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Les dons spirituels (suite)

4 - La pl�nitude du Saint-Esprit

2 - Les vrais adorateurs 3 - Nés de nouveau 5 - Plénitude pratique 6  -Dons de Dieu 7 - Promesses 8 - Actualite 9 - Neuf dons 10 - Leur contenu 11  - Foi & guérison 12 - Dons de révélation 13 - Dons des langues 14 - Réponses objections

L��p�tre de Paul � Tite nous affirme que c�est Dieu, notre Sauveur, qui nous accorde avec abondance son Esprit : � Il nous a sauv� par le bain de la r�g�n�ration et le renouvellement du Saint-Esprit ï¿½ (Tite 1 : 5). 

Nous avons d�j� cit� ce texte de 1 Cor. 12 : 13 � ... nous avons tous �t� abreuv�s... ï¿½.

Nous sommes quelquefois confront�s � ce qui pourrait para�tre, du moins � premi�re vue, une ambigu�t�. Y a-t-il un bapt�me d�eau et un bapt�me de l�Esprit ? Plusieurs textes mentionnent ces types de bapt�me. 

Il est bon de rappeler quelques notions, qui nous permettrons de nous y retrouver. 

Nous distinguerons trois �tapes dans le temps : 

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Le premier � pratiquer le bapt�me, c�est Jean-Baptiste. � Jean parut, baptisant dans le d�sert, et pr�chant le bapt�me de repentance, pour le pardon des p�ch�s. ï¿½ (Marc 1 : 4).

Les textes nous disent aussi que l��uvre de Jean-Baptiste pr�parait celle de J�sus. Le livre des Actes nous rapporte les paroles de Paul � ce sujet � Jean a baptis� du bapt�me de repentance, disant au peuple de croire en celui qui venait apr�s lui, c�est � dire en J�sus. ï¿½ (Actes 19 : 4).

Ce bapt�me l� n��tait donc que provisoire. 

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J�sus commence son minist�re en se faisant baptiser. Lui-m�me baptise ceux qui croient en Lui. Le bapt�me n�est plus le m�me, il s�agit toujours d�immersion dans l�eau, pour la forme visible, mais J�sus donne cet enseignement : � en v�rit�, en v�rit�, je te le dis, si un homme ne na�t d�eau et d�Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. ï¿½ (Jean 3 : 5).

Lui-m�me a �t� baptis� d�eau et de feu. Le bapt�me de Jean-Baptiste n�a plus sa raison d��tre, puisque J�sus est pr�sent. J�sus ajoute la notion du bapt�me de l�Esprit � celui d�eau. En fait la notion essentielle qu�apporte J�sus c�est la naissance dans l�Esprit. Paul parlera plus tard de renouvellement par l�Esprit. 

Apr�s Jean-Baptiste, apr�s le bapt�me de J�sus, commence la nouvelle alliance de Dieu avec les hommes. Le bapt�me deviendra le symbole du � contrat ï¿½ entre Dieu et les chr�tiens. 

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Le dernier ordre de J�sus aux disciples est celui-ci : � Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du P�re, du Fils et du Saint-Esprit... ï¿½  (Mat. 28 : 19).

Nous ne trouvons pas trace dans cet ordre de bapt�mes multiples, mais d�un seul bapt�me, d�eau en l�occurrence, mais au nom de la Trinit�. 

Le bapt�me du Saint-Esprit est inclus dans le bapt�me d�eau, du moins il le devrait. Paul, le th�ologien confirme : � Il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul bapt�me, un seul Dieu et P�re de tous. ï¿½ (Eph. 4 : 4-6). 

Par contre, il serait faux de croire que le saint-Esprit est donn� aux chr�tiens au moment du bapt�me. Parce que ce n�est pas de cela qu�il s�agit. En effet il nous est aussi dit que c�est le Saint-Esprit qui convainc de p�ch�. S�il convainc la conscience d�un p�cheur pour l�amener  la repentance, c�est �videmment avant m�me la d�cision du bapt�me, lors de la � conversion ï¿½. C�est � ce moment l� que le Saint-Esprit nous est donn�, transformant notre corps en � temple du Saint-Esprit ï¿½ selon 1 Corinthiens 6 : 19.  

Donc le Saint-Esprit est d�j� dans l�homme, avant son bapt�me. S�il y est, il n�est pas n�cessaire de le faire entrer encore. 

Il faut donc admettre qu�il s�agit d�autre chose, en l�occurrence de la pl�nitude de l�Esprit. Nous allons voir au travers des erreurs ou des lacunes de l'Eglise primitive, toute l�importance de ce qui est loin d��tre une simple nuance. 

Il y a deux cas significatifs de bapt�mes ayant pos� des probl�mes aux ap�tres. 

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Le premier cas que nous examinons est celui de l��glise d�Eph�se. Il nous est rapport� dans le  livre des Actes au chapitre 19 : 1-7. Il s�agit de chr�tiens, qui n�ont connu que le bapt�me de Jean-Baptiste, celui de repentance. Ils n�ont pas �t� baptis�s au nom de la trinit�, selon l�ordre de J�sus. 

Il faut se rappeler qu�on est tout au d�but de l'Eglise. L��uvre de Jean-Baptiste �tait encore toute proche, il y a eu une incompr�hension quelque part, les ap�tres r�solvent le probl�me en proc�dant � un nouveau bapt�me, cette fois conforme � l�ordre de J�sus. 

Notons bien la suite, apr�s le bapt�me ils imposent les mains pour transmettre le Saint-Esprit  � lorsque Paul leur eut impos� les mains, le Saint-Esprit vint sur eux, et ils parlaient en langues et proph�tisaient. ï¿½ (Actes 19 : 6). 

Donc ces chr�tiens furent baptis�s de nouveau, et se virent imposer les mains pour recevoir les dons du Saint-Esprit. 

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Le deuxi�me cas et encore plus significatif. 

Cette fois il s�agit de chr�tiens enseign�s par Philippe, et non plus par Jean-Baptiste, qui se sont donn�s au Seigneur, et qui ont donc �t� baptis�s au nom de J�sus. Nous pourrions penser que tout est en ordre. 

Ce n�est pas l�avis des ap�tres, qui constatant que ces chr�tiens n�ont pas re�u le Saint-Esprit, d�cident d�y rem�dier. 

Notons ce premier enseignement : ils sont baptis�s et n�ont pas re�u le Saint-Esprit. Donc, il est �vident que le Saint-Esprit ne se re�oit pas syst�matiquement lors du bapt�me, et cela confirme ce que nous avons lu plus haut. 

Le rem�de cette fois est diff�rent. Le bapt�me n�a pas besoin d��tre renouvel�, contrairement � Eph�se, mais l�imposition des mains, pour transmettre l�Esprit reste n�cessaire.

Le r�sultat nous est communiqu� : � Ceux-ci, arriv�s chez les Samaritains, pri�rent pour eux, afin qu�ils re�oivent le saint-Esprit. Car Il n��tait encore descendu sur aucun d�eux ; ils avaient seulement �t� baptis�s au nom du Seigneur J�sus. Alors Pierre et Jean leur impos�rent les mains, et ils re�urent le saint-Esprit. ï¿½ (Actes 8 : 16-17). 

Ces textes ont le m�rite d��tre parfaitement limpides, ils ne pr�tent � aucune interpr�tation. Ils devraient nous faire r�fl�chir.  

Le deuxi�me enseignement que nous devons retirer de cet �pisode, c�est bien qu�il s�agit d�autre chose que la pr�sence ou non du Saint-Esprit, en tant que canal de Dieu, pour parler � la conscience des hommes. 

Il serait inconcevable d�imaginer ces chr�tiens de Samarie, baptis�s au nom de J�sus-Christ, convertis de toute �vidence, et n�ayant pas ce d�p�t de Dieu en eux. Comment auraient-ils pu s�engager par le bapt�me, sans l�action de l�Esprit pour les amener � la repentance ? Ce serait incoh�rent. 

C�est pr�cis�ment qu�il ne s�agit pas de cela, mais de l�Esprit de Dieu, en tant que Puissance, transformant celui qui a la foi, en chr�tien agissant en qualit� d�enfant de Dieu. C�est � dire recevant de Dieu les dons qui lui sont n�cessaires. 

�... Vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. ï¿½ (Actes 2 : 38-39).

 

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