DIEU VOUS TEND LA PERCHE !
La Bible, livre
des Nombres 21: 5/9
·
« 5
Le peuple s’impatienta en route, parla contre Dieu et contre Moïse: Pourquoi
nous avez-vous fait monter hors d’Égypte, pour que nous mourions dans le
désert ? Car il n’y a point de pain et il n’y a point d’eau, et nous sommes
dégoûtés de ce pain méprisable.
6
Alors l’Éternel envoya contre le peuple les serpents brûlants; ils mordirent
le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Israël.
7
Le peuple se rendit auprès de Moïse et dit: Nous avons péché, car nous avons
parlé contre l’Éternel et contre toi. Prie l’Éternel, afin qu’il éloigne de
nous ces serpents. Moïse pria pour le peuple.
8
L’Éternel dit à Moïse:
Fais-toi un serpent brûlant et place-le sur une perche; quiconque aura été
mordu et le contemplera, conservera la vie.
9
Moïse fit un serpent de bronze, et le plaça sur la perche; et si quelqu’un
avait été mordu par un serpent et
REGARDAIT
le
serpent de bronze, il conservait la vie ».
Crimes et châtiments…
En quoi consistait le péché d’Israël ?
-
Le peuple
s’impatienta en route: nombre d’enfants de Dieu réagissent de la
sorte quand ils ne reçoivent pas tout « ici et maintenant » (…). La
mutinerie qui n’était qu’une question de minuterie n’était pas loin…
-
Il parla
contre Dieu et Moïse: ils n’ont pas reconnu leur homme de Dieu,
ni ne l’ont béni comme ils auraient dû le faire ! Et derrière la critique de
Moïse, c’est Dieu qui était visé ! Faisons nous mêmes attention car nous
pouvons avoir une propension à « parler contre ».
-
Pourquoi
nous as tu fait sortir d’Egypte, pour mourir dans le désert ?!
Parfois j’entends des chrétiens qui témoignent que Dieu les a sauvés, mais
qui se plaignent de vivre une vie misérable, disant qu’avant leur conversion
c’était bien mieux, et qui se révoltent, car maintenant… ils périssent. Le
raisonnement du peuple était illogique.
-
Car il n’y a
point d’eau ni de pain… Ils pensaient en termes de manque, et ça
les rendait mécontents ! C’était vrai, mais cela ne devait durer seulement
que pour un temps, alors que des provisions illimitées étaient déjà prêtes
et disponibles: « quand une fenêtre se ferme, une porte s’ouvre… ».
-
Nous sommes
dégoutés de ce pain misérable ! Ils ont commencé à mépriser la
manne, le « pain du miracle », le surnaturel de Dieu; dans la nouvelle
alliance, il nous est demandé de ne pas mépriser les prophéties ! Si
l’Eglise rejette le surnaturel divin, il ne lui restera plus que les
« serpents brûlants » de la psychologie dite chrétienne, du compromis avec
l’œcuménisme, et même des pratiques occultes…
-
Alors
l’Eternel envoya des serpents brûlants… « brûlants » dans le sens
que leur venin génère une fièvre terrible. Ils ont cherché le bâton pour se
faire battre, et la conséquence logique, c’est que Dieu qui les avait
protégés depuis si longtemps ne pouvait plus retenir ces serpents. Que de
dangers auxquels le Seigneur nous a fait échapper, sans que nous en ayons eu
même conscience.
-
Ils
mordirent le peuple et un grand nombre mourut ! Vous constatez
avec moi les ravages et la tragédie que le péché entraîne ! Dès lors,
l’Ennemi de nos âmes sous la forme de ces serpents a eu des droits sur eux,
comme il en aura sur qui que ce soit qui est ingrat…
-
Nous avons
péché car nous avons parlé contre… Enfin ils reconnaissent leur
état et le péché ! Ils se repentent. Vous savez que l’on pèche beaucoup par
nos lèvres !
-
Moïse pria
pour le peuple… Tout un peuple a péché par ses lèvres: « nous
avons parlé contre », mais un homme est allé chercher la guérison par
ses lèvres « Moïse pria pour…», dans un très bel esprit de pardon,
image magnifique de Jésus qui sur la croix a intercédé pour des coupables,
et demandé au Père: « pardonne leur car ils ne savent ce qu’ils font » !
-
L’Éternel
dit à Moïse: Fais-toi un serpent brûlant sur une perche; quiconque aura été
mordu et le contemplera, conservera la vie. Certes le remède
révélé à Moïse est étrange de prime abord, mais nous ne sommes pas là pour
contester l’ordonnance du Divin Médecin !
Je
vous parlerai de trois grandes lignes dans ce récit :
1)
Le rachat de la mort sure !
2)
La guérison de ce que le mal a dit !
3)
La malédiction de la malédiction...
RACHETE DE LA MORT… SURE !
Le Salut de votre âme !
·
« Et comme
Moïse éleva le serpent dans le désert, ainsi il faut que le Fils de l’homme
soit élevé, afin que quiconque
croit en
Lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle »
(La Bible, Jean 3: 14/15).
Maintenant, qui que vous soyez, vous êtes
précisément dans le même état que l’Israélite qui avait été mordu par les
serpents brûlants.
Le péché qui habite en vous est semblable
à un venin inoculé dans vos veines !
On peut le comparer au nuage de Tchernobyl, personne ne l’a vu,
surtout en France, mais bien des années plus tard, il y a explosion de
cancers notamment là où il est passé, et le nier ne serait que mauvaise
foi ! C’est ainsi que le « péché » agit…
On ne joue pas
avec le péché !
Un homme faisait son spectacle avec un python
depuis des années… Mais un jour, qu’est-il arrivé à ce serpent… ? Il a
entouré notre brave homme comme d’habitude, puis il a commencé à
l’étouffer ! L’homme n’a pas pu se dégager, il est mort dans son spectacle
sans que personne ne puisse le délivrer !
·
La Bible dit: « Le Salaire du Péché,
c’est la mort ! ».
Que vous le vouliez ou pas, c’est ainsi !
Pourquoi discuter de faits qui vous dépassent ? Dieu a posé 84
questions à Job le propre juste, et vous savez quoi ? Il n’a pas pu répondre
à une seule d’entres elles ! Job disait : « JE
SAIS QUE J’AI RAISON ! »
(cf. Job 13: 3/15/18). Avec force arguments, il voulait se justifier à tout
prix, mais sa logique n’a rien changé à sa
situation… Etre « cartésien », ainsi que tous vos
raisonnements, ne vous permettra que de discutailler avec Dieu, de
polémiquer, mais devant Dieu vous ne pourrez jamais répondre. Cela nous et
vous dépasse de très très loin. Il s’agit de choses d’une autre
nature, spirituelles !
·
Job
42: 3: « Qui
est celui qui assombrit mes desseins
(par des propos) dénués de connaissance ? Oui,
j’ai fait
part, sans les comprendre, de merveilles qui me
dépassent et que je ne connaissais pas ».
Riche ou pauvre, jeune ou vieux, respecté ou
méprisé: … Vous êtes pécheur !
Vous avez au dedans de vous les effets de la
morsure du péché et du serpent ancien, Satan, et ces effets sont: la
mort. Le poison opère
dans votre cœur, qui, comme le dit la
Parole de Dieu est désespérément malin.
Un serpent était caché dans une marmite !
En mai 1992, dans la ville algérienne de Maghniyya, 4 frères âgés de 8 à 15
ans périrent juste après avoir mangé la soupe du soir. Leur mère avait
involontairement ramené à la maison un
serpent venimeux caché dans les légumes rangés au
réfrigérateur. Quand elle les prit, le serpent amateur de chaleur se glissa
dans la marmite et y déchargea son venin...
Il
vous
est impossible de vous guérir vous-même; vous ne pouvez, de quelque
manière que ce soit, éviter la mort, qui est la conséquence du péché qui
habite en vous. Toute la science des médecins
ne peut l’éloigner; et, eussiez-vous toutes les richesses de la
terre, vous ne pourriez l’engager à se tenir loin de vous. Même pendant que
vous lisez ces paroles, vous vous avancez vers elle:
Le jour où tu
vas mourir approche !
Deutéronome 31: 14
Quelqu’un dira:
·
« OK ! Mais laissez-moi le temps de réfléchir ! Nous reverrons cela plus
tard ! J’aurai tout le temps d’y penser le moment venu !».
Il est déjà tard sur l’horloge de ta vie ! Nul ne sait ni le jour ni l’heure
de ton départ !
Ne soyez pas aussi optimiste !
·
En mai 1993, un homme nu courait sur le pont de Brooklyn, à New-York, en
chantant: “Ah ! que la vie est belle !”. Il fut renversé par une voiture et
tué sur le coup !
L’heure fatale !
·
En février 1991, Piera Rutelli, 40 ans roulait dans un tunnel non loin de
Gênes (Italie). Une énorme stalactite de glace se décrocha du plafond du
tunnel, traversa le toit de la voiture de Piera et le tua !
Fatalité & malchance...
·
En février 1983, une bourrasque précipita la voiture de Vittorio Luise dans
une rivière des environs de Naples. Luise, 45 ans réussit à briser une vitre
à s’extraire du véhicule et à revenir à la nage. Une fois sur la rive, un
arbre s’abattit sur lui et le tua !
Et, personne ne sait qui sera le prochain !
·
En juillet 1982, à Blairsville (Géorgie), le pasteur Ray Hewett conclut
l’enterrement de Liza Poteete, 91 ans par ces mots: « Nul ne peut savoir qui
sera le prochain à s’en aller ». C’est alors que la foudre tomba sur Donald
Metcalf, 27 ans, petits fils de la défunte !
Et pourquoi vous est-il ordonné, ainsi qu’à tous
les hommes, de mourir une fois, si ce n’est parce que « tous ont péché ? »
Tel est donc votre état ! Le poison du péché opère en vous, dans le
silence peut-être, en secret, mais continuellement et avec efficace, et
l’effet de cette opération, c’est la mort !
MAIS DIEU VOUS
TEND UNE PERCHE !
Or, comme le
serpent d’airain fut élevé sur une perche, afin que les pauvres
Israélites mourants puissent fixer les yeux sur lui et ainsi être
guéris, de même Jésus a été élevé sur le bois de la croix, afin que tout
pécheur qui croit en Lui, ait la vie éternelle. L’Israélite n’avait
autre chose à faire qu’à
REGARDER; et vous, vous n’avez qu’à
croire. Vous demanderez peut-être comment la simple foi en Jésus
peut-elle me sauver de mes péchés ? Cela est-il possible ? Je ne le
comprends pas ! Les Israélites auraient pu tenir le même langage. Ils
auraient pu dire à Moïse :
·
« Comment la vue de ce serpent d’airain
peut-elle nous guérir de nos douloureuses plaies ? ».
Mais quelle eût été la réponse du serviteur de
Dieu ?
Cessez de
raisonner !
·
« Regardez seulement, croyez ma parole,
ou plutôt la Parole de Dieu. Jetez seulement un faible regard sur ce
serpent, un regard agonisant, et vous vivrez. Ah ! si vous sentez les
douleurs de ce venin qui coule dans vos veines, si vous connaissez les
terribles agonies de la mort qui est la suite de cette affreuse morsure,
vous cesserez de raisonner. Vous croirez que ce que je vous dis est vrai,
même parce que vous désirerez qu’il en soit ainsi, parce que vous voudrez
être sauvé ».
C’est ainsi qu’aurait parlé Moïse, et c’est de
cette manière aussi que je voudrais vous répondre. Croyez seulement ce que
Dieu dit:
·
« Qui
croit au
Fils a la vie éternelle » (Jean 3: 36).
Le Divin Médecin
vous présente le remède
Auriez vous l’audace de contester le diagnostique
d’un spécialiste et de refuser de vous faire soigner, de prendre les remèdes
et de suivre scrupuleusement l’ordonnance ? La demande qu’Il vous fait
n’est-elle pas bien simple : — de croire et d’être sauvé ? Ce n’est
pas ma parole que je vous dis, c’est celle de Dieu même. Ce n’est pas mon
message de salut, c’est celui de Dieu. Il sait que vous ne pouvez vous
sauver; Il sait que toutes vos prières, toutes vos larmes ne
peuvent effacer un seul péché, et Il sait qu’à moins qu’ils ne soient
tous lavés, tous pardonnés et effacés, vous ne pouvez échapper aux justes
conséquences du péché, — la mort éternelle. Dieu, dans son insondable
amour, fait donc dépendre le salut de l’homme de l’œuvre de Jésus, et non de
ce que peut faire le pécheur, ou pour mieux dire, de ce qu’il ne peut pas
faire.
L’Antidote
coule dans vos veines !
Le
SANG DE JESUS
est le seul antidote au péché qui coule
comme un poison dans nos veines ! Regardez-Le sur cette croix !
Faites un petit détour vers Lui,
échappez vous du quotidien, du qu’en dira-t-on ? Etc. Détournez vous vers
Lui et les choses vont être différentes ! Le paysage vaut le
DETOUR !
Regardez un peu vers le Ciel, levez les yeux ! Considérez le pendu sur cette
terrible croix et l’œuvre que Jésus a accomplie pour vous ! Votre mal tel un
serpent a été cloué sur la croix et dépouillé de toute sa nuisance !
·
croyez que Dieu a fait péché Celui qui n’a
pas connu le péché;
·
croyez que son but, en venant ici-bas en
ressemblance de chair de péché, était de nous sauver;
·
que le motif pour lequel Il souffrit la
croix était de glorifier Dieu en portant le péché et son affreux châtiment,
pour le Salut du pécheur. Jetez sur lui le regard de la foi, et vous serez
sauvé.
L’Israélite, s’il croyait les paroles de Moïse,
regardait le serpent, quelque éloigné qu’il en fût. Les yeux déjà ternis par
les approches de la mort, à peine respirant encore, il jetait un regard sur
le serpent, et cela suffisait: il se levait vivant, un nouvel homme, pour
ainsi dire. Le venin du serpent brûlant perdait sa force; et celui qui, un
moment auparavant, était sur le point de mourir, recouvrait
instantanément la vigueur et la santé, capable de marcher et de
combattre les combats du Seigneur. Il en sera de même de vous, si vous jetez
sur Jésus un simple regard de foi, mettant en Lui et dans ce qu’Il a fait
pour votre âme, une pleine confiance, comme celle d’un petit enfant: — si
vous croyez le témoignage de Dieu au sujet de son Fils, vous êtes
éternellement racheté, éternellement sauvé, il n’y a plus pour vous aucune
condamnation: non, mais la vie, la joie, la paix, la gloire seront votre
partage ! (Romains 8). Peut-être direz-vous: Comment puis-je savoir si j’ai
le droit de regarder ainsi à Jésus ? J’ai été un grand pécheur. Ne dois-je
pas d’abord m’amender, avant de pouvoir espérer qu’Il me pardonne ? Ne
dois-je pas mener une vie plus sainte, avant d’oser me confier en Lui et
croire que mes péchés me sont pardonnés ? — Je vous demanderai:
·
Pour qui le serpent d’airain fut-il
élevé ?
·
Qui avait le droit de jeter les yeux sur
lui et d’être guéri ?
·
N’était-ce pas le pauvre Israélite qui
périssait, parce qu’il avait été mordu ?
·
N’était-ce pas parce qu’il se mourait
qu’il avait le droit de regarder le serpent ?
·
N’était-ce pas pour lui seul que le
serpent avait été élevé ?
·
Et Moïse lui disait-il d’essayer de se
guérir avant de le regarder ?
·
N’était-ce pas en le regardant qu’il
trouvait la guérison ?
Même un
agonisant peut être sauvé !
Il en est de même de vous. Vos péchés mêmes
sont votre titre pour regarder vers Jésus. Votre seul droit au salut qui est
en Jésus, c’est parce que vous périssez. Si vous sentez que vos
péchés sont nombreux, qu’ils sont pour vous un pesant fardeau, que cela
fasse naître la confiance dans votre cœur ! C’est pour ceux qui sont tels
que vous, que le Sauveur est venu. Vous êtes perdu ! Jésus est venu
chercher et sauver ce qui était perdu. Ce sont les pauvres pécheurs qui
ont besoin d’un Sauveur. Ce ne sont que ceux qui périssent qui ont
droit à Lui. Il est leur ami; c’est pour eux seuls qu’Il a quitté
la gloire. C’est pour eux qu’Il a versé son sang. Il n’est pas venu pour les
bons et les justes. Regardez donc à Lui, parce que vous êtes un pécheur.
Que vos péchés vous convainquent que vous avez un titre à regarder vers Lui.
Que votre misère soit ce qui vous fait recevoir sa paix et soit votre titre
à sa gloire. Ceux qui sont en santé n’ont pas besoin de médecin; ce sont
ceux qui se portent mal.
Pensez-vous qu’un homme gravement malade dirait:
J’attendrai de me porter mieux avant de prendre le remède qui me
guérira ? Ou s’amuserait-il à raisonner avec son médecin sur la nature
du remède qu’il lui présente ? Non ! Il le saisira avec empressement et le
boira jusqu’à la dernière goutte, si on lui assure que cela lui sera
salutaire. Il l’espérerait et aurait confiance au remède. Désirant ardemment
d’être soulagé, il rejetterait ses doutes et saisirait avidement ce qui lui
donnerait l’espoir d’être guéri. Ainsi, si vous désirez être sauvé, si vous
sentez que vous périssez, ne perdez pas de temps à raisonner ou à chercher à
vous rendre meilleur ; mais prenez, prenez le remède efficace, le parfait
remède: croyez ! — confiez-vous dans l’œuvre de Jésus.
Son sang précieux purifie de tout péché;
et le Salut vous est gratuitement offert. Croyez que ce sang a le
pouvoir de guérir et de purifier. Croyez qu’il a été versé et offert à Dieu
comme sacrifice pour les péchés, pour toujours (Hébreux 9: 26/28; 10:
12/14). — Tout est accompli, vous êtes sauvé !
GUERIR DE CE QUE « LE MAL A DIT »
La guérison de toute maladie !
Nous avons tous besoin de Guérison !
A la fin de sa vie, Jung disait que si on lui trouvait quelqu'un de normal,
il le guérirait ! (Jacques Brosse). Jésus est venu également pour guérir les
malades... y compris ceux qui ne savent pas qu'ils sont malades !
Croyez-moi, tout le monde est malade ! Il y a 2000 ans, toute la
Palestine était souffrante. L’Empire du Mal régnait, comme pour défier
Jésus, et l’obliger à détourner son regard de cette humanité souffrante,
nauséabonde, répugnante, geignarde. Jésus pouvait entendre la voix de Satan
venant du fond de son quartier général lui dire:
·
“Et cette horreur là, ne te soulève-t-elle pas le cœur ? Non ? Tu es sûr
? Il t’en faut d’avantage ? Mais, qu’à cela ne tienne, nos magasins
regorgent d’abominations, d’afflictions, de misères. Ça pullule, ça se
duplique, ça se multiplie à l’infini. Tu n’a encore rien vu...”.
Mais, Jésus va s’en occuper et les guérir tous, ces fiévreux, ces
atrophiés, ces variqueux, ces écorchés, ces cyanosés, ces desquamés, ces
goitreux, ces diarrhéiques, ces hébétés, ces épileptiques, ces pellagreux,
ces tétanisés, ces pleurétiques, ces glaireux, ces amputés, ces hydropiques,
ces éclopés...
Donc, tous ont besoin de Jésus ! Dans l'Ecriture, il est dit de Jésus: « Tous
Le cherchent ! ».
QU’EST-CE QUE LE MAL A DIT ?
Nous attirons souvent un mal qui correspond aux paroles de notre propre
bouche :
·
Job 20: 12/16: « 12
Puisque le mal est si doux à sa bouche qu’il l’abrite sous sa langue,
13 le savoure sans le lâcher et le retient encore sous son palais, 14 son
aliment se corrompt dans ses entrailles et y devient un venin d’aspic.
15 La fortune qu’il avait avalée, la voilà vomie: à son ventre, Dieu la fera
rejeter. 16 C’est un venin d’aspic qu’il suçait,
la langue de la vipère le tuera ».
Le mal qui nous arrive est en relation avec notre état intérieur, et la
déclaration de notre propre langue.
Le
péché est comparé à une friandise que l’on garde dans sa bouche aussi
longtemps que possible, mais qui, pénétrant dans le corps, devient un
poison.
Il
existe une réelle relation de cause à effet.
Dans le texte de Job, c’est clairement signifié:
·
« Puisque
le mal est si doux à sa bouche… c’est une venin d’aspic qu’il suçait,
la langue de vipère le tuera ! ».
La liste suivante, bien évidemment non exhaustive, nous fait part de ce qui
a été étudié déjà depuis longtemps et de la correspondance certaine qui
existe entre une maladie, un état, et le fond de tel problème. La maladie et
certaines attitudes sont révélatrices de la cause profonde de nos problèmes…
Ainsi, les accidents à répétition
sont une expression de colère, de frustration et de rébellion.
L’anorexie ou la boulimie
en dit long sur la haine de soi et le rejet de la vie, qui dit : "je ne suis
pas assez bon pour vivre".
L’arthrite
quand à elle indique un fond de critique du soi et des autres, le
perfectionnisme
L’asthme
parle d’un amour maternel possessif, mais aussi de complexe de culpabilité
ou complexe d'infériorité.
Les problèmes de bras
indiquent l’incapacité à étreindre, les anciennes émotions retenues dans les
articulations.
Les brûlures, furoncles, fièvre plaies inflammations, enflures
sont une expression de la colère.
Le cancer
est lié avec de profonds ressentiments, la méfiance, l’apitoiement sur
soi-même, la sensation d'impuissance, l’incapacité à s'en sortir.
Le cœur
est amour et le sang est joie. Les infarctus sont une négation et un rejet
de l'amour et de la joie.
Les problèmes de côlon et la constipation
sont l'incapacité de lâcher prise, le manque de confiance en ses réserves,
thésaurisation, tandis que la diarrhée est la peur de garder.
Les problèmes du cou
montrent des problèmes de flexibilité.
Les doigts
Index = ego; colère et peur.
Le pouce
= l’inquiétude.
Le médius
= la colère, côté droit: homme, côté gauche: femme.
L’annulaire
= unions et chagrin.
L’auriculaire
= famille et faux semblants.
Le dos,
partie supérieure : besoin de soutien et solitude émotionnelle.
Partie médiane: culpabilité.
Partie inférieure: épuisement, inquiétude concernant l'argent.
Les douleurs
peuvent provenir de la culpabilité, cherchant punition (notez ou elle se
manifeste).
Les enflures
sont en relation avec les pensées inactives, les larmes retenues et le
sentiment d'être pris au piège.
L’estomac
quant à lui c’est l’incapacité de supporter des idées et des expériences.
Qui ou quoi pouvez-vous encaisser ?
Les excès de poids
parlent du besoin de protection, de l’insécurité.
Les genoux, en relation avec l’inflexibilité,
l’incapacité à se plier, la fierté, l’ego, l’entêtement, la peur du
changement, l’autosatisfaction.
La gorge
c’est la peur du changement, l’incapacité de parler, la colère, une
créativité frustrée.
La laryngite
= on est trop fâché pour parler,
Les problèmes de thyroïde
sont en relation avec une créativité étouffée.
Les jambes,
c’est la peur ou le peu de désir d'avancer.
Les veines variqueuses
: le fait de rester dans des situations que l'on déteste.
Les mains
le fait que l’on soit trop agrippé à l'argent ou aux relations.
L’arthrite
parle de l’autocritique, de la critique intériorisée, de la critique des
autres.
Les maux de tête
en relation avec l’annulation du soi.
Les migraines:
la colère et le perfectionnisme, la frustration.
Les oreilles
problème avec ce qui est difficile d'accepter ce qui est dit.
Les maux d'oreilles
révélateurs de la colère,
La surdité
peut provenir du refus d'écouter.
Les problèmes de peau
sont en lien avec le sentiment d'être menacé, que d'autres aient un pouvoir
sur vous. Le fait d’être susceptible, écorché vif, et le besoin de
s'auto-éduquer.
Les poumons
en lien avec l’incapacité d'accepter et de donner la vie, négation de la
vie.
L’emphysème,
les excès de cigarettes, la négation de la vie, le sentiment d’infériorité.
Les raideurs
révèlent un mental raide, une inflexibilité, la peur, la résistance au
changement.
Les seins
indiquent un maternage excessif d'une personne / chose / place / expérience.
Les sinus
le fait d’être irrité par une autre personne.
La tête
l'aspect que nous montrons au monde, quelque chose fondamentalement erroné.
Les tumeurs
sont liées aux vieilles blessures torturées, et au refus de guérison.
Quant à eux, les ulcères viennent de la peur de ne pas être assez
bon, et du rejet de sa propre valeur…
Il est question ici de la guérison des Israélites dans le désert, lorsque
Moïse éleva le serpent d’airain. Israël avait expérimenté une merveilleuse
délivrance et remporté une grande victoire sur Arad, roi des Cananéens, que
Dieu avait livrés entre leurs mains.
Nous lisons au verset 5 de Nombres 21 que le peuple «
parla contre Dieu et contre Moïse ».
Moïse avait demandé de traverser le pays d’Edom, leur promettant qu’ils ne
traverseraient pas leurs vignes et ne boiraient pas l’eau de leurs puits.
Mais Edom leur avait répondu :
·
« Tu ne
passeras point chez moi, sinon je sortirai à ta rencontre avec l’épée »
(Nombres 20: 18).
Le peuple fut
donc obligé de contourner le pays d’Edom. Ce fut pour cette raison qu’ils
murmurèrent contre Dieu et
contre Moïse. On pourrait presque entendre murmurer les enfants d’Israël:
·
« Pourquoi
nous as-tu fait sortir d’Egypte pour mourir dans le désert ? ».
On croirait
entendre parler certains chrétiens ! Quand ils ne sont pas en train de
sauter de joie au sommet du toit de leur maison, ils sont plongés dans une
profonde vallée où tout est terriblement sombre et triste. Le peuple
d’Israël venait de remporter une grande victoire, mais il était à présent
conduit sur un chemin difficile, et il commença à se plaindre :
·
« Car
il n’y a point de pain, et il n’y a point d’eau, et notre âme est dégoûtée
de cette misérable nourriture ».
Cette "misérable
nourriture" était la manne ! Eh bien, il s’est passé quelque
chose :
·
«
Alors l’Eternel envoya contre le peuple des
serpents brûlants; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en
Israël » (verset 6).
La version du Dr.
Young traduit ce verset dans le sens permissif:
·
« Alors
l’Eternel permit que des serpents brûlants soient envoyés
contre le peuple ».
Ils ne s’étaient
pas rendu compte que jusqu’à présent Dieu les avait protégés de ces serpents
brûlants. Aussi le Seigneur laissa-t-Il ces serpents venir les attaquer.
Quand avez-vous murmuré la dernière fois, ou quand avez-vous laissé tous les
démons se déchaîner ? Après la confession, Dieu offre un remède
·
« Le
peuple vint à Moïse, et dit: Nous avons péché,
car nous avons parlé contre l’Eternel et contre toi. Prie l’Eternel,
afin qu’il éloigne de nous ces serpents. Moïse pria pour le peuple
» (verset 7).
Une véritable
confession devrait toujours précéder la prière pour la
guérison. Confessez votre péché, puis priez. Heureusement que Moïse
avait un peu grandi dans le Seigneur. Pensez à un homme qui a près de deux
millions de personnes en train de murmurer contre lui. Il y a un moment où
notre âme grandit. Moïse pria pour les enfants d’Israël, et Dieu lui indiqua
un remède :
·
«
L’Eternel dit à Moïse: Fais-toi un serpent brûlant, et place-le sur une
perche ; quiconque aura été mordu, et
le regardera, conservera la vie »
(verset 8).
Dieu était en
train de leur rappeler leur alliance originelle. Combien d’entre vous savent
quelle était la première alliance faite par Dieu avec l’homme ? Dieu avait
dit au serpent :
·
« Je
mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité:
celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon » (Genèse 3:
15).
Dans cette
première alliance, Dieu avait promis que Quelqu’un viendrait écraser la tête
du serpent. Il avait conclu cette alliance avec toute l’espèce humaine.
C’est l’une de nos alliances universelles. Nous avons le droit d’y faire
référence et de nous attendre à l’accomplissement de la promesse.
Le Serpent a
été privé de son crochet venimeux
Jésus a privé le
serpent de son crochet venimeux. Dieu avait promis que le Christ écraserait
la tête du Serpent. Mais, ce faisant, Il aurait le talon blessé par le
Serpent. C’est-à-dire qu’en écrasant la tête du Serpent, Jésus allait être
blessé dans Son effort. La blessure du talon s’est produite lorsque
Jésus-Christ est mort à la croix.
·
1Corinthiens 15: 54: « Lorsque
ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce corps mortel
aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite: La
mort a été engloutie dans la victoire. 55 O mort,
où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ? 56 L’aiguillon de la
mort, c’est le péché; et la puissance du péché, c’est la loi. 57
Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous
donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! ».
Mais, en même
temps que son talon a été blessé, Il a écrasé le serpent pour toujours.
Le
serpent doit être entièrement éliminé du monde, avec tout ce qu’il
représente.
MALEDICTION DE LA MALEDICTION !
La délivrance de toute malédiction !
·
Une
malédiction est un état de malheur inéluctable qui semble imposé par
une divinité, le sort ou le destin.
·
La
malédiction est aussi un rituel appelant les puissances divines à
exercer leur action punitive contre un individu ou un groupe d'individus,
objet de cette malédiction.
·
Une
malédiction est aussi, un malheur qui agit sur une réputation, qui
fait que les autres vont se méfier de cette personne, comme un envoûtement "
négatif ".
Des malédictions célèbres…
Vous avez
probablement entendu parler de malédictions célèbres, telles, la
malédiction du pharaon,
la malédiction des
Templiers,
la
malédiction de Tecumseh
en
1811
qui porte sur tous les
présidents américains
élus lors d'une année se terminant par un zéro, la malédiction des
Kennedy… ?!
MAUDIRE
C’EST MAL DIRE,
avec la connotation d’envoyer un sort.
La diction est mauvaise. Les paroles et les mots ont un pouvoir. Bénir,
c’est « bien dire ». Le centurion romain l’avait bien compris:
·
« dis
un mot et mon serviteur
sera guéri ».
·
Matthieu
12: 34/37: « 34
Engeance de vipères, comment pourriez-vous
dire
de bonnes choses, alors que vous êtes mauvais ? Car
ce que dit la bouche,
c’est ce qui déborde du cœur.
35
L’homme bon, de son bon trésor, retire de bonnes choses; l’homme mauvais, de
son mauvais trésor, retire de mauvaises choses. 36 Or Je vous le dis :
les hommes rendront compte au jour du jugement de
toute parole sans portée qu’ils auront proférée.
37
Car c’est d’après tes paroles que tu seras justifié, et c’est
d’après tes paroles que tu seras condamné ».
Une langue de
vipère profère des paroles venimeuses… contre vous-même ! Le péché parle
mal de vous, il vous maudit ! Le péché du monde a maudit Jésus Lui-même,
qui a été mis au rang des maudits et des criminels, Il a été cloué à la
croix, S’étant Lui-même chargé de notre malédiction et de nos crimes.
·
«
Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction
pour nous, car il est écrit: Maudit est
quiconque est pendu au bois » (Galates 3: 13).
Pourquoi Moïse
a-t-il mis un serpent sur la perche, et non pas un agneau ? C’est à cause de
la victoire de Jésus sur la mort ! Il n’est plus sur la croix, Il est
ressuscité ! Seules les puissances de l’Enfer sont maintenues sur le bois de
la Croix ! Tout ce qui envenime votre vie et empoisonne l’existence, tout
cela est sur la croix ! Maintenant, pouvez vous
REGARDER
votre
maladie, votre dépression, votre douleur, votre cancer
cloué sur la croix ! Considérez-les attentivement ! Ils ne sont plus dans
votre vie, dans votre corps, dans vos circonstances, ils sont sur la Croix,
lieu de leur défaite ! Ainsi, Jésus-Christ qui est la Parole de Dieu, a
aussi parlé, comme si Il disait: « maudite soit la malédiction !».
C’est la « malédiction »
de la « malédiction ».
Lorsque Paul
expose le sujet, il éclate d’une grande joie :
·
« Ô
mort, où est ta victoire ? Ô mort, où est ton aiguillon ? »
(1Corinthiens 15: 55).
L’aiguillon de la
mort, c’est le péché, mais Christ est venu, le péché a été aboli, et le
crochet venimeux du serpent a été détruit. Parmi tous les merveilleux
symboles de la Parole de Dieu, je pense qu’aucun ne souligne d’une manière
aussi éclatante la victoire de Jésus-Christ que ce symbole du serpent, qui
avait mordu et maudit Israël, et que Dieu a fait dresser devant le peuple,
en disant :
·
«
Regardez-le maintenant, et vous vivrez ! ».
Pourquoi ? À
cause de la puissance de la promesse, à cause de l’alliance, à cause de la
blessure de Jésus, et parce qu’Il est devenu malédiction pour nous. Que Dieu
soit béni d’éternité en éternité !
Vous devez
IDENTIFIER votre mal et le
REGARDER comme cloué à la croix !
Le mal qui vous a
atteint est maintenant exposé ! Voyez-vous votre mal sur la Croix ? Jésus a
porté tout cela sur la croix :
·
Voyez-vous votre grosseur ?
·
Voyez-vous le Diabète ?
·
Voyez-vous le cancer ?
·
Voyez-vous la Dépression ?
·
Voyez-vous
votre douleur …
SI TU LE VOIS,
CELA T’ARRIVERA !
·
« Élie
dit à Elisée: Tu demandes une chose difficile. Mais
si tu me vois
pendant que je serai enlevé d’auprès de toi,
cela t’arrivera
ainsi; sinon, cela n’arrivera pas »
(2Rois 2:
10).
Avant d’opérer,
un chirurgien célèbre avait l’habitude de dire à ses patients:
·
« Regardez votre blessure à loisir, puis fixez vos yeux sur moi et ne les
retirez plus jusqu’à ce que l’opération soit finie ! ».
Selon le même
principe, nous savons que nos yeux ont le pouvoir d’attirer à eux ce qu’ils
regardent. Comprenez le pouvoir qu’ont les yeux d’attirer à eux ce qu’ils
regardent. On peut aussitôt comprendre qu’il y a une action derrière les
yeux. Il y a quelque chose dans notre nature qui attire et prend possession
de ce que notre âme admire et désire.
Nous attirons à nous-mêmes ce que nous contemplons
·
« Nous
tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du
Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire,
comme par le Seigneur, l’Esprit » (2Corinthiens 3: 18).
Que Dieu soit
béni !
·
Êtes-vous pécheur ?
·
Regardez à Jésus et soyez sauvé !
·
Êtes-vous malade ?
·
Regardez à Jésus et soyez guéri !
Nous regardons la
Victoire de Jésus et la Défaite du Serpent. Le serpent était leur ennemi
particulier. Il était devenu le symbole des ennemis de l’espèce humaine dès
le commencement. L’Ecriture emploie cette phrase pour le décrire: « Le
serpent ancien, le diable, et Satan ». Le serpent représente tout ce
qui est maudit par Dieu. Mais le caractère absolu de sa défaite, le
triomphe merveilleux de la Rédemption, sont établis et décrits dans le fait
que lui, le symbole des ténèbres, a été dressé et fixé sur une perche. Dieu
a dit:
·
« Venez
et regardez-le ! Ne soyez pas effrayés par lui ! La puissance de la promesse
l’a vaincu ! ».
Complète défaite du « mal multiforme »
Le Nouveau
Testament nous révèle le caractère absolu de la défaite du serpent. La
Parole dit :
·
«
Résistez au diable, et il fuira loin de vous ».
TOUT LE MONDE ET N’IMPORTE QUI !
Le mot « quiconque » signifie « tout le monde et n’importe qui ! ».
C’est ce que Jésus est devenu pour nous sur le bois maudit de la croix ! Il
a consenti à être maudit pour tout le monde et pour n’importe qui. C’est
le même Christ pour les intellectuels que pour les enfants, pour les pauvres
que pour les riches, pour paysans comme pour les présidents, pour les
prostituées comme des saints: "Quiconque !"… quiconque regarde vivra.
LES TROIS
QUICONQUES SUPPOSENT DES CANDIDATS
D’abord un premier « QUICONQUE »
désigne le
CANDIDAT AU SALUT !
·
« Dieu a tant aimé le monde qu’Il a
donné son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ait la vie
éternelle »…
La réponse à cet appel, c’est une décision
personnelle ! Cet appel concerne toute créature ici bas sur terre: « allez
et évangélisez toute la création… ». C’est un appel destiné à tous, en aussi
grand nombre que le Seigneur Dieu les appellera. Allez vous prendre votre
décision, c’est vital ?!
Puis un second « QUICONQUE »
nous indique le
CANDIDAT A LA GUERISON !
Chacun est responsable des propos tenus contre et
des murmures… et de ses conséquences:
·
« Quand chacun prendra conscience de son fléau et de sa souffrance… » (cf.
2Chroniques 6: 19).
MAIS…
·
« Quiconque
aura été mordu et le contemplera, conservera la vie ».
Enfin un dernier « QUICONQUE »
nous dirige vers le
CANDIDAT A LA BENEDICTION !
·
« Maudit est quiconque est pendu au
bois » (Deutéronome 21: 23).
Il est question de Celui qui a été percé pour nos
iniquités sur le bois de la croix. Il est descendu de cette croix, puis Il
est ressuscité. Depuis les puissances infernales et sataniques sont clouées
elles mêmes sur la croix, lieu de leur défaite totale et absolue.