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Les dons spirituels (suite)

9 - Les neuf dons

2 - Les vrais adorateurs 3 - Nés de nouveau 4 - Plénitude de l'Esprit 5 - Plénitude pratique 6  -Dons de Dieu 7 - Promesses 8 - Actualite 10 - Leur contenu 11  - Foi & guérison 12 - Dons de révélation 13 - Dons des langues 14 - Réponses objections

Nous reconnaissons qu�il n�est pas habituel de subdiviser les neufs dons spirituels en quatre groupes. G�n�ralement ils sont regroup�s en trois. Le d�coupage que l�on choisit n�a pas d�importance th�ologique. Il n�a aucune cons�quence sur le contenu. Le choix de cette subdivision en quatre groupes nous permet, c�est notre but, d�isoler ce qui concerne les langues. Nous le faisons volontairement puisque ce don reste pour beaucoup une pierre d�achoppement. 

Notre analyse regroupe donc les dons :

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 de parole,

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 de puissance,

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 de r�v�lation,

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 de langues.

Nous voulons pr�ter une oreille attentive aux recommandations qui r�gissent l�utilisation des dons. Nous ne reviendrons pas au � pourquoi ï¿½, qui faisait l�objet du chapitre pr�c�dant, mais au � comment ï¿½. 

La premi�re recommandation rejoint l�exhortation de Paul � mettre d�abord l�amour dans nos relations, et dans toutes nos pr�occupations. 

� Conduisez-vous avec sagesse envers ceux du dehors, et rachetez le temps. Que votre parole soit toujours accompagn�e de gr�ce... ï¿½ (Col. 4 : 5-6). 

Les dons spirituels ne sont pas des canons pour tirer des jugements, ni pour condamner ou pour blesser. L�exhortation doit se faire dans l�amour du prochain. L�humilit� est de rigueur sachant combien le Seigneur a bien voulu nous pardonner nous-m�mes. 

Dans l�humilit� surtout pour ne pas introduire notre � moi-je ï¿½ dans ce qui vient de l�Esprit de Dieu. 

D�o� l�importance de la deuxi�me recommandation :  

� Ainsi que tout homme soit prompt � �couter, lent � parler, lent � se mettre en col�re ï¿½ (Jac. 1 : 19).

L��coute est probablement le point faible de beaucoup. Nous sommes toujours impatients et press�s. D�autre part notre vanit� nous porte � croire que nous connaissons, qu�il n�est pas n�cessaire de passer trop de notre pr�cieux temps pour entendre et comprendre la volont� de Dieu. En effet, pourquoi attendre si nous savons ! 

Nous croyons �tre efficaces, mais nous partons sur des voies qui ne sont pas toujours celles voulues par Dieu, et nous nous �tonnons de certains �checs. Et nous disons � je ne comprends plus rien, Dieu m�a montr�... ï¿½. Non, nous avons attribu� � Dieu quelques unes de nos propres pens�es, et nous avons voulu les consid�rer comme venant de Lui, parce que cela nous arrangeait. 

Ces �checs ne sont peut-�tre pas trop destructeurs, dans la mesure o� ils ne concernent que nous, bien que certains aient eu � subir des revers lourds � porter. Mais quels drames ils peuvent engendrer, quand nous entra�nons les autres sur ces mauvaises pistes, tout en pr�tendant �tre dans la volont� de Dieu.  

Il y aurait d�autres recommandations que nous pourrions �voquer, mais nous voulons citer encore celle-ci de l�ap�tre Jacques : 

� Mes fr�res, qu�il n�y ait pas parmi vous un grand nombre de personnes qui se mettent � enseigner, car vous savez que nous serons jug�s plus s�v�rement. ï¿½ (Jac. 3 : 1). 

Il ne faudrait pas que ceux qui ont re�u quelque chose � partager de la part du Seigneur se taisent sur la base de cette affirmation. Par contre, nous voulons voir dans ce texte l�invitation formul�e par Jacques � nous examiner nous-m�me. Cela doit �tre fait avec s�rieux, afin de ne pas � forcer la main ï¿½ de l�Esprit, mais � nous en remettre fid�lement � Lui. C�est un appel � notre sens de responsabilit�. Nous sommes, et nous serons consid�r�s en effet, comme �tant responsables devant le Seigneur, de tout ce que nous aurons enseign� comme venant de Dieu.  

Nous serons responsables, et nous devrons rendre compte de ce que nous n�avons pas voulu transmettre, par manque de courage peut-�tre, devant la difficult� ou les r�ticences. Mais nous serons tenu comme responsables, et nous aurons � rendre compte �galement pour toutes les paroles que nous aurons pr�tendu venir de son Saint-Esprit, alors qu�il ne s�agirait que du fruit de nos propres pens�es ou raisonnements.

 

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