�rence et de nous attendre � l�accomplissement de la promesse.

Le Serpent a �t� priv� de son crochet venimeux

J�sus a priv� le serpent de son crochet venimeux. Dieu avait promis que le Christ �craserait la t�te du Serpent. Mais, ce faisant, Il aurait le talon bless� par le Serpent. C�est-�-dire qu�en �crasant la t�te du Serpent, J�sus allait �tre bless� dans Son effort. La blessure du talon s�est produite lorsque J�sus-Christ est mort � la croix.

�         1Corinthiens 15: 54: � Lorsque ce corps corruptible aura rev�tu l�incorruptibilit�, et que ce corps mortel aura rev�tu l�immortalit�, alors s�accomplira la parole qui est �crite: La mort a �t� engloutie dans la victoire. 55 O mort, o� est ta victoire ? O mort, o� est ton aiguillon ? 56 L�aiguillon de la mort, c�est le p�ch�; et la puissance du p�ch�, c�est la loi. 57 Mais gr�ces soient rendues � Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur J�sus-Christ ! ï¿½.

Mais, en m�me temps que son talon a �t� bless�, Il a �cras� le serpent pour toujours. Le serpent doit �tre enti�rement �limin� du monde, avec tout ce qu�il repr�sente.

MALEDICTION DE LA MALEDICTION !

La d�livrance de toute mal�diction ! 

�         Une mal�diction est un �tat de malheur in�luctable qui semble impos� par une divinit�, le sort ou le destin.

�         La mal�diction est aussi un rituel appelant les puissances divines � exercer leur action punitive contre un individu ou un groupe d'individus, objet de cette mal�diction.

�         Une mal�diction est aussi, un malheur qui agit sur une r�putation, qui fait que les autres vont se m�fier de cette personne, comme un envo�tement " n�gatif ".

Des mal�dictions c�l�bres�

Vous avez probablement entendu parler de mal�dictions c�l�bres, telles, la mal�diction du pharaon, la mal�diction des Templiers, la mal�diction de Tecumseh en 1811 qui porte sur tous les pr�sidents am�ricains �lus lors d'une ann�e se terminant par un z�ro, la mal�diction des Kennedy� ?! MAUDIRE C�EST MAL DIRE, avec la connotation d�envoyer un sort. La diction est mauvaise. Les paroles et les mots ont un pouvoir. B�nir, c�est � bien dire ï¿½. Le centurion romain l�avait bien compris:

�         � dis un mot et mon serviteur sera gu�ri ï¿½.

 

�         Matthieu 12: 34/37: � 34 Engeance de vip�res, comment pourriez-vous dire de bonnes choses, alors que vous �tes mauvais ? Car ce que dit la bouche, c�est ce qui d�borde du c�ur. 35 L�homme bon, de son bon tr�sor, retire de bonnes choses; l�homme mauvais, de son mauvais tr�sor, retire de mauvaises choses. 36 Or Je vous le dis : les hommes rendront compte au jour du jugement de toute parole sans port�e qu�ils auront prof�r�e. 37 Car c�est d�apr�s tes paroles que tu seras justifi�, et c�est d�apr�s tes paroles que tu seras condamn� ï¿½.

Une langue de vip�re prof�re des paroles venimeuses� contre vous-m�me ! Le p�ch� parle mal de vous, il vous maudit ! Le p�ch� du monde a maudit J�sus Lui-m�me, qui a �t� mis au rang des maudits et des criminels, Il a �t� clou� � la croix, S��tant Lui-m�me charg� de notre mal�diction et de nos crimes.

�         � Christ nous a rachet�s de la mal�diction de la loi, �tant devenu mal�diction pour nous, car il est �crit: Maudit est quiconque est pendu au bois � (Galates 3: 13).

Pourquoi Mo�se a-t-il mis un serpent sur la perche, et non pas un agneau ? C�est � cause de la victoire de J�sus sur la mort ! Il n�est plus sur la croix, Il est ressuscit� ! Seules les puissances de l�Enfer sont maintenues sur le bois de la Croix ! Tout ce qui envenime votre vie et empoisonne l�existence, tout cela est sur la croix ! Maintenant, pouvez vous REGARDER votre maladie, votre d�pression, votre douleur, votre cancer clou� sur la croix ! Consid�rez-les attentivement ! Ils ne sont plus dans votre vie, dans votre corps, dans vos circonstances, ils sont sur la Croix, lieu de leur d�faite ! Ainsi, J�sus-Christ qui est la Parole de Dieu, a aussi parl�, comme si Il disait: � maudite soit la mal�diction !�. C�est la � mal�diction ï¿½ de la � mal�diction ï¿½.

Lorsque Paul expose le sujet, il �clate d�une grande joie :

�         � � mort, o� est ta victoire ? � mort, o� est ton aiguillon ? � (1Corinthiens 15: 55).

L�aiguillon de la mort, c�est le p�ch�, mais Christ est venu, le p�ch� a �t� aboli, et le crochet venimeux du serpent a �t� d�truit. Parmi tous les merveilleux symboles de la Parole de Dieu, je pense qu�aucun ne souligne d�une mani�re aussi �clatante la victoire de J�sus-Christ que ce symbole du serpent, qui avait mordu et maudit Isra�l, et que Dieu a fait dresser devant le peuple, en disant :

�         � Regardez-le maintenant, et vous vivrez ! �.

Pourquoi ? � cause de la puissance de la promesse, � cause de l�alliance, � cause de la blessure de J�sus, et parce qu�Il est devenu mal�diction pour nous. Que Dieu soit b�ni d��ternit� en �ternit� !

Vous devez IDENTIFIER votre mal et le REGARDER comme clou� � la croix !

Le mal qui vous a atteint est maintenant expos� ! Voyez-vous votre mal sur la Croix ? J�sus a port� tout cela sur la croix :

�         Voyez-vous votre grosseur ?

�         Voyez-vous le Diab�te ?

�         Voyez-vous le cancer ?

�         Voyez-vous la D�pression ?

�         Voyez-vous votre douleur �

SI TU LE VOIS, CELA T�ARRIVERA !

�          ï¿½ ï¿½lie dit � Elis�e: Tu demandes une chose difficile. Mais si tu me vois pendant que je serai enlev� d�aupr�s de toi, cela t�arrivera ainsi; sinon, cela n�arrivera pas ï¿½ (2Rois 2: 10).

Avant d�op�rer, un chirurgien c�l�bre avait l�habitude de dire � ses patients:

�         � Regardez votre blessure � loisir, puis fixez vos yeux sur moi et ne les retirez plus jusqu�� ce que l�op�ration soit finie ! ï¿½.

Selon le m�me principe, nous savons que nos yeux ont le pouvoir d�attirer � eux ce qu�ils regardent. Comprenez le pouvoir qu�ont les yeux d�attirer � eux ce qu�ils regardent. On peut aussit�t comprendre qu�il y a une action derri�re les yeux. Il y a quelque chose dans notre nature qui attire et prend possession de ce que notre �me admire et d�sire.

Nous attirons � nous-m�mes ce que nous contemplons

�         � Nous tous qui, le visage d�couvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transform�s en la m�me image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l�Esprit � (2Corinthiens 3: 18).

Que Dieu soit b�ni !

�         �tes-vous p�cheur ?

�         Regardez � J�sus et soyez sauv� !

�         �tes-vous malade ?

�         Regardez � J�sus et soyez gu�ri !

Nous regardons la Victoire de J�sus et la D�faite du Serpent. Le serpent �tait leur ennemi particulier. Il �tait devenu le symbole des ennemis de l�esp�ce humaine d�s le commencement. L�Ecriture emploie cette phrase pour le d�crire: � Le serpent ancien, le diable, et Satan �. Le serpent repr�sente tout ce qui est maudit par Dieu. Mais le caract�re absolu de sa d�faite, le triomphe merveilleux de la R�demption, sont �tablis et d�crits dans le fait que lui, le symbole des t�n�bres, a �t� dress� et fix� sur une perche. Dieu a dit:

�         � Venez et regardez-le ! Ne soyez pas effray�s par lui ! La puissance de la promesse l�a vaincu ! �.

Compl�te d�faite du � mal multiforme ï¿½

Le Nouveau Testament nous r�v�le le caract�re absolu de la d�faite du serpent. La Parole dit :

�         � R�sistez au diable, et il fuira loin de vous �.

TOUT LE MONDE ET N�IMPORTE QUI !

Le mot � quiconque ï¿½ signifie � tout le monde et n�importe qui ! ï¿½. C�est ce que J�sus est devenu pour nous sur le bois maudit de la croix ! Il a consenti � �tre maudit pour tout le monde et pour n�importe qui. C�est le m�me Christ pour les intellectuels que pour les enfants, pour les pauvres que pour les riches, pour paysans comme pour les pr�sidents, pour les prostitu�es comme des saints: "Quiconque !"� quiconque regarde vivra.

LES TROIS QUICONQUES SUPPOSENT DES CANDIDATS 

D�abord un premier � QUICONQUE ï¿½ d�signe le

CANDIDAT AU SALUT !

�         � Dieu a tant aim� le monde qu�Il a donn� son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ait la vie �ternelle ï¿½ï¿½ 

La r�ponse � cet appel, c�est une d�cision personnelle ! Cet appel concerne toute cr�ature ici bas sur terre: � allez et �vang�lisez toute la cr�ation� ï¿½. C�est un appel destin� � tous, en aussi grand nombre que le Seigneur Dieu les appellera. Allez vous prendre votre d�cision, c�est vital ?!

Puis un second � QUICONQUE ï¿½ nous indique le

CANDIDAT A LA GUERISON ! 

Chacun est responsable des propos tenus contre et des murmures� et de ses cons�quences: 

�         � Quand chacun prendra conscience de son fl�au et de sa souffrance� ï¿½ (cf. 2Chroniques 6: 19).

MAIS�

�         � Quiconque aura �t� mordu et le contemplera, conservera la vie ï¿½.

Enfin un dernier � QUICONQUE ï¿½ nous dirige vers le

CANDIDAT A LA BENEDICTION ! 

�          ï¿½ Maudit est quiconque est pendu au bois ï¿½ (Deut�ronome 21: 23).  

Il est question de Celui qui a �t� perc� pour nos iniquit�s sur le bois de la croix. Il est descendu de cette croix, puis Il est ressuscit�. Depuis les puissances infernales et sataniques sont clou�es elles m�mes sur la croix, lieu de leur d�faite totale et absolue.

 

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