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CREUSEZ DES FOSSES ! (2�me partie) 2Rois 3 : 15/20 R�sum� d�un culte avec pasteur G�rard Sadot, suite et fin VOUS DEVEZ CAPTER LES BENEDICTIONS En creusant des fosses, les isra�lites ont � capt� � l�eau venant des montagnes� Au cas ou vous ne le sauriez pas, la b�n�diction est arriv�e depuis 2000 ans� l�eau a coul� dans tout le territoire de Jud�e, dans la Galil�e, la Samarie, Etc. Beaucoup qui ont pris leurs dispositions ont re�u cette � eau surnaturelle � qui les a rafra�chis, on peut dire qu�ils et elles ont � creus� des fosses dans leur d�sert �, pour retenir, collecter, recueillir les b�n�dictions en leur faveur. Quelques exemples dans les r�cits historiques appel� � �vangiles �. Zach�e homme handicap� par sa petite taille va recevoir le Christ chez lui, ilen sera totalement boulevers� et changera radicalement de vie, � une femme ayant une perte de sang sera gu�rie apr�s 12 ann�es de gal�re, elle a brav� la loi de Mo�se qui la confinait chez elle a cause de son impuret� � un l�preux d�sesp�r� pestif�r� sera purifi�, est sorti aussi de sa r�serve et s�est approch� de J�sus, � des aveugles re�oivent le recouvrement de la vue, ils ont clairement r�pondu � oui Seigneur � nous croyons que Tu peux le faire imm�diatement ! � un centurion romain obtient la gu�rison de son serviteur agonisant, en envoyant ses serviteurs aupr�s du proph�te de Nazareth� � un officier royal est exauc� pour son fils, a fait une d�marche aupr�s de J�sus et est rentr� chez lui s�appuyant sur une parole � va ton fils vit � ! � une m�re re�oit la d�livrance de son enfant cruellement tourment�e, � des poss�d�s brisant leurs chaines et ne pouvant que crier retrouvent leur bon sens� � un paralys� depuis de nombreuses ann�es est remis sur pieds ! (�) Bref, des estropi�s en tous genres, des sourds, des boiteux, des canc�reux, des cyanos�s, tous ont fait une d�marche vers J�sus et avant de recevoir quelque miracle que ce soit, ils � creusaient des fosses �, ils ont pris chacun des dispositions de foi pour recevoir leur miracle ! Et ils les ont re�us ! L�eau a rempli leurs fosses ! Tous ces gens-l� ont � creus� des fosses �, pour faire venir l�eau jusqu�� eux et en b�n�ficier ! Ils ont re�u ce pour quoi ils creusaient ! C�est-�-dire qu�ils ont pr�par� le terrain, en profondeur, pas des gens superficiels, mais qui ont � creus� �. Ceux qui s�attendent aux b�n�dictions divines, feraient bien de � creuser des fosses �, pour collecter cette eau si pr�cieuse. Ceux qui recherchent la � ros�e � de la Gr�ce divine finiront toujours par la poss�der, et par elle, ils seront plus que vainqueurs ! Alors qu�ils vont creuser ces fosses, Elis�e annonce une victoire totale, le salut des Isra�lites, mais aussi la d�faite de l�Ennemi. � �Mais cela est trop peu de chose (�trop peu� � BRF) aux yeux de l��ternel�, dit �lis�e. �Trop peu de chose� ? Imaginons la sc�ne : � la terre s�che et craquel�e, � un soleil de plomb, � les plantes assoiff�es, � une poussi�re �paisse, � une arm�e d�sabus�e, � aucune eau dans un p�rim�tre tr�s large, � aucun signe de vent ou de pluie. Pourtant, selon �lis�e, c��tait peu de chose que de remplir d�eau la vall�e, peu de chose �aux yeux de l��ternel�. Effectivement, la Vision de Dieu est toujours plus grande que vous ne pouvez l�imaginer, � Ses Yeux, ce qui va arriver n�est rien en comparaison du reste ! Ce miracle ne sera que �peu de chose� pour le Seigneur. �lis�e ajouta : � �Il livrera Moab entre vos mains� (v. 18b). Sur le moment, l�arm�e pensait plus � la survie qu�� la victoire; mais l��ternel promit les deux. Le miracle qui leur sauverait la vie causerait en m�me temps la chute de Moab. Moab livr�e, voici ce que les Isra�lites devaient faire : � �Vous frapperez toutes les villes fortes et toutes les villes d�importance, vous abattrez tous les bons arbres, vous boucherez toutes les sources d�eau et vous causerez du dommage avec des pierres � tous les meilleurs terrains (autre trad. : � et vous ruinerez avec des pierres tous les meilleurs champ �)� (v. 19).
� � La ruine, du dommage avec des pierres �. Le but de cette action est de ne rien laisser � l�Ennemi. Le territoire de l�Ennemi sera d�vast�. Dieu pensait que Moab m�ritait un ch�timent (cf. Esa�e 15 et 16). On rend la vie impossible � Satan et ses puissances, on ruine l�Ennemi, on lui � cause du dommage avec des pierres �. Par ailleurs, l�ordre d�Elis�e va dans le sens annonc� : Dieu sauve Isra�l pour aider Juda et non pour aider Isra�l. Le proph�te annonce la gr�ce � celui qui est tourn� vers l�Eternel (Juda), mais il rejette celui qui est indiff�rent ou qui essaie simplement d�utiliser le Seigneur (Isra�l). UNE COINCIDENCE PROVIDENTIELLE L�arriv�e de cette eau au matin, au moment de l�offrande (v. 20) Donc, les rois firent creuser les tranch�es par les soldats. Josaphat le fit sans doute avec confiance en �lis�e, alors que Joram le fit peut-�tre par d�sespoir. � �le matin, au moment de la pr�sentation de l�offrande, voici que l�eau arriva du c�t� d��dom, et le pays fut rempli d�eau� (v. 20). Une forte pluie est tomb�e dans les montagnes d��dom, au loin, et l�eau coule au nord, vers la vall�e large et plate o� campaient les soldats. Cette vall�e penche vers la Mer Morte, ce qui explique la raison des tranch�es : collecter l�eau avant qu�elle ne coule vers la mer. La lumi�re du jour baisse, et au soir le soleil � rouge sang � se couche dans un ciel sans nuages, ses derniers rayons tombant sur un d�sert large et sans eau. Les �toiles scintillantes, le ciel tranquille s��tend au-dessus du vaste campement dont les banni�res ne sont agit�es par aucune brise ; l�arm�e, assoiff�e, s�allonge sous ses tentes pour dormir. Mais alors que tout est calme autour des soldats, au loin dans les montagnes les nuages d�versent des torrents de pluie. Les ruisselets d�valent les pentes, remplissent les rigoles s�ches ; et au matin les rivi�res, de plus en plus gonfl�es, traversent irr�sistiblement la vall�e. R�veill�s par la trompette, les soldats se trouvent devant une �tendue d�eau visible jusqu�� l�horizon, qu�ils accueillent d�un cri enthousiaste, avant de se pr�cipiter pour apaiser leur terrible soif. CE FUT UN SOULAGEMENT GENERAL ! Il s�agit de la premi�re offrande de la journ�e dans le Temple de J�rusalem qui avait lieu au lever du soleil. Le Saint Esprit lie ce que le Seigneur faisait dans le d�sert d��dom � ce qui se passait au m�me moment � J�rusalem. Les pri�res des enfants de Dieu dans un pays peuvent avoir un effet dans une nation � quelques centaines, voire � quelques milliers de kilom�tres de distance ! � Dans la vall�e de San Fernando, il y a des puits municipaux creus�s de 35 � 165 m�tres de profondeur. Un mesure le mouvement de l�eau. D�s qu'une secousse sismique se produit de l�autre c�t� du globe, elle est aussit�t enregistr�e en Californie. Les savants ont affirm� que la moindre �pingle qu'on laisse tomber � terre produit une infinie vibration qui est per�ue dans tous les coins du globe. En 1934, l�amiral Byrd est arriv� au P�le Sud et de la, il a envoy� un signal radiophonique qui a fait mouvoir le marteau de la cloche de la Libert� dans le hall de l�ind�pendance � Philadelphie ! Les pri�res portent du fruit et l�on observe alors des � co�ncidences providentielles � qui curieusement, s�arr�tent d�s que l�on cesse de prier� N�oublions jamais que s�il y a quelques b�n�dictions que ce soit, c�est � cause et gr�ce � l�offrande de J�sus qui a donn� sa propre vie, son corps son sang pour notre Salut. Par ailleurs, quand vous donnez votre offrande (qui n�est ni la d�me, ni les aum�nes), attendez-vous � ce que quelque chose se passe dans votre vie ! Soyez en s�r, votre � b�n�diction � arrive ! La promesse de l�eau pour l�arm�e ayant �t� accomplie, il ne restait que la soumission de Moab qui s��tait r�volt� J�sus a chass� les d�mons, ceux-ci r�sistaient, se r�voltaient, rusaient, etc., mais J�sus a us� de l�autorit� spirituelle� et ils ont d� se soumettre : � � Les d�mons m�mes nous sont soumis en Ton Nom � (Luc 10). Et maintenant, il faut soumettre l�Ennemi de nos �mes� m�ter cette � r�volte �� Sachez qu�il y a, et qu'il y aura mobilisation g�n�rale dans les �tats-majors de l�Ennemi. � �Les Moabites ayant appris que les rois montaient pour les combattre, on mobilisa tous ceux en �ge de porter les armes et m�me au-dessus, et ils se tinrent sur la fronti�re� (v. 21). DES EAUX ROUGES COMME DU SANG A la vue de l�arm�e venue les attaquer, ils devinrent tr�s nerveux. Nous �nervons Satan et ses hordes de d�mons lorsque nous louons, prions, interc�dons, �vang�lisons, enseignons les �mes qui �chappent � son Royaume ! Nous sommes un casse-t�te pour le Diable ! Le matin o� les tranch�es s��taient remplies d�eau, les soldats moabites se lev�rent de bonne heure et regard�rent la vall�e o� campait la coalition des 3 rois. Ils virent l�eau, mais ne comprirent pas que c��tait de l�eau : � �quand le soleil brilla sur les eaux, les Moabites virent en face d�eux les eaux rouges comme du sang� (v. 22). Voici qu�ils restent sur leurs fronti�res qu�ils ne semblent plus pouvoir franchir. Ils sont tenus � distance� pr�ts � se d�fendre becs et ongles ! Vous le savez sans doute, le Sang de J�sus �tabli une fronti�re infranchissable entre nous et l�Ennemi et s�il vient nous attaquer, il est en dehors de l�espace qui lui est assign�, par cons�quent il sera d�autant plus terriblement puni ! DEDUCTIONS TROMPEUSES & FAUSSES CONCLUSIONS Sous l�effet de la boue, et de la r�flexion des falaises rouges autour de la vall�e, plus les reflets du soleil du matin. Les Moabites n�avaient aucune raison de croire qu�il s�agissait d�eau, car ils savaient que la rivi�re �tait s�che, et qu�il n�y avait pas eu de pluie la veille (v. 17). Cette eau pure que la puissance du Seigneur a fait venir rafra�chit le camp d�Isra�l ; et, pour accroitre le prodige, cette eau, en s�approchant du territoire moabite, devint rouge comme du sang. Par contre, ils avaient toute raison de croire qu�il s�agissait de sang, car l�alliance des trois rois �tait instable, ils �taient hostiles les uns aux autres. � ce spectacle, les ennemis sont persuad�s que les trois rois se sont entretu�s : Dieu peut induire Satan et ses d�mons en erreur ! � � A malin, malin et demi, a bon chat, bon rat ! � Les soldats Moabites se sont dit: � � C�EST DU SANG ! Les rois ont tir� l��p�e entre eux, ils se sont frapp�s les uns les autres� (v. 23a). Ils abandonn�rent leurs lances et leurs boucliers, ils coururent sans r�fl�chir vers le campement isra�lite. Ces soldats ne pensaient plus � la guerre, mais au butin. Ils ne guettaient pas le danger, mais les richesses, l�envie de combattre a disparue, obnubil�s par leur d�sir de piller. � Piller � votre vie, c�est tout ce que l�Ennemi sait faire, ce � quoi il pense � votre propos, ne pensez pas qu�il est � gentil �, non, il est tr�s rus� et mauvais, tr�s mauvais !!! Les Moabites, saisis d�une fausse joie (toutes les � joies � ne sont pas �La Joie du Ciel ou du Salut�, mais souvent �ph�m�res, elles s�av�rent des fausses joies !), cri�rent les uns aux autres: � �Maintenant, Moabites, au butin !� (v. 23b). � Ces eaux comme du sang � leur fait penser in�vitablement � une grande d�faite dans le camp d�Isra�l. Mais en r�alit�, cette � eau comme du sang �, vient leur signifier leur m�prise, ils se trompaient totalement ! De m�me apr�s la mort de J�sus sur la croix l�Ennemi pensait avoir la Victoire d�finitive� Mais en r�alit�, le message de l�Evangile, qui est cette � eau comme du sang � et qui arrive dans le camp de l�Ennemi de nos �mes signifie : � notre Victoire potentielle � et � Sa d�faite � imminente, et d�finitive� Mais l�Ennemi ne le sait pas � ce moment-l� ! Pendant ce temps, les Isra�lites, abreuv�s et cach�s, attendaient en embuscade. OUBLIERIONS NOUS QUE NOTRE VIE EST CACHEE EN CHRIST ET QUE DE LA, ON PEUT VOIR L�ENNEMI DE LOIN ? Alors, les Moabites s��lancent au pillage mais, ils vont subir une terrible d�faite. � l�arriv�e des soldats ennemis ne se doutant de rien : � �Isra�l se leva et frappa Moab qui s�enfuit devant eux. Ils frapp�rent le pays, ils frapp�rent Moab� (v. 24). Ces � eaux rouges comme du sang � sont le signal qu�il nous incombe de � frapper tout Ennemi �, qui, peut-�tre est la maladie, peut-�tre une passion tenace, peut-�tre des mal�dictions, peut-�tre des souffrances cach�es, le rejet, la timidit�, la d�prime, l�apathie, le manque de volont�, d��nergie� � � Isra�l se leva � et frappa �. Vous avez le droit de vous � lever � et de � frapper � tout Ennemi qui se r�volte contre vous ! Les Isra�lites suivirent les instructions donn�es par �lis�e et ne laiss�rent derri�re eux rien qui soit utilisable par les Moabites (v. 25a). Enfin, vous ne donnerez pas d�espoir au Malin, car vous allez agir de fa�on radicale avec toute forme de p�ch�, et votre d�termination, � l�instar des isra�lites d�alors, sera comme � un champ ruin� par des pierres �. �IL� FAIT SACRIFIER LE FILS D�UN ROI Coup de th��tre et derni�re surprise : les Isra�lites l�vent le camp devant le sacrifice d�un enfant ! Pourquoi partir alors que l�ennemi est � genoux ? Dans un dernier effort, le roi de Moab veut punir le roi d�Edom de s��tre alli� avec Isra�l et Juda, il cherche � tuer le plus faible des trois rois pour redonner courage � ses troupes. Il n�atteint pas son but, et devant l��chec, il finit par sacrifier son propre fils qui devait r�gner apr�s lui. Apprenant cela, la coalition a tout arr�t� d�un seul coup et s�est retir�e� Il y a quelque chose d��trange et se surprenant dans ce texte� L�Ennemi connait la valeur du Sacrifice et il fait faire cet acte abominable au roi des Moabites pour obtenir les effets d�un sacrifice. Bien plus tard dans l�Histoire, Satan et ses d�mons devront subir les effets d�un autre sacrifice, l�ultime sacrifice pour le Salut de l�Humanit� enti�re, celui d�un fils, sur une croix, J�sus-Christ Fils unique du Dieu vivant. Ce qui est arriv� l� est une parodie pr�monitoire du Sacrifice du Fils de Dieu, lequel obligera l�Ennemi de l�cher prise, et � battre en retraite et � s��loigner� Il y a l�, une annonce de � quelqu�un qui sacrifiera son propre fils � qui contraindra l��tau de l�Ennemi � se desserrer ! A la surprise g�n�rale, alors que tout le reste avait �chou�, on apprend soudain que ce dernier acte abominable met fin au si�ge. La lev�e du si�ge isra�lite suite au sacrifice du fils du roi de Moab laisse perplexe � Pourquoi ? Litt�ralement : � � Il y eut un grand �qasap' sur Isra�l �. �Qasap� signifie col�re, fureur, indignation, irritation, trouble, ou m�me �cume pour de l�eau agit�e. C�est le trouble d�Isra�l qui craint subitement la col�re de � Kemosh �, (Kemosch = "subjugueur, qui asservit"), dieu national des Moabites � Ils ont eu peur que cette divinit� prenne des mesures de r�torsions contre eux, par vengeance� Les Juifs, qui se souciaient peu de la col�re de l�Eternel, craignirent la col�re du dieu pa�en, et cela malgr� leurs succ�s militaires et malgr� l�intervention surnaturelle de l�Eternel qui vient de d�montrer sa puissance, malgr� sa volont� de sauver Isra�l et de battre l�ennemi. DELIVRE DES SUPERSTITIONS RIEN NE PEUT ENTRAVER LES VICTOIRES DU PEUPLE DE DIEU La superstition est une folie. Elle voile l�intelligence et �touffe le bon sens. Contre toute logique, Isra�l se retire� Combien de fois le peuple de Dieu est revenu en arri�re, par une peur superstitieuse du Diable ? Il est vrai qu�aujourd�hui on trouve encore ici et l� des chr�tiens qui donnent trop d�importance aux superstitions et aux fables, et � l�Ennemi de nos �mes� Des superstitions subsistent encore parmi le peuple de Dieu� Je pourrais en citer beaucoup� combien voient le diable et les d�mons partout, partout, partout : � � Ils me surveillent, les d�mons sont ici, et l�, dans les placards, ils attaquent la nuit, il faut prier sur les poubelles, car ils aiment ces endroits� ! �. De plus, ces chr�tiens mal affermis pr�tent attention aux menaces de l�Enfer� combien d�enfants de Dieu donnent plus d�importance � l��uvre de Satan qu�� l��uvre de Dieu en J�sus-Christ ! Combien d�id�es re�ues, de pr�jug�s de toutes sortes, et autres chim�res bloquent la prise de nombreuses victoires du peuple de Dieu ? De cette mani�re ils donnent gloire � l�Enfer plut�t que Gloire � Dieu ! Mais d�livr�s des superstitions, des fausses croyances, rien ne peut arr�ter les victoires des enfants de Dieu ! Je vous le certifie, au Nom de J�sus-Christ ! Amen ! |
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